Chapitre 18 : Confrontations

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La porte d'entrée c'est ouvert, je peux l'entendre en collant mon oreille sur le sol et je ne me prive pas, je n'ai pas envie qu'il nous trouve surtout si ce ne sont pas des alliés, et si ce n'est pas le cas nous les prendrons par surprise et je l'ai tuée de ma propre main s'il s'en prenait à Lise.

Je l'ai entend parler, à travers le plancher.

_ Et bien, j'aurai bien cru qu'il nous aurait bouffer j'ignorer complètement que ça aurait fonctionner.

À la première écoute, la voix semble celle d'une fille pas vraiment jeune, mais ni vieille, je dirais la trentaine pas plus.

_ Je te l'avais dit, leur sang sur nous, nous aurait rendu invisibles à leurs yeux et en plus sa nous permet d'économiser de l'énergie inutilement.

_ Tu à bien raison, bon on ne va pas rester la à parler je suppose aller on fouille et on prend tout se qui nous passe sur la main.

_ Je te suis là-dessus, tu à raison mets, nous au travail.

On a plus entendre un tel raffut sans dessus de sous que je n'avais pas besoin de coller mon oreille près du plancher, je regarder lise et je lui demander.

_ Que faire est-ce que je vais à leur rencontre en premier ou est-ce que j'attends qu'il part, il ne mon pas l'air hostile à priori juste comme nous il survit.

_ Sais quand même dangereux imagine s'il ... je serais seule, je ne pourrais pas survivre très longtemps.

_ Ne t'en fait pas, je vais descendre et dire que je suis seul dans la maison et s'il essaye de me tirer dessus ou quoi je serais près ne t'en fait pas je vais revenir vivant dans les deux cas.

Je pris le pistolet du sac et le mis dans l'arrière de mon pantalon. Et, je descendu l'échelle du grenier avant de la remonter pour laisser lise en sécurité j'ai plus entendre qu'elle m'avait glisser un subtil je t'aime en même temps, le premier que j'ai reçu depuis l'âge de mes 10 ans qui était par ma mère.

Je dis un tel bruit que eux-mêmes n'arriver même pas à entendre le bruit que je viens de faire je descendu les escaliers prudemment et j'essaye d'attirer leur attention.

_ Euh, excusez-moi ?

_ Bordel, tu es qui toi !? Dit-il avec une voix ferme et panique ?

_ David, je ne vous veux, aucun mal rassurer vous, je me planque juste la depuis 1 heure ou 2, car j'ai traversé la horde de zombies.

_ Es qui me fait croire que tu ne racontes pas de connerie, tu n'as même pas une tâche sur tes vêtements.

_ Je me suis changé en prenant des habille à l'étage les miennes étaient tâchées de sang.

_ Baisse ton arme on et pas des hostiles ou des ennemis OK. Dit telle avec une voix ferme.

_ Excuse-le, je m'appelle Abigaelle et toi tu es ?

_ David, je suis à la recherche de survivants ou plutôt d'un camp de survivant.

_ On et dans le même bateau, mais on ne reste pas longtemps ici les zombies son à chaque coin de rue et rester dans un endroit et la pire des choses, au fait lui la sais Fabien, mais je l'appelle FAB sais plus courts.

_ Très bien ça fait longtemps que vous été ici, enfin que vous été dans cette ville.

_ Oui, on et la depuis le début et on se réfugie ou on peut quand il n'a pas trop de zombies qui rôde dans un quartier on choisi la maison qui nous plait pour y passer la nuit, et toi tu viens d'où ?

_ Moi je viens de la ville juste à côté Muldraugh, je suis arrivé il a quelque jours avec ma compagne lise.

_ Tu es seul ici, elle et morte ?

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