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Les noces du renard

Oui, vous ne rêvez pas : Le nouveau chapitre est là XD

Il est d'ailleurs assez long comme vous pouvez le voir. Il conclut assez bien l'histoire, bien qu'un petit épilogue suivra. ^^ Honnêtement, je pense que c'est un de mes chapitres (et une de mes fic !) les plus aboutis, d'où le temps d'attente, et je dois avouer que devoir le recommencer s'est révélé être une bonne chose au final.

Je vous remercie profondément pour votre soutien. J'espère également que ce chapitre parviendra à vous émouvoir quelque peu.

Allez, je vous laisse à votre lecture !

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Chapitre 37

Début août sembla arriver en un éclair, tout comme les vagues de chaleurs qui submergèrent soudainement Konoha.

La respiration haletante, Madara luttait contre la fournaise de la maison d'Izel, tout en se retenant de gronder à chaque fois que la femme lui passait un peigne dans les cheveux, manquant de les lui arracher.

-Bon sang, Madara ! Tiens-toi tranquille, par le Sage ! S'exclama l'ancienne.

La tête de clan ne répondit pas, se contentant de laisser échapper un glapissement lorsque Mito lui planta pour la énième fois une aiguille dans la peau.

-Zut ! Maugréa celle-ci en jetant un regard noir à l'Uchiha, comme si celui-ci était responsable de sa maladresse.

Dans un coin de la salle, Hikaku, le seul à ne pas torturer Madara, jeta à l'homme un regard empli de compassion.

-Sérieusement... Grommela Mito. Pourquoi cette couturière a-t-elle fait aussi mal son travail ? Je lui ai donné tes mesures pourtant...

-Mes mesures ? Siffla Madara. Quelles mesures ?! Tu ne les as ni prises ni demandées !

-C'est parce que je pensais les connaître ! Rétorqua la rousse. Le problème c'est que tes cheveux m'ont induite en erreur !

-Mes cheveux ?

-Oui ! Cette maudite crinière qui te fait paraître plus gros que tu ne l'es réellement ! Je suis sûr que si on te coupait tout ça, tu perdrais au moins huit centimètres !

-Pardon ?!

-En parlant de ses cheveux, les interrompit brusquement Izel, irritée. Je n'arrive pas à les dompter ! De plus qu'ils tiennent incroyablement chaud... J'ai les mains tout en sueur maintenant !

En entendant ces mots, Madara ne put s'empêcher de bondir hors de la portée de la femme. Répugné, il lui adressa une grimace sans équivoque, alors qu'il se réfugiait aux côtés d'Hikaku.

-Eh ! Où vas-tu comme ça ? S'indigna l'ancienne.

-Loin de toi et de tes mains poisseuses ! Répliqua Madara.

Izel s'empourpra.

-Ne me manque pas de respect jeune homme ! Tempêta-t-elle en agitant un doigt dans sa direction. –Et cela vaut pour toi aussi ! Ajouta-t-elle avec virulence en se tournant vers Mito qui ricanait.

Immédiatement, les kunoïchis se fusillèrent du regard.

Hikaku soupira bruyamment.

-Vous ne savez pas vous y prendre, déclara-t-il, soudain, en s'adressant aux deux femmes.

Elles cessèrent de se fixer en chien de faïence pour lui faire face.

-Comment ça ? Dit sèchement l'aînée, visiblement outrée.