partie 57

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Mon père roulait doucement, j’avais la tête appuyé sur la fenêtre, je voulais pleurer, je faisais un effort surhumain pour retenir mes larmes, je voulais pas pleurer devant mon père mescin.
-Amaria tu vas vivre chez moi, c’est mieux je pense, après si tu veux vivre avec ta mère je comprendrais.
Vivre avec ma mère ? Il n’en était pas question, je voulais plus la voir, j’avais la haine contre elle je la rendais coupable de tout ce qui m’était arrivée avec Youssef.
C’était pas une mère, si elle en avait été une, jamais elle ne m’aurait imposée un tel homme, un chien de la casse comme Youssef.
-Non papa je ne veux pas la voir, je reste chez toi c’est mieux.
Il me fit un petit sourire.
-Je m’en doutais, j’ai récupérée tes vêtements chez ta mère et demain inchallah, on va s’occuper du divorce.
Hamdouleh j’allais divorcer de ce fou, mais je savais même pas comment il était, ni ou d’ailleurs car vu comment Robsco l’avait défoncé ca allait être chaud pour le retrouver.
-Dis papa euh, tu tu penses quoi de Robsco ?
La hchouma de parler de ca avec mon père mais bon on est assez proche et son avis compte énormément pour moi.
Il soupira.
-La première fois que je l’ai vu quand il a débarqué chez ta mère je t’avouerais que je n'étais pas content. J’avais peur un peu j’avoue il est impressionnant, c’est pas le genre d’homme avec lequel je te voyais marié, mais après on a discuté et il m’a expliqué les sentiments qu’il avait pour toi.
Il m’a dit que vous vous étiez rencontrés a la fac, qu’il t’avait abordé plusieurs fois mais que t’avais rien voulu entendre, que t’étais pas intéressée, je reconnais bien ma fille la, et finalement il a appris que t’allais te marier il est devenu fou et il t’a cherchée.
Il t’aime vraiment benti, je le vois comment il te regarde comme si t’étais un bijou, une pierre précieuse et c’est ce que je veux pour toi, je préfère un homme qui t’aimes vraiment comme ca je suis sure qu’il te traitera bien, car il aurait trop peur que tu le lâches.
Wah ca m’avais gênée, je baissai la tête, j’étais toute rouge mdrr le mytho qu’il n'avait pas sorti, je l’ai rencontré a la fac toz mais bon il n'allait quand même pas lui dire tu sais tonton, ta fille je l’ai kidnappée je l’ai traitée comme un chien puis je l’ai foutu dans le coma lol mon père il l’aurait tuée je crois.
Bref je ne parlai plus, mon père s’arrêta devant une résidence pas très loin du centre-ville de Marseille wah j’étais contente avant j’étais trop loin de la ville sérieux.
C’était un bâtiment assez huppée enfin pas autant que celui de Robsco en même temps Robsco il est plus riche que mon père lol.
Bref je descendis et le suivis, nous primes l’ascenseur, on habitait au 1er.
Il ouvrit la porte de l’apart, c‘était un bel appart il était assez grand il y avait 2 chambres, un salon une cuisine, une salle de bains bref un appart normal quoi.
Je partis m’installer dans ma chambre, j’étais morte de fatigue, je me douchai et m’endormit.
Je fis des cauchemars toute la nuit, j’avais pris l’habitude de dormir avec Robsco, il était toujours la pour me calmer quand j’en faisais mais la je me sentais bien seule, il me manquait.
Bref le lendemain je me levai, je ne savais même pas quel jour on était, samedi probablement je partis me doucher et m’habiller puis je partis manger au salon, pour ne pas vomir j’avais pris l’habitude de compter dans ma tête, je sais c’est bizarre mais ca m’évitait de penser a ca que Youssef m’avais fait.
Bref mon père n’était pas la surement partie au travail, malheureusement la société de mon père lui prenait tout son temps.
Je fis du ménage, toute la journée puis je m’assis dans le salon, je remarquai un mot et une boite sur la petite table du salon, je les pris.
« Benti je suis partie au travail je rentrerais tard ce soir donc m’attend pas, je t’ai acheté un portable et une puce, je vais aller m’occuper des papiers du divorce aussi, si tu veux sortir il y a un double des clés vers la porte mais ne rentre pas tard ».
Je pris la boite et l’ouvris c’était un iphone j’étais o top lol, je passa le reste de la journée a télécharger des applications, j’avais bien envie d’appeler Robsco mais je ne sais pas j’osais pas.
Vers 22heures je l’appelai finalement j’avais envie d’entendre sa grosse voix c’est comme une drogue pour moi.
Ca sonnai mais il ne répondit pas tout de suite, je n’insistai pas je ne voulais pas qu’il pense que j’étais a fond sur lui lol même si c’était le cas.
Il rappela quelques minutes après.
-Ouais c’est qui ?
-Euh Robsco c’est Amaria je t’ai appelé pour que t’ais mon numéro enfin tu vois.
-Mdrr pourquoi t’assume pas tu m’as appelé parce que je te manquais en fait, je te connais pas cœur c’est grave.
Tfou le seum, j’avais honte lol.
-Pff soufflais-je.
-Asy je rigole, Amaria, en plus toi aussi tu me manquais.
Ca m’a fait plaisir, j’avais un grand sourire.
-T’as bien dormi ? me demanda-t-il.
-Pas vraiment j’ai fait des cauchemars toute la nuit, enfin comme d’hab quoi
-Hum c’est parce que t’avais pas mes bras musclés pour te protéger tkt je comprends.
Il est grave ce mec, il a une de ses opinions de lui-même, j’avoue c’est un bg mais faut pas abuser.
-T’es grave.
Il a explosé de rire.
-Je rigole Amaria, en plus moi aussi j’ai mal dormi, j’ai pris l’habitude maintenant de dormir avec toi, ca me manque.
J’étais contente qu’il pense comme moi, Robsco il avait changé, il exprimait plus ses sentiments, et ca me plaisait vraiment.
Je soupirai.
-Amaria, je dois y aller la toi-même tu sais avec le biz et tout bref, je te rappelle demain d’accord ?
-Euh d’accord, fais attention hein ?
-Tkt j’ai l’habitude.
-Euh Robsco euh…
Je voulais lui dire que je l’aimais plus que tout, que je ne voyais pas ma vie avec un autre que lui, qu’il était tout pour moi mais bon je n’assumais pas lol.
-Ben euh à demain hein ?
-Ok à demain.
Il a raccroché, j’étais trop heureuse de lui avoir parlé j’avais un grand sourire jusqu’aux oreilles.
Mais j’étais quand même dégoutée qu’il ait encore fait passer son biz avant moi, enfin bon j’étais avec le boss de la mafia fallait que j’assume maintenant.

Bref le lendemain je me suis réveillé, on était dimanche, on était en mi-janvier je crois, mon père était assis en train de prendre un café.
-Ca va papa ? lui demandais-je.
Je lui fis un bisou sur la joue.
-Oui benti et toi ?
-Ca va ca va.
Je pris un bol de lait et de céréales et m’assis à côté de lui.
-Tu sais ma fille, Youssef il a disparu personne ne sait ou il est, sa mère est très inquiète elle voulait appeler la police mais son fils Fouad je crois a refusé.
J’étais choquée, putain mais qu’est-ce que Robsco en avait fait ? Il m’avait dit qu’il ne l’avait pas tué, je le croyais parce que je sais qu’il n’aurait pas eu de scrupule à me le dire.
-Benti va t’habiller, on sort aujourd’hui, tu ne vas pas rester a la maison tout le temps quand même.
-D’acc papa.
Je partis dans ma chambre m’habiller et me doucher, je sortis et essaya d’appeler Robsco mais il ne répondait pas, il devait surement dormir.
Bref je suis sorti avec mon père, on s’est promené sur la plage, même s’il caillait puis après nous sommes allés prendre une crêpe sur une terrasse, c’était bien , il me racontait les histoires de son boulot et tout, j’avais l’impression de vivre un retour en enfance, j’étais heureuse.
Mais j’étais inquiète je passais mon temps à regarder mon portable pour voir si Robsco ne m’avait pas appelé, ou envoyé un message mais il n’y avait rien.
Nous sommes rentrés vers 19 heures, il faisait déjà nuit, je suis partie faire a manger, je n'ai pas calculé mon portable.
Puis mon père et moi avons mangés ensemble, il est partie regardé un match après lol moi je suis partie dans ma chambre.
Mon téléphone se mit à sonner, je répondis.
-Allo.
-Ouais c’est moi tu m’as appelé ?
C’était Robsco évidemment, je n’avais que son numéro et celui de mon père dans mon portable.
-Ouais euh Robsco Youssef il est ou ?
Silence a l’autre bout du fil.
-T’es sérieuse a me parler de ce fils de pute la pourquoi tu me mets les nerfs a chaque fois putain ?
Je sentais qu’il était énervé, je n’avais pas envie qu’on s’embrouille ca me soulait a chaque fois.
-Calme toi c’est bon, je m’en fous de lui mais tout le monde le cherche, j’ai peur Robsco imagine les flics te retrouvent.
Je l’entendis soupirer.
-Putain mais toi tu me prends vraiment pour un zemel, tu crois je n’ai pas assuré mes arrières. Tkt pas je sais très bien ce que je fais alors arrête de t’inquiéter pour rien, tu casse la tète.
-Non mais c’est bon parle moi comme ca non plus.
Il m’avait foutu le seum, toujours il me parle mal c’est bon faut arrêter la.
-Amaria stp tais-toi parce que je vais me zehef encore plus et je vis débarquer chez toi, tu me connais.
Alors baisse d’un ton avec moi je ne suis pas ton shab moi c’est clair ?
Pff il me saoule lui aussi, il est trop nerveux ca en devient fatiguant.
-Écoute si je cherche après Youssef c’est juste pour lui faire signer les papiers du divorce c’est tout, en plus on est toujours marié aux yeux de Dieu, faut qu’on divorce également.
Silence à l’autre boute du fil.
-C’est bon je vais m’en occuper tkt pas pour ca, tu vas plus être marié a ce fils de pute longtemps.
-Mais Robsco stp je ne sais pas ce que tu lui a fait ni ou il est mais rend le a sa famille c’et tout ce que je te demande.
-Il est dans le coma Amaria.
Putain ce n’est pas possible, il l’a mit dans le coma carrément, je vais faire comment pour divorcer moi maintenant, je sais c’est égoïste mais je n’arrivais pas éprouver de pitié pour lui, il m’a fait trop de mal pour ca.
-Tu l’as mis dans le coma ? Putain t’es grave.
-Attends tu te fous de moi, ce fils de pute il a touché a ma femme ben je me venge c’est tout il est dans le coma, j’y peux rien si c’est une baltringue et qu’il n'a pas assumé avec moi.
-Stp Robsco rends le a sa famille, je t’en supplie, fais le pour moi.
Sérieux c’est vrai que Youssef il est mort pour moi, et j’en ai rien à foutre de lui mais je me mets a la place de sa mère elle devait être super inquiète, ca ne se faisait pas pour elle.
Je l’entendis souffler.
-T’es trop gentille Amaria ca me saoule, c’est bon de toute façon il est a l’hosto la, je demanderais a un de mes hommes d’aller voir Fouad pour lui dire même si je pense que lui en a rien a foutre.
-Merci lui dis-je.
-Ouais bref tu m’as zehef la je te laisse.
-Attends Robsco.
Il a raccroché, putain j’avais le seum, qu’il m’ait raccroché au nez comme ca.
J’ai essayé de l’appeler toute la semaine mais ce batard ne répondait pas, je faisais rien de mes journées, je ne pouvais pas reprendre la fac, vu qu’on était en janvier, je sortais des fois faire des courses pour mon père mais bon rien de très intéressant.
Comment je rouillais, les cours ca me manquait trop j’avais l’impression d’être mère au foyer, trop pourri comme vie, c’est pire qu’ennuyant.

Bref on était vendredi matin quelqu’un sonna a la porte, je partis ouvrir.
-Bonjour vous êtes mademoiselle Amaria ****** ?
-Euh oui c’est moi.
-Vous avez reçu un colis, tenez signez ce papier.
Je le signai donc, et pris le colis. Je me demandai ce que ca pouvait bien être, et surtout de la part de qui, vu que je n’avais plus contact avec personne et surtout que personne ne savait ou je vivais.
Je partis dans ma chambre avec le colis et l’ouvris, c’était une robe magnifique elle était trop belle
Je reçu un appel je décrochai.
-Ouais c’est moi t’as reçu la robe ?
C’était Robsco, le mec il me calcule pas une semaine entière et il croyait qu’il allait m’acheter avec une robe, tfou il n’en est pas question.
-Tu te fous de moi ? Ca fait une semaine que tu me calcule pas et l’a tu fais le mec, je ne suis pas une de tes putes Robsco on m’achète pas avec des cadeaux, tfou.
Je sentis qu’il s’énervait.
-Ecoutes moi bien Amaria je n'ai pas envie de t’insulter ce soir je viens te chercher a 20heures si tu ne portes pas cette robe, je mets un de ses coup de tête tu vas finir dans le coma comme ton batard d’ex mari ou je ne sais pas quoi la c’est clair ?
Wah il m’avait fait peur lol.
-Oui c’est bon, mais mon père il ne va pas vouloir.
-Trkl je m’occupe de ca.
Il raccrocha, j’étais heureuse lol, j’allais sortir avec Robsco surtout que ca faisait une semaine que je ne l’avais pas vu.
Je partie me doucher et m’habiller, mdrr j’ai passée la journée a me préparer, je voulais lui plaire je voulais qu’il me trouve belle.
Mon père est rentré le soir, j’appréhendais grave, j’avais peur qu’il refuse.
-Amaria viens la.
Je partis le rejoindre au salon.
Il fit les gros yeux dés qu’il me vit.
-Wah ma fille t’es magnifique comme ca, mashallah.
Je rougis.
-Merci papa.
-Bon je te laisse y aller, parce que c’est l’anniversaire de Robsco aujourd’hui et je lui fais confiance, je sais qu’il te surveillera mais crois pas que tu vas sortir tout le temps avec lui comme ca.
Mdrr ce mytho, ce n'était même pas son anniversaire il est née le 25 avril, Medhi me l’avait dit une fois.
-Oui papa merci.
Je lui fis un bisou sur la joue.
Quelqu’un frappa la porte mon père partit ouvrir.
-Ah Robsco fils tu vas bien ?
-Très bien tonton, merci d’avoir accepté.
-Pas de problème mon fils je te fais confiance, mais tu la surveille d’accord ? Et bon anniversaire.
-Merci, et ne vous inquiété pas avec moi elle ne bougera pas une oreille.
-Amaria benti viens.
Je me dirigeai vers la porte d’entrée, je croisai son regard oh mon Dieu il était pire que canon, il portait un costard, j’étais choquée je le regardais de la tête aux pieds il était magnifique.
Sa chemise blanche lui serrait le torse ca faisait ressortir ses muscles, ca lui allait trop bien putain, pourquoi il est aussi beau ce gars c’est grave.
Je croisai son regard, il était choqué lui aussi, il avait une étincelle de désir dans son regard, il se mordit la lèvre puis me fit un sourire pervers et un clin d’œil.
J’avais envie de l’embrasser c’était grave.
- Vous ne rentrez pas trop tard d’accord ?
-Oui tonton pas de problème.
Je partis chercher ma veste, mis mes chaussures, fis un bisou a mon père et je sortis avec Robsco.
Je voulais lui sauter dessus lol mais mon père nous regardait, on gardait une distance entre nous zerma, bref nous primes l’ascenseur, les portes se refermèrent.
Il me colla a la porte de l’ascenseur j’ai rien compris a ma vie lol.
-Putain Amaria, tu me rends ouf t’es trop belle comme ca.
Je ne dis rien.
Il mit sa main sur mon épaule, et avec l’autre il caressa ma bouche, j’aime trop quand il fait ca, ca me procure des sensations de ouf dans le corps.
Il approcha ses lèvres doucement des miennes, il me mordit la lèvre inférieure, je lui sautai dessus.
On s’embrassait passionnément, il me porta et mis mes jambes autour de sa taille.
Ses lèvres m’avaient manquées j’en redemandais encore et encore, on s’arrêtait juste pour respirer.
Ca duré longtemps, puis il enfouit sa tête dans mon cou et me fit des petits baisers, je me laissais faire j’aimais trop j’avais des frissons.
- Euh excusez-moi mais il y a des hôtels pour ca.
Wah la honte je poussai, Robsco celui-ci me déposa au sol, j’étais gênée, c’était ma voisine, une grosse raciste je ne pouvais pas me la voir, nous étions déjà au rez de chaussée depuis longtemps j’imagine mais on n'avait pas calculé.
-Pardon madame lui dis-je.
-Hum vous les arabes vous dites toujours pardon, vous êtes vraiment des mal élevés, et les filles vous êtes vraiment des femmes de petite vertu, dévergondé.
Comment elle m’avait mis le sum ste vieille j’allais l’insulter mais Robsco le fit avant moi.
Il la plaqua au mur, ca se voyait qu’elle avait peur.
-Écoute moi bien toi, salle pute, reparle nous encore une fois comme ca et je viens chez toi et je te viole dans la nuit c’est clair ?
Elle tremblait de peur, lui il fronçait ses sourcils.
-Et manque de respect encore une fois a ma femme, j’appelle mes potes et on te brule toi ta maison et tes chats, la prochaine fois que tu la vois tu baisse les yeux t’entends ?
-Oui monsieur, pardonnez-moi.
Tfou il cracha au sol, me prit par le poignet et sortit.
Il me faisait mal, il appuyait fort.
-Robsco stp tu me fais mal.
Il lâcha un peu de pression.
-Désolé c’est cette pute elle m’a foutu le seum la, raciste de merde.
-Ouais mais mescina, tu lui as fait peur.
Il m’a regardé de travers je l’ai fermé direct lol bref on est monté dans sa voiture, il a démarré.
-On va où ? lui demandais-je
Il me fit un clin d’œil.
-C’est une surprise.
-Au fait joyeux anniversaire, avec 3 mois à l’ avance hein.
Il a explosé de rire ;
-Mdrr ton père il est trop mignon, il m’a cru direct il voulait même m’acheter un cadeau ptdr, je sais d’où vient ta naïveté.
-Je sui pas naïve la.
-Mdrr si trop c’est gave, mais j’aime bien ce que t’es Amaria.
Je rougis et baissai la tête lol.
Il alluma la radio, il roula pendant encore quelques minutes puis il s’arrêta.
Wah c’était un grand restaurant huppé de la ville, il descendit de la voiture, moi également.
J’étais émerveillée lol c’était magnifique sérieux.
Nous rentrâmes dans le restaurant/
-Pourquoi tu m’as emmenée ici ? Lui demandais-je.
-Je voulais faire plaisir à ma petite femme. Me répondit-il.
Wah j’étais gênée lol, un serveur vint nous placée, il y avait que des riches dans le restaurant, vous savez avec leur manières mdrr on faisait tache dans le restaurant un peu.
Il y avait plein de vieilles qui regardaient Robsco, elles en pouvaient plus de lui, ca devait être des femmes cougar j’avais le seum.

Bref nous nous assirent et le serveur nous donna nos menus, mdrr tellement ca aviait l’air chère, les prix n’était même pas affichés lol. En fait c’était le restaurant italien le plus huppé de la ville j’étais trop contente je kiffe manger italien.
-Wah merci hein, surtout que ces derniers temps je ne sors pas et tout lui dis-je.
Il me fit un clin d’œil.
-Trkl c’est rien, hamdouleh tu ne sors pas pour aller ou ? Je ne suis pas un dép pour que ma femme sorte sans moi, t’es ouf toi.
Il est sérieux lui ? Il est trop macho c’est grave c’est une maladie, c’est le hebs avec lui.
-Mdrr t’es sérieux ? En fait tu veux dire que maintenant je suis obligée de te dire quand je sors et tout.
Il m’a regardé de travers.
-Bien sure et si je ne veux pas tu ne sors pas, t’es ma femme maintenant ca marche comme ca avec moi.
Je l’ai regardée de travers.
-Tu rigoles j’espère, je ne suis pas ta chose moi, je fais ce que je veux je sors quand je veux, il est ouf lui.
Tu crois je vais restée chez moi à t’attendre toute la journée il manquerait plus que ca.
Il fronça ses sourcils.
-Amaria, t’es a moi maintenant, et avec moi c’est comme ca que ca marche.
Tu vas sortir sans moi les mecs vont te draguer, ca va me zehef, au moins tu restes a la mais, il y a personne qui te regarde, et quand tu sors si t’es avec moi les mecs ils ne viendront pas t’enmmerder.
Euh ok alors celle-là c’est la meilleure de l’année, comment il m’avait foutu le seum, je ne suis pas un objet moi pour qu’il m’enferme à la maison comme une chien, il est ouf lui.
-Ok et je fais comment pour travailler ?
Il m’a regardé choqué lol.
-Travailler ? Pourquoi tu vas travailler ? Je travaille moi, je peux subvenir a tes besoins, elle est ouf elle.
-Ah parce que t’appelle ca un travail, toi ce que tu fais ? C’est sure vendre de la merde au gens c’est un vrai travail hein ?
Il m’a lancé un de ses regards, je sentais qu’il était zehef, mais c’est bon c’est de sa faute a lui aussi, il me traite comme une moins que rien, on n'est pas au 12 eme siècle ou je ne sais pas quoi la.
Il s’est levé, il a commencé a me crier dessus, il me faisait peur mais j’avais honte surtout.
-Je vais te niquer Amaria, je t’ai déjà dit, que je n'allais pas faire ca toute ma vie, tu crois c’est facile pour moi d’arrêter hein ?
Tout le monde nous regardait, j’avais honte.
Le serveur est venu calmer le jeu.
-Monsieur s’il vous plait.
Robsco l’a regardé de travers.
-Me touche pas t’entends.
Le serveur a prit peur mescin.
-Robsco stp tout le monde nous regarde la, c’est bon je m’excuse.
Obligée de rabaisser ma fierté encore une fois, mais avec lui je n'avais pas le choix, sinon il allait taper un scandale devant tout le monde.
-Mais je m’en bats les couilles, des gens moi, je les enmerde t’entend ?
-Robsoc stp arrête.
Il a soupiré et s’est rassit, il me calculait pas, ca se voyait qu’il avait le seum, le serveur est arrivé et a prit nos commandes, j’ai pris une salade, la moins garnie lol je ne voulais pas qu’il paye cher.
-Pourquoi tu prends ca toi ? Me demanda-t-il.
-C’est trop cher sérieux.
Il m’a regardé de travers, a rappelé le serveur et m’a prit une pizza, il en a prit une également.
Je lui parlais mais il me calculait pas, putain comment ca me foutais le seum, il est trop rancunier c’est grave.
-Tu vas me faire la gueule toute la soirée ou quoi ? Lui demandais-je
Il fronça ses sourcils.
-Parle moi bien Amaria je ne suis pas ton pote moi.
Je soupirai, je lui pris la main. J’en avais marre des embrouilles, c’était toujours comme ca entre nous ca me fatiguait, déjà qu’on se voyait pas beaucoup à chaque fois qu’on se voyait on s’embrouillait, ca me saoulait.
- Robsco stp, je n’ai pas envie de m’embrouiller avec toi, je suis fatiguée de l'embrouille sérieux.
Il soupira, et me serra la main.
-Moi aussi Amaria, mais c’est toi qui en fait trop a ta tête, aussi je ne suis pas un dep je te l’ai déjà dit.
-Bref, Medhi et Jeremy ca va ?
Il sourit.
-Ca va ca va, mais Medhi il a arrêté.
Je fis les gros yeux.
-Sérieux ?
-Ouais, il a dit qu’il en avait marre du biz, il est partit de la maison, il s’est trouver un taf tranquille, il cherche une meuf la, je suis content pour lui, je le comprend le biz ca saoule a un moment, ce n'est pas une vie sérieux.
Il soupira, et se passa la main dans les cheveux, il avait l’air fatigué. J’étais content que Medhi est arrêté ca m’étonnait que Robsco l’ait laissé mais après tout il ne pouvait rien y faire.
-Je suis contente pour lui inchallah il va trouver quelqu’un de bien, il le mérite.
Robsco ne répondit pas et me regarda bizarrement.
Le serveur, nous a apporté nos pizzas, elle était trop bonne la mienne, en plus elle était grosse ca va, donc j’étais contente lol.
Bref on a mangés, on parlait vite fait, j’étais bien avec lui , il me demandait ce que je comptais faire durant le reste de l’année, j’en avais aucune idée, je pense que j’allais travailler, après tout j’avais que ca à faire.
A la fin du diner le serveur a apporté l’addition, putain il y en avait pour 85 euros pour 2 pizzas et 2 cocas, j’étais choquée, si j’avais su, je les aurais acheté a Carrefour mdrr ca m’aurait couter 1 euros 30 la pizza lol.
Je sortis de l’argent de mon sac, j’en avais marre qu’il me paye tout, j’avais l’impression d’être une michto c’est vraiment pas mon genre en plus.
Je posai l’argent sur la table, il fronça ses sourcils et me regarda de travers.
-Qu’est tu fais Amaria ? Me demanda-t-il.
-Ben je t’aide à payer.
-Je suis un PD maintenant c’est une femme qui va me apyre à manger ? Alors celle-là c’est la meilleure, rentre vite ton argent avant que j m’énerve la.
-Mais c’est bon la je ne suis pas une michto, pour que tu paies tout la.
Il m’a lancé un de ses regards, il était énervé il serrait ses poings, sa mâchoire était contracté.
-Ferme ta gueule, michto de quoi, t’es folle toi ? T’es ma femme, pas ma pute.
Je ne peux pas faire plaisir a ma femme c’est ca ? Pourquoi t’es compliquée comme meuf Amaria, tu me casse la tête, d’habitude les meufs elles sont contente quand je leur paye des trucs, quand je leur paye le resto et tout. Elles sont tellement contentes qu’elles me donnent leurs culs directs après. Alors que toi je le fais juste pour te faire plaisir, je te demande rien en retour et tu me casse les couilles sérieux.
Comment j’avais le seum, je pensais qu’il n’y avait que moi qui était assez importante a ses yeux, pour qu’il me sorte et m’emmène dans des restos classe et tout, mais non monsieur, y emmène son putain d’harem également tfou, j’avais envie de le défoncer.
Je me suis levée et je l’ai regardé de travers.
-Ah bien bien, ca veut dire que t’emmène plein de meufs au resto psarteck hein ? T’es un vrai don juan en fait ? T’entretiens des femmes pour qu’elle te baise, tfou tu me dégoutes, va bien te faire foutre.
J’ai pris mon sac, et je me suis dirigé vers l’entrée, il y avait un vestiaire pour mettre son manteau et tout, j’ai donnée mon numéro à la dame du vestiaire, elle m’a passée mon manteau.
Je suis sortie, j’étais déter a rentrée a pied j’avais pire que le seum contre lui, ce batard la, il fait le mec zerma je te fais sortir et tout, et par derrière il emmène ses putes au même endroit que moi.
Ca me dégoutait je pensais que j’avais plus de valeur que ca a ses yeux.
Il faisait froid en plus j’étais en talon mais je m’en foutais, j’allais prendre le tram pour rentrer, en espérant qu’il passe encore a cette heure-ci.
Une voiture freina à mon niveau.
-Amaria monte je vais te niquer.
-Tu peux toujours rêver, je préfère me faire violer par des mecs que de monter avec toi, t’as qu’a ramener une de tes putes, puisque t’aime tant les emmener au restaurant.
J’avoue j’avais eu une réaction puérile, mais il m’avait foutu le seum, j’étais jalouse en fait.
-Tu me casse les couilles.
Il est descendu de la voiture, et m’a prit par le bras, il m’a fait montée de force a l’avant.
Il a démarré tout de suite.
-Laisse moi descendre je ne veux pas rester avec toi, je ne suis pas ta pute moi je ne vais pas te donner mon c** parce que tu m’as payé un repas.
Il m’a regardé de travers et est descendu de la voiture, il avait le seum ca se voyait, il m’a fait descendre également, et m’a tirer par les cheveux, j’avais mal mais je ne voulais pas lui faire le plaisir de savoir qu’il me faisait mal.
Il colla ma tête sur son torse.
-Je suis pas ton dep Amaria, tu me parles correctement t’entends ? Excuse-toi et on oublie tout.
Alors la il n’en était pas question, toujours je rabaisse ma fierté devant lui j’en ai marre.
-Il n’en est pas question.
Il me tira les cheveux plus fort, il me faisait mal, je gémis de douleur.
- Excuse-toi Amaria.
Je me mis à pleurer, il me faisait mal.
-Mais pourquoi c’est à moi de m’excuser ? C’est toi qui ramène tes putes au même endroit que moi, j’ai si peu de valeur a tes yeux pour que tu fasses ca ?
Il me lâcha, je mis mes mains sur mon crane j’avais mal sérieux, il me redressa et me regarda dans les yeux.
Son regard s’était adouci. Il m’essuya mes larmes.
-Dis pas ca Amaria, ca a rien à voir, tu crois vraiment que j’emmène mes putes ici ? Tu crois que je vais paye un restau aussi cher à une pute ? T’es ouf sérieux ? J’ai même pas besoin de les payer ces crasseuses, j’ai dit ca parce que tu m’avais foutu le seum c’est tout.
Il me prit dans ses bras, et me caressa les cheveux.
-Pleure pas Amaria, je suis désolé je ne fais pas les choses bien avec toi, excuse moi.
Il prit mon visage entre ses mains et me fit un baiser sur le front.
Il monta dans sa voiture et me déposa chez moi.
-Amaria, euh désolé hein ?
Je soupirai, heureusement pour lui que je ne suis pas rancunière.
-C’est pas grave merci pour la pizza, elle était bonne sérieux.
Il me sourit et s’approcha de moi, j’étais collé a la fenêtre, il me fit un petit baiser sur la bouche, ca m’étonnai j’aurais pensée qu’il ferait plus lol.
Bref je sortis de la voiture et montai chez moi, je rentrai doucement mon père dormait déjà.
Je partis me doucher et me mit en pyjama, j’étais morte de fatigue, j’allais m’endormir quand j’entendis qu’on frappait a ma fenêtre.
Putain je flippais, je me levais doucement et l’ouvrit, c’était Robsco mais comment il est monté lui ?
-Laisse moi entrer stp Amaria il fait froid dehors.
Je me poussai de la porte et il entra dans ma chambre, je refermai la fenêtre derrière lui, j’etais choquée lol je m’en remettais pas.
-Mais t’es monté comment ?
Il soupira.
-La galère sérieux je suis passé par le balcon de ta voisine au rez de chaussée et je me suis accroché au tuyau qui longe ton mur, heureusement que t’habites au 1 er étage.
C’est un fou, je faisais les gros yeux je m’en remettais pas.
-Mais pourquoi t’es-la ?
Il me fit un sourire et un clin d’œil.
-Je voulais passer la nuit avec ma femme.
Je lui rendis son sourire.
-Fais pas de bruit stp si mon père nous entend on est mort tout les deux.
La chambre de mon père était à cote de la porte d’entrée et la mienne au fond du couloir a cote de la salle de bains, du coup on était un peu loin de la chambre a mon père.
-Tkt pas je suis discret.
Je partie fermer la porte de ma chambre a clé ce n’étais pas dans mes habitudes mais on sait jamais si mon père rentre, je peux préparer ma tombe lol.
Je m’allongeai sur le lit, il était en train de se déshabiller, il était en train d’ouvrir sa chemise, il était trop canon, je faisais les gros yeux, je regardais ses abdos et tout en gros je le matais.
Je croisai son regard il me fit un clin d’œil.
-J’aime bien quand tu me mate Amaria.
Wah la honte j’étais toute rouge, je baissai les yeux.
-Je te mate pas t’es ouf
Il explosa de rire.
-TRkl c’est rien, ca me dérange pas moi, j’ai un beau corps en plus, si tu veux le toucher.
Il est ouf lui.
-Non ca va aller euh merci.
-Mdrr t’es trop mignonne, t’es tout gênée, c’est rien t’es ma femme wesh.
Je ne dis rien lol, il me rejoignit dans le lit, il se colla a moi, j’étais bien ca m’avais manquée.
Il me parla, mais j’étais tellement fatigué que je ne calculai pas, je m’endormis.
Le lendemain, je me réveillai, il était 15 heures de l’après-midi, wah tout ce que j’avais dormi j’étais choquée lol.
Je me levai Robsco dormait à côté de moi, il avait sa jambe sur la mienne, et son bras autour de ma taille, je vous parle pas la galère pour me lever lol.
Je me levais doucement, ouvrit la porte de ma chambre, et inspecta la maison mon père n’étais pas la, surement au travail.
Je partie me doucher et m’habiller, puis je partie faire le petit-déjeuner.
Robsco dormait toujours, il était trop mignon quand il dormait, je me dirigeai vers lui et lui caressa sa barbe lol, je lui caressai sa bouche, j’avais envie de l’embrasser.
Il ouvrit les yeux, et me souri.
Il prit mon bras et m‘allongea puis il se mit sur moi, j’avais rien compris lol.
-Si je pouvais me réveiller comme ca plus souvent me dit-il.
Il me caressa la mienne et m’embrassa, mdr super réveil matinal lol.
Il se leva et partit se doucher et s’habiller.
Il me rejoignit au salon, il avait remit son costard ca lui allait trop trop bien.
Je lui servis à manger et déjeuna avec lui, j’étais bien personne ne parlait.
Son téléphone sonna, il fronça ses sourcils et décroche.
-Ouais.
-Comment ca je suis où ? Depuis quand c’est toi qui me demande des comptes ?
-Je t’excuse pas il y a quoi, on n’est pas marié a ce que j sache.
-Putain tu casse les couilles ouais c’est bon j’arrive la.
Ca devait être surement sa pute, celle qui portait son enfant, j’étais dégoutée, je ne l’avais pas oubliée mais à vrai dire, j’évitais d’y penser, je vivais au jour le jour avec Robsco je profitais des derniers temps qui me restait avec lui, je savais que dés que son enfant serait née, tout cela serait finie.
-Je dois y aller Amaria me dit-il.
-Ouais j’ai compris ce n'est pas grave lui dis-je sèchement.
J’avais le seum je ne vais pas vous mentir, mais bon ce n'est pas comme si j’avais le choix, c’était la femme qui portait son enfant quand même.
Il soupira, remit sa veste et sortit.

Je passe le reste de la journée mon père est rentré, il m’a demandé comment c’était passée ma soirée, je lui ai menti évidemment, je lui ai dit que c’était bien, qu’il y avait des amis a nous et tout.
Ca me faisais mal de mentir a mon père surtout qu’il me faisait confiance mais bon je ne voulais pas qu’il sache que j’etais seule avec Robsco.
Bref le soir je reçu un appel d’un numéro que je ne connaissais pas, je me demandais qui cela pouvait bien être ?
La personne rappela je décrochai.
-Allo.
-Ouais c’est toi qui veux me voler mon homme.
C’était une voix de meuf, c’était qui celle-là encore ?
-T’es qui toi ? Tu me veux quoi.
-C’est moi la femme de Robsco et ca me saoule, de voir que t’arrêtes pas de l’appeler. T’es en manque ou quoi.
Starfoullah comment elle me parlait j’avais envie de la défoncer.
- Pour qui tu te prends pour m’appeler comme ca, t’’as même pas le courage de venir me le dire en face, salope.
-Excuse moi mais c’est toi la salope, après tout c’est toi qui harcèle mon homme alors que je suis enceinte de lui.
Je rêve ou elle m’a insultée de salope ? J’avais envie de la défoncer.
-Ecoute moi bien toi, enceinte ou pas fais attention a tes arrières, je n’accepte pas qu’on m’insulte c’est clair ? Et entre toi et moi c’est bien toi la salope regarde comment tu t’habilles alors que t’attend un enfant tfou.
Elle mit du temps à répondre.
-Ecoute moi je cherche PAS les histoires ok ?
Mdrr elle avait une vraie voix de pute c’est grave ;
-Juste Robsco il t’aime pas, j’attends son enfant, t’es juste une pute ne plus pour lui alors reste loin de lui ok ?
J’allais l’insulter mais elle me raccrocha au nez. Comment j’avais le seum, j’avais envie de tuer quelqu’un wallah j’avais pire que le suem.
Je partis prendre une douche histoire de faire passer ma colère.
J’avais les idées plus clair après ma douche, même si cette pute me foutait la mort, elle avait raison d’un coté je ne pouvais pas continuer avec Robsco, il fallait que je coupe les ponts définitivement après tout cette femme attendait un enfant de lui, et je savais très bien qu’a sa naissance, il m’oubliera tellement qu’il sera occupé par son enfant.
Il fallait que je coupe les ponts tant qu’il en était encore temps, je voulais ne pas être la 2 eme femme ou la maitresse ou je ne sais quoi encore.
Si c’est cette femme parmi toute les putes avec lesquels il a couché qui est tombé enceinte de lui c’est que ca devait être elle son mektoub et pas moi.
Je pris mon téléphone et composai son numéro, j’avais envie de pleureur, parce que cette fois c’était très clair dans ma tête c’était finie entre nous parce que c’était impossible.
Il décrocha.
-Allo, Amaria, mddrr je te manquais déjà tu peux plus te passer de moi maintenant.
Putain j’avais les larmes aux yeux, je pris une grande inspiration.
-Robsco vaut mieux qu’on arrête de se voir.
Silence a l’autre bout du fil, il le coupa au bout d’un moment.
-Attend t’es sérieuse la ? Tu te fous de ma gueule c’est ca ? cria-t-il.
J’avais envie de pleurer.
-Non Robsco walalh c’est mieux qu’on arrête, je veux plus qu’on se voit stp respecte mon choix.
-Putain pourquoi qu’est t’arrives encore la ?
-Robsco tu vas être père, vaut mieux qu’on arrête ca se fait pas pour ta femme c’est tout.
-Mais quelle femme ? Je m’en bats les couilles d’elle sérieux.
-Mais elle attend ton enfant et…
Je me mis à pleurer, j’essayais d‘être le plus discrète possible pour pas qu’il m’entende.
-Mais Amaria, je peux gérer les deux, c’est toi que je veux, pas elle, putain.
Putain me dit pas ca Robsco mon cœur il était brisée.
-Non Robsco sois réaliste tu ne pourras pas.
-Putain Amaria, c’est toi que j’aime tu comprends ca ?
-Moi aussi Robsco mais c’est impossible et toi et moi on le sait depuis le début.
-Putain.
Je l’entendis mettre un grand coup dans le mur, il soupira.
-T’as raison Amaria, wallah t’as raison, vaut mieux qu’on arrête la.
Je pleurai de plus belle, j’étais dégoûtée.
- Pose-toi Robsco stp fait le pour moi, tu m’oublieras avec le temps.
-C’est impossible de t’oublier Amaria wallah c’est impossible, je t’aime Amaria wallah, j’ai été heureux le plus heureux des hommes le peu de temps que j’ai passé avec toi. J’aurais aimé que ca dure toute la vie wallah.
-Moi aussi lui dis-je dans un sanglot.
-Sois heureuse.
Il raccrocha.

kidnapper par un chef de gangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant