kidnapper par un chef de gang

partie 12

Je mis quelque temps a reprendre mes esprits.
Lui me regardait et souriait
-Je savais que jte faisais de l'effet, me dit-il. Finalement t'es comme les autres meufs. Tu peut pas me résister..
Il me fit un clin d’œil et partit s'allonger
Quel connard pensais-je. Il avait fait express de m’embrasser et moi comme une conne je lui avais rendu son baiser.

J'étais dégouter mais quel conne j’étais. Je pensais qu'il avait des sentiments pour moi mais tu parles.
J'étais tomber dans son piège comme une fille facile.
-Mdrr je suis sure tu croyais que jte kiffais. Xp vous les meufs vous êtes tellement prévisible. C'est trop facile de vous avoir

J'étais encore plus dégouté. Il s'était bien foutu de ma gueule.
Moi qui commençais a avoir de forts sentiments envers lui.
Mais quelle conne ce mec n'avait pas de cœur je sais même pas s'il avait une âme. Il était violent méchant et c’était un gros pervers. Il avait bien profiter de moi.
Je partis dans la salle de bains me brosser les dents.

-Tu peut ouvrir la porte stp j'aimerais retourner dans la chambre
-Quoi tes pas bien avec moi? me répondit-il
-Non merci je préféré dormir toute seule. Je lui répondis d'un ton sec
-Sauf que moi je veut que tu dormes avec moi alors tu fermes ta bouche et tu viens ok?
Il recommençait a s’énerver je savais qu'il ne pouvais pas rester calme longtemps c’était trop un nerveux. Je ne voulais pas rester avec lui cette nuit il m'avait trop déçue.
-J'ai pas de pyjama lui dis-je
-Prends un de mes shorts et un débardeur dans le dressing.
Je partis donc dans son dressing qui était encore plus grand que le mien et pris un short et un débardeur.
Je partis me doucher puis le rejoignit sur le lit.

J’appréhendais un peu je me demandait ce qu'il me voulait mais je me rassura en me disant que s'il avait voulu me violer il l'aurait fait de puis longtemps.
Il me regarda de haut en bas quand je le rejoignis ce qui me gêna un peu.

-Tiens c'est a toi me dit-il en me tendant mon sac.
Je sauta dessus, il y avait toutes mes affaires de cours, mon porte feuille mais je ne trouva pas mon portable.
Mes parents devaient être morts d’inquiétude
-Tu cherches ton portable n'est ce pas? me dit-il d'un air sarcastique
-Oui passes le moi stp
-Embrasses moi et je te le donnes. Il avait un sourire pervers
-C'est bon gardes le
-C'est toi qui voit mais j’imagine que t'aimerais lire les messages de tes parents non?
Quel connard ça le faisait sourire l’inquiétude de mes parents
-T'as pas de cœur lui dis-je t'es pire qu'un monstre
Il fronça les sourcils et me dit
-Avoir un cœur c'est être un PD un mec faible alors oui stuveux j'ai pas de cœur. Mais ça me va dans cette vie tu te fait baiser hechek quand t'as un cœur alors moi je préfère baiser que me faire baiser.

Pff mais quel genre de type je kiffais car oui je le kiffais enfin je commençais a voir de forts sentiments envers lui.
C’était tout le contraire de l'homme de mes rêves. Je me demanda ce qui a pu lui arriver pour qu’il devienne comme ça.

Je ne lui répondis pas et m'allongea dos a lu. Bizarrement il ne me toucha pas.
Je m'endormis avant lui.
En plein milieu de la nuit je me reveilla, il était en train de dormir profondément face a moi. Il ne faisait pas chaud dans la pièce car il avait allumer la climatisation. Je me redressa et remarqua la clé posée sur la table de chevet.

Je me mis a réfléchir. Il était tard tout le monde dormait dans la maison, je n'avais qu'a prendre la clé et courir jusqu’à ce que je trouve une route.
C’était le meilleur moment pour me sauver.
Je me redressa doucement et descendis du lit.
Je priais dans ma tête pour qu'il ne se réveille pas. Je pris sa clé et partit mettre ses baskets. Elle m'allait un peu grande mais comme ça je pourrais courir plus facilement.
Je pris sa veste également et enleva les clés et l'argent qui s'y trouvait car je n'était pas une voleuse.
Sa veste sentait son parfum, ça sentait bon.
J'ouvris la porte tout doucement et hamdouleh il ne se reveilla pas, je lui jeta un dernier coup d’œil. On aurait dit un ange qui dormais.

Je sortis et referma la porte derrière moi.
Je dévallai les escaliers en courant et couru vers la porte d'entrée hamdouleh la clé était toujours accroché a lA porte, je l'ouvris et me mis a courir et je remarqua que la maison était isolé. Il s'y trouvait une foret tout autour.
Je me mis a courir a travers la forte, je tomba a plusieurs reprises et m'écorchai le genou
.Malgré la douleur je continua a courir vers ma liberté