Rencontre Avantageuse (rose Fané) (Pause)

chapitre 15(ambre/ivannov)

Nous arivèrent au bout d'une heur comme il était prévue.

Celle ci nous avait était bénéfique, l'un comme l'autre , nous nous étions tenue à une seul version concernant notre rencontre ,ce qui était logique soit disant passant.

Après qu'un chauffeur est déposer nos valises dans le coffre, nous quittèrent la piste d'atterrissage pour la demeur d'ivannov .

Oui je sais en une heur cela peut paraître étrange de l'appeler ainsi, mais que voulais vous je n'allai pas l' appelé Mr en présence de ses parents !!
Et je peux vous dire que se n'est pas cela qui sera d'autant plus dure mais le fait de le tutoyé ,je ne pense pas que je m'y ferai.

Au fur et à mesure que nous roulions, je reconnue quelques endroits que j'avais visiter avec ma famille.

Moi qui croyais y revenir dans quelques années.

-Ambre dit une voie rauque.

Je sentie mon corps frémir à l'entente de mon prénom.

C'était la première fois qu'il traverser ses lèvres .
Je me retourna vers lui,et attendi la suite ,

Tout en desserant sa cravate enrouler autour de son large cou, il dit

-je pense qu'il serai mieux que nous allions chez moi, pour ce soir , demain nous irons voir mes parents et leur annoncer la nouvelle.

Je ne pue retenir un hoquet de surprise
-Q... Quoi déjà, se n'est pas un peu tôt, je veux dire que vont il penser si jamais je débarquée pour la première fois et que vous lâchier cet nouvelle le même jours et puis je.....

- première chose arête ton vouvoiement..... Puis ecoute je n'est pas le temps de jouer, mon père est mourant il ne lui reste que peu de temps si tu ne t'en sent pas capable il serai préférable de me le dire maintenant car après que la machine sera lancé tu ne pourra plus faire marche arrière dit il d'un tont des plus sérieux.

Son expression n'aidant pas à diminuer de mon stresse j' hocha de la tête puis dit résigner

-je comprend et je me tiendrai à se que vous direz di-je.

Voyant son regard appuyer je me corrigea
- à se que tu diras

Je n'avais pas le choix, je dois le faire, il en va de la vie de ma famille !

-tres bien dit il simplement avant de prendre son téléphone et d'entamé une discussion en russe avec je ne sais qui.

Et voilà que pendant tout le trajet mon regard ne quitta pas la fenêtre.

2heur plus tard,

Au bout d'un temps qui me paru une éternité, nous pénétrèrent dans se qui semblai être un parking sous terrain.Puis dans un ascenseur.

arriver au 20eme étage les portes de se derniers s'ouvrir sur un loft gigantesque .

Je déposa mon sac sur la table près de moi et commença à regarder au tour .
alors que lui s'enfonça dans le couloir menant je ne sais où.

Les murs etaient peint de couleur sombre, concordent avec leur propriétaire me di-je.

Les meubles ne faisait pas exception, teinté de rouges et de noir, ces derniers me glacèrent le sang.

A travers la bai vitré en face de moi, on pouvais voir la capitale illuminer, digne d'une carte postale.

J'entendi des bruits de pas, et c'est alors que je m'éloigna de cet magnifique vue.

-ta chambre est prête tu peux t'y installer dit il ,sans même m'accorder un regard.

J'hocha positivement de la tête puis m'engouffrai à mon tour dans se même couloir.

Contrairement à lui qui monta les escaliers.
Alors que je marcher, je constata quil n'y avait qu'une seul chambre, se qui me rassura .

En vrai je redouter que l'on cohabite pendant une période indéterminée et cela dans un espace restreint ,mais à première vue cet appartement est aussi gigantesque qu'une villa et donc minimise les risques de trop se côtoyer, de plus que ferait il avec une fille tel que moi ,vous pouvez bien me le dire ?

Et c'est cela qui ne cessa de trauter dans ma tête, vue son statu il ne....

Ambre arrête de trop te prendre la tête et soit plutôt reconnaissante pour ce qu'il fait pour toi sans le savoir.

Finalement il avait raison cela nous était avantageux.

En arrivant devant la fameuse chambre j'y entra et vit que celle ci était a l'extrême opposé de la décoration externe ,elle me paresser douillette tout comme le lit qui trôner au centre, je ferma la porte derrière moi retira mes chaussures, puis me jeta sur mon nouvel ami qu'était se lit.

Même pas une minute passer que mon téléphone se mit à sonner .

Je vit que s'était un message de ma mère qui voulais savoir si nous étions bien arriver.
Je répondi donc que cela c'était bien passer et que nous venions d'arriver.

On rédigeant se message toute ma peine qui s'était estomper refit surface et le manque se fit ressentir.

C'était la première fois que je voyager sans mes parents .

Prenant conscience de cela, j'en conclu que je n'avais pas encore pris entierement mon envole et que par conséquent j'étais toujours cet petite fille recluse sur elle même ,celle que l'on préférai éviter car elle sorter du lot.

Il avait totalement raison dit ma conscience.

Je l'ignora, puis morte de fatigue me réfugia sous la couette sans même prendre la peine de me changer.

A quoi bon jetai déjà en pyjama d'après Mr qui m'avais insinuer que mes vêtement n'etai pas approprier au rôle que j'allais devoir tenir.

Comment vous dire que cela m'a vexer, je sais que je ne m'habille pas tel un top modèle mais cela veut il dire que je porte des haillons ??!

A cet heur tout se qui me fait tenir le coup c'est ma famille.

Tout ça pour vous dire qu'il avait pris rendez vous pour que je cite" reflète la parfaite fiancé "

Non mais vous y croyez, comme si cela allait changer quelque chose.

Je senti mes paupières devenir lourde jusqu'à se fermer, et voilà que je me senti partir dans se que j'espèrer le pays des rêves.

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Après avoir pris ma douche, je descendi dans la cuisine ,je n'avais rien manger depuis notre départ de New York, pour cause la jeune femme dans la chambre d'à côté .

D'ailleurs j'allais justement la faire venir afin de se nourrir.

Et vue sa taille de guêpe elle en aurai bien besoin me di-je .

Arrivé Près de la porte je toqua, mais aucune réponse .
Je tenta alors dentré mais c'était fermer à clé.

Au bout de cinq minutes,je compris que celle ci devais dormir.
Je retourna sur mes pas et m'atabla, entament mon repas préparer par mon chef cuisinier.

En plein dîner, mon esprit se tourna vers elle .

Ma détermination à vouloir pensé à autre chose fut balaillée tel un château de sable.

Et Si tu avouer que tu n'est Pas si indifférent dit ma conscience en ricanant.

Contrarier je deposa mon assiete dans le levier avec violence jusqu'à ce que celle ci se casse en mille morceaux.

Et merde !!!

N'ayant aucune envie de débarrassé je monta dans mon entre, et m'y enferma.

Cet jeune femme n'est rien pour moi et peu m'importe se qui adviendra , la seul chose qui compte c'est qu'elle m'aide , et puis c'est pas comme si je l'y avait obligé .

Son accord ne fit que confirmer se que j'avais déduit au par avant .

Cest a dire qu'elle devait commencer à vivre au lieu de se terrer tel un ermite .