Tout commence par le très cliché et déjà vu "Et si quelqu'un tombait sur le carnet renfermant vos plus terribles et douloureux secrets ?"
"𝕊𝕖𝕡𝕥 𝕞𝕚𝕝𝕝𝕚𝕒𝕣𝕕𝕤 𝕕𝕖 𝕡𝕖𝕣𝕤𝕠𝕟𝕟𝕖𝕤, 𝕤𝕖𝕡𝕥 𝕞𝕚𝕝𝕝𝕚𝕒𝕣𝕕𝕤 𝕕'â𝕞𝕖𝕤, 𝕖𝕥 𝕡𝕒𝕣𝕗𝕠𝕚...
Désolée du retard, mais j'ai finalement réécris toute la scène TaeGi U_U Elle était totalement différente à la base.
Cette fiction est déjà dédiée à pas mal de monde, mais si je dois faire une dédicace un peu plus spéciale pour ce chapitre, ce serait pour un être cher, qui à l'époque où j'avais peur de tout et de tout le monde, a réussi à me faire parler, me confier et rire, alors qu'on ne se connaissait quasiment pas et que notre première rencontre avait été plutôt...hum...désagréable ^^
Et du coup, à tous ces êtres précieux qui ont joué, jouent ou joueront ce rôle dans la vie de quelqu'un.
Aux rencontres qui ressemblent plus à des retrouvailles.
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Taehyung se gara doucement, n'osant pas tout de suite prendre la parole.
Il avait aidé Yoongi à rejoindre sa voiture et ce dernier s'était calé sans émotion particulière, dans le siège passager.
Il n'avait pas arrêté la musique, ôté la veste ou prononcé le moindre mot de tout le trajet, mais le roux n'avait pas cherché à le faire parler, espérant seulement qu'il se calme.
Au bout de quelques minutes qui commençaient à devenir angoissantes pour le sportif, son passager bougea, le faisant presque sursauter.
Yoongi regarda par la fenêtre, puis le pare-brise et Taehyung se redressa le plus possible.
- Je t'assure que je ne suis pas venu là avec de mauvaises intentions ! Se défendit-il immédiatement. C'est juste que tu avais l'air de vouloir fuir la foule et je ne sais pas où tu habites.
Parce que dire à quelqu'un dont vous essayez de gagner la confiance « j'ai volé ton adresse dans le bureau du directeur » semblait être une très mauvaise idée.
Le blond ne dit rien, défaisant simplement sa ceinture avant de sortir.
L'air frais, le frappa tout de suite, se glissant sous ses vêtements et il frissonna, défaisant la veste du basketteur pour l'enfiler, sans en avoir réellement conscience.
Une fois la fermeture remontée jusqu'au bout de son nez, le parfum du sportif le frappant de plein fouet, il referma la portière et se dirigea vers le lac immense qui s'offrait à eux.
Le soleil était en train de se coucher et les reflets sur l'eau étaient magnifiques.
Avançant doucement, pieds nus dans l'herbe humide, le regard fixé sur le paysage, il respira profondément, l'air frais n'empêchant pas l'odeur du châtain d'envahir ses poumons.
Ce n'était pas Angel, mais étonnamment, ce n'était pas désagréable.
Tirant sur les manches trop grandes pour recouvrir ses mains, il coinça le tissu entre ses doigts.