La cage de la patiente 37

Chapitre 7, la crise

- Oui, il faut l'interné...

- Man' tu sais, elle m'a beaucoup parlé moi.

Je lui raconte tout ce que Maëlle m'avais dit et elle ouvrit grand les yeux.

- Sa peut beaucoup aider Maëva !

M'a mère finis son verre en vitesse et remonta dans son bureau. J monte également dans ma chambre et j'ouvre mon ordinateur.. Je tape « Greffe d'animaux chez un être humain. » Je n'imaginais pas trou ver autant de réponses. J'ouvre le premier lien et commence a lire ;

 " Le porc est l'un des meilleurs animaux donneurs d'organes pour l'humain, en raison notamment de sa disponibilité et de la taille de ses organes. Cette technique est encore expérimentale pour les organes et les cellules. Elle est appelée à se développer en raison de la pénurie d'organes humains pour les allogreffes. Elle est en concurrence avec d'autres voies de recherche qui sont la substitution mécanique des organes défaillants."

Pour parler de Maëlle, elle ne me disait plus rien, c'étais à peine si elle me regarder, celle fille avais vécue des choses horrible aller être interné. L'enquête mène a rien, ils étaient de moins en moins impliqués. Puis, un soir alors que j'étais allonger tranquillement sur mon lit, je reçoit un appel du shérif Ollab.

- Allo ?!

- Maëva, c'est le sérif Ollab. Nous avons enfin retrouvé l'endroit où Maëlle à été retenue.

- C'est ou ? Vous avez trouvé d'autre personne ?

- Je peux te faire confiance ?

- Bien sure !

- C'est dans ton collège, au premier étage, dans un entrepôt d'une salle d'svt. Il s'emblerait que se sois des professeurs qui lui ont fais ça. Nous n'avons trouvé personne, mais plusieurs cages qui montrent que des personnes vivaient dedans.

- J'étais à côté depuis le début !

Je raccroche avec le shérif et me lève précipitamment de mon lit, je cours jusqu'à la chambre de ma mère et entre sans toquer.

- Maman ! Ils on retrouvé l'endroit où Maëlle étais retenue !

- Maëva ! Tu pourrais toquer quand même !

- Désolée maman, mais le shérif m'a appeler, ils ont retrouvé l'endroit, c'étais au collège depuis le début...

- Je sais, il m'a envoyé un message, mais tu peux me dire pourquoi il t'appelle toi ?

- Parce que.. je l'ai supplié de me dire si ils trouvaient quelque choses, maman je veux aider Maëlle, c'est devenue comme une sœur.

Ma mère se leva de son lit, sa robe de nuit retombée sur ses genoux. Elle s'approcha lentement de moi

- Maëva, Maëlle va être interné la semaine prochaine..

- Quoi ? Mais elle se s'en beaucoup mieux

- Tu sais, Maëlle essaye de s'en sortir, mais il ne faut surtout pas oublié le faite qu'elle a vécues des choses horrible dont la plupart des personnes n'aurais pas survécues. Elle a souffert pendant longtemps. Les blessures extérieurs guérisse mais Maëva, ceux de l'intérieur ne disparaissent pas, ont apprend à vivre avec mais quand elles sont trop lourdes à porter, on veut toute arrêter.

- Mais je lui est dit que j'allais l'aider.

- Je suis sure qu'elle a compris le message, mais tu va l'aider à effacer tout ses souvenirs, tu vas l'aider à marcher dans la rue sans que personne ne la regarde en chuchotant, tu va l'aider à trouver une famille et à se reconstruire ?

- Oui !

- Non, tu peux l'aider à se sentir un peu mieux en enfermant les gens qui lui ont fais ça, mais tu ne peux pas l'aider a refermée c'est blessures si elle-même ne souhaite pas les refermée.

- Pourquoi elle ne voudrait pas ?

- Parce qu'on décide pas du jour au lendemain de tous les refermées, elle les referme petit à petit mais ce n'est pas sûre qu'elle sache faire le deuil de son enfance volée, et sur toutes les blessures qu'elle a pu subir.

Je monte dans ma chambre, je prends dans mon sac, une bouteille d'eau, des chips, un plaide, mon téléphone et mes écouteurs, je referme difficilement mon sac. J'enfile une veste à capuche, mes chaussures. Je descend dans le salon, je mets ma veste en cuir au dessus de mon autre veste et sortit de la maison sans même regarder ma mère. Une fois dehors, je pose la capuche sur ma tête et mis la musique dans mes écouteurs en marchant. Les larmes coulaient sur mes joues sans que je m'en rende compte et je me mets très vite à courir à la grange. La pluie c'étais mises à tomber, j'ai ouvert la porte et je suis rentrée à l'intérieur. Mon cœur me serrer, j'avais des frissons dans tout le corps. Je retire mes vestes et les jetés par terre. Je sors le plaide de mon sac et la met sur le canapé, je retire mes écouteurs et m'allonge dans ce canapé. Je n'arrivais pas à dormir, j'avais envie de rentrer chez moi et de retrouvé ma famille au complet, avec mon père et ma mère. Ma vie avait réellement changé depuis la venue de Maëlle.

C'est sur cette pensée que j'ai enfin réussi à m'endormir.