Chapitre 13 :

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Bonjouuuuuuur Paris ! Je suis tellement contente et reconnaissante d'être ici, j'ai toujours voulu visiter cette ville. Je me réveille dans un lit ultra confortable avec une bonne odeur de croissants et de pains au chocolat.

— Bonjour marmotte, bien dormi ?
— Hm, toi ?
— J'ai connu plus confortable c'est vrai ..
— Oh, désolée, ce soir je prendrai le sofa alors.
— Mais non t'inquiète pas, je demanderais une autre chambre.
— D'accord.

Il croque dans un croissant et boit une gorgée de son jus d'orange avant de se diriger vers la salle de bain, c'est donc comme ça qu'il garde un si beau corps ? Il ne mange pratiquement rien, perso mon estomac me crie de manger quelque chose.

Pendant ce temps-là je traîne un peu au lit et je consulte mes messages.

« Alors il a bien aimé les nuisettes ? » Lizzy.

Quoi ?! De quoi elle parle , Qu'est ce qu'elle a fait ? Je me précipite sur ma valise et fouille dedans jusqu'à en découvrir entre trois à quatre nuisettes. Je vais la tuer ! Et moi qui me disais hier soir que j'avais la chance que ce ne soit pas elle qui ai fait ma valise. Je devrais être devin.

Au même moment Julian revient dans la chambre alors que j'ai encore les tissus dans mes mains quant à lui il est ... à moitié nu devant moi avec juste une serviette nouée à la taille, ses cheveux mouillés retombent sur son front et des gouttes d'eau perlent encore sur ses abdos si bien dessinés.
Bonté divine il est tellement canon ! Okay stop je dérive, je dois même avoir un filet de bave je suis sûr.

— C'est pour qui ça ? Dit-il en visant les nuisettes.
— Euh .. pour personnes ! Réponds- je en m'empressant de les ranger.
D'accord. Dit-il en souriant.
Arrête de sourire y' a rien de drôle !
— Si si je t'assure c'est drôle ! Continue-t-il de sourire.
— Mais arrête de sourire là !
— Tu aurais dû voir ta tête ! Dit-il en rigolant.
— Parce que tu étais au courant ?
— Absolument pas, mais c'est drôle.
— Encore une mauvaise blague de Lizzy, tu connais ta meilleure amie !
— J'avoue que je n'attendais pas à moins de sa part, cela dit je les trouve très jolies moi c'est nuisette. Peu de tissu mais très jolies.

Je lui balance un coussin dans la tête pour qu'il arrête de rire mais rien y fait ! Il m'énerve !! Mais il est tellement mignon .. mais il m'énerve.
Je file sous la douche et mange un morceau avant que nous partons explorer un peu les rues de Paris.


**

Nous marchons dans la rue l'un à côté de l'autre, à plusieurs reprises sa main et la mienne viennent se frôler, se cherchant sans se rencontrer sans jamais s'entrelacer.

— Oh regarde une fête foraine ! Vient on y va !
— Si tu veux.

Nous nous dirigeons vers celle-ci mais soudain des journalistes nous envahissent et nous bloquent tout passages, comment il nous on reconnu, trouvé ? Et comment ça il est connu même en France, c'est pas possible.

— MONSIEUR WILLIAMS QUE FAITES-VOUS À PARIS ?
— QUI EST CETTE JEUNE FEMME ? VOTRE NOUVELLE CONQUÊTE ?
— BARREZ-VOUS ! hurle Julian.
— QUAND DIT VOTRE PÈRE ?
— ALLEZ VOUS DÉMOLIR D'AUTRE IMMEUBLES D'INNOCENTE PERSONNES QUI N'ONT NULLE PART OÙ ALLER ?

Il me prend la main sans réfléchir et nous courons ensemble à travers la foule pour aller se cacher dans une boutique de luxe au calme. Lorsque nous sommes enfin dans la boutique je me rends compte que je suis collé contre son torse, il a une odeur si envoutante et masculine. Et ses muscles ... Puis l'information me monte au cerveau et me détache de lui précipitamment même si j'aurais bien voulu humer son odeur encore un peu plus longtemps.

The boss. Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant