Rencontre Avantageuse (rose Fané) (Pause)

chapitre 7(ambre /ivanov)

Les bagages près ,imitant mes parents je remercia le personnel de leur services .
La semaine passée dans cet agréable hôtel ,ma fait beaucoup de bien ,cela m'a permis de faire le vide et de prendre du recul .

J'allais repartir donc au état unis, avec un tout autre état d'esprit.
Il était temps pour moi d'oublier le passé et d'aller de l'avant.

J'allai reprendre ma vie en main,jallai  ME reprendre en main.

et cet fois je ne laisserai personne me nuire.
-ambre tu viens  m'appela ma mère près de l'entré de l'aéroport.

Je regarda une dernière fois se pays qui m'avais aidée à  retrouver une certaine paix intérieure .

Qui sait peut être que j'y reviendrai un jours  .

Je rejoint mes parents ainsi que ma grand mère traversant le hall ,direction l'avion.

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Je gara ma voiture en face de la demeure de mes parents, ces derniers vivaient dans une villa depuis peu.
à quelques kilomètres de la ville, recement aquise, mon père voulait s'éloigner , de l'agitation .

En claquant la porte de mon bolide, je vis ma mère près du Pérron ,un faible sourire sur son visage pressant fatigué.
Je resta impassible à cela, maigres que je fut étonné de son allure, elle qui d'habitude enretenais son apparence.
En arrivant à sa hauteur je lui embrassa la joue, et alors que je franchis la porte elle dit d'une voie méconnaissable
-ton père est à l'étage, il est occupé pour l'instant mais il ne va pas tarder, que dirait tu dis café ?

Je me retourna près à comprendre son manège, cela se voyait quelle essayer de me cacher quelques chose.
Ma mère avait beau être quelques peu agaçante elle n'en demeurer pas ma mère, et celle ci n'avait jamais était douer dans le mensonge.

Une intuition me vint, me conseillant de ne pas la contredire.
Je la suivis donc, notre cuisinière Martha était près des fourneau et quand elle me vit elle souri de toute ses dents .
-bonjour Mr ivannov, vous allez bien, vous voulez quelques chose à manger ou une boisson je...

-deux tasse de café s'il-vous-plaît Martha.
La domestique se repris puis repondi
-toute suite madame.
Elle s'en alla donc chercher je ne sais quoi.
Je riva mon attention sur ma mère, attendant qu'elle parle .
En sentant mob regard pesant sur elle, elle me regarda droit dans les yeux, puis souffla et dit
-je ne peu rien te dire, ton père veut t'en parler seul à seul.

Donc j'avais raison il y'a bien quelque chose qui cloche mais quoi ?!

Alors que j'allais répondre, une personne passa près de la cuisine .
À première vue ,je ne l'avais jamais vu.
Vêtu d'une blouse blanche, une valise à la main l'homme sorti de la demeure après avoir échanger avec Martha qui lui ouvrir la porte.
Et alors que celle ci entra dans la cuisine, j'en sorti me dirigeant vers l'étage supérieur, bien décidé à voir mon père, ma mère a mes trousses, me disant de ne pas être brusque.
J'ouvri la porte de la chambre de mon père a la volé et le vit sur son lit des perfusions occupant ses deux bras.
Je me figea sur place ne m'attendant pas à cela.

Que lui était il arrivé bon sang ??!

-Svetlana laisse nous seul s'il te plait dit il d'une voie enrouée.

Je n'avais pas bouger d'un millimétré, observant mon géniteur allonger, le teint blafard.

-mon fils vient t'assoir je te pris dit il en toussant bruyamment.

Je fit se qu'il dit ,sans résistance.

Mon père était la seul personne dont le jugement compter pour moi.
Je ne me voyais pas le décevoir, cela avait toujours était une figure des plus exemplaire, Étant toujours honnête dans son travail ainsi qu'aimer de tous.
Par rapport au travail nous étions pareil ,par contre aimer de tous je dirais que pour ma part cela était improbable.

Alors que je pris la chaise près de lui, je dit d'une voix cregnant sa réponse
-que t'est il arrivé ? 

Il se redressa légèrement, la douleur gravé sur ses traits .
Néanmoins il tenta de sourire puis dit
-je suis atteint du cancer des poumons, et il ne me reste qu'un an tout au plus .

Un cauchemar, voilà se que cela devait être.
La façon dont il l'avais dit, tout présager qu'il était plus que sérieux .

Jetait spectateur de cet scène, ne voulant pas y croire.
Mon père allait mourir et nous n'y pouvions rien, car connaissant mes parents ils avaient due consultée plus d'un médecins et les plus réputé.
Fidel à ma froideur je dit sans l'ombre d'une émotion .
-depuis quand ?
-quatre mois lâcha t-il

La s'en était trop !!!
Je me leva tel un lion en cage et fit les cents pas
-depuis tout se temps vous m'avait cacher la vérité, pourquoi !, navai-je pas le droit de savoir !  Suis-je de trop dans cet famille ou...
-je voulais que tu te concentre sur ton entreprise et la reprise du flambeau, cela n'aurais servi à rien, tôt ou tard tu l'aurai su dit il
-cest une plaisanterie !!!  Je comprend mieux cet soudaine envie  d'en finir avec cet succession .
-ivanonv !!!  Tu es mon seul enfant, l'héritier, et cela était vitale pour notre famille.

Je me rassi sur mon siège, et pris ma tête entre mes mains, ne réalisant toujours pas qu'il était condamné.

Je senti une main se poser sur mon avant bras et releva donc la tête.

Son expression précédemment neutre fit place à un égard remplis de tristesse, il dit donc
- mon seul regret et de ne pas avoir pu connaître la futur mère de mes petits enfants .
Pour une révélation s'en était une, et même une phénomènale.

Que pouvait on répondre dans ses cas là ! 

Je n'en avais aucune idée, j'étais perdu,me sentant inutile, impuissant face à son état.

Il fallait que je réagissr cela ne me ressembler aucunement de rester ainsi les bras croiser.

-il faut que je m'en aille, je... Reviendrais di-je me dirigean vers la sortie, mais il m'interpella puis dit

-je suis fière de toi fils, n'en doute jamais.

Je hocha la tête comme signe de remerciement.
Je n'avais jamais était douer dans les démonstrations d'affection, puis sortie de la maison pour de bon, ma mère sorti de nouveau près des escaliers me voyant m'en aller.

Voilà que j'étais sur la route, à me demander se que je pourrais bien faire à se coup du sort.
Mon père allai mourir, comment navaije pas remarqué son état.
Il y'a à peine une semaine ,je le voyais en parfaite santé, en apparence seulement, voilà tout.

Je frappa le volant d'un coup brutale jusqu'à actionner le claxon faisant un bruit infernal.

J'avais 12mois entre mes mains pour réagir.
Et je n'avais aucune idée de se que j'allai bien pourvoir faire.