Le plan

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Lors de la fête anniversaire de l'EDA, tous les officiers et leurs gardes personnels sont dans la salle de réception. Les gardes du bâtiment sont moins nombreux, il est donc plus facile de circuler. Les failles majeurs de ce bâtiment sont les bouches d'aération dans la salle des serveurs. Celles qui mènent au sous-sol. Il y a aussi l'usine désaffectée juste à côté du bâtiment, ses murs son épais seulement de vingt centimètres, deux coups de masse et le tour est joué, on peut passer directement au sous-sol où se trouve les machines qui produisent l'électricité du bâtiment.

En premier lieu, il fallait prendre le contrôle des caméras, puis s'introduire dans le bâtiment pour capturer mon oncle et le forcer à abdiquer. Le but était de créer une diversion pour pouvoir occuper la ville et le palais du Tyran.

Les autres villes devaient se rebeller en même temps. Nous allions rallier tous les groupes de résistant que nous pouvions grâce au code de Sacha. Nous allions aussi demander de l'aide aux minorités chinoises, italiennes, musulmanes, et juives et toutes celles trop petites pour être appelées des minorités. Les quartiers noirs et latino allait aussi nous aider.

Chacun devait apporter des armes et élire des représentant pour peaufiner le plan d'action.

Après quelques jours, la préparation de bombes et de pièges pour les soldats battait son plein.

José, l'ex membre de gang et policier espagnol avec Sagamoto l'ex yakuza s'occupaient de la formation au combat dans les différents quartiers. Les deux Alexandre de la discipline et de l'entraînement en situation réelle dans un coin paumé de New York ou même les soldats ne vont pas. Et moi je m'occupait de la communication avec Mademoiselle Pan et Monsieur Lee, notre ami chinois. Il y avait aussi Hans, un fils de traître à la cause Neo-nazi qui s'occupait du recensement et de la redistribution des armes dans les quartiers.

Notre plan prenait place doucement mais sûrement. Il ne manquait plus qu'à trouver  la diversion qui intéresserait mon oncle et ma tante au point qu'il baissent leurs garde.


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