La bataille de Poudlard est désormais terminée, laissant derrière elle des ravages dévastateurs. Hermione en est encore déchirée et peine à tourner la page de la catastrophe. Mais lorsqu'un prétendu nommé Salmander tente d'achever le travail inaccom...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
_____________________
Plantée devant une maison aussi haute qu'extravagante, Hermione secoua la cloche d'entrée. C'était la maison des Weasley, aussi connue sous le nom du Terrier.
Un garçon aux cheveux ébouriffés accourut :
— Salut, Ron ! lança la jeune fille.
— Hermione ! Comment ça va ? J'avais tellement hâte de te revoir ! Tout le monde est dans le salon, il ne manquait plus que toi.
— Tout le monde ?... Pourquoi ?
— Heu... C'est un peu difficile à expliquer. Viens vite !
Le jeune roux l'emmena dans le séjour en tirant Hermione par la manche.
Autour d'une grande table rectangulaire, étaient assis Harry, Ginny, Neville et Drago. Comment se faisait-il que Drago était également présent au rendez-vous ?
Hermione s'assit à la place inoccupée.
— Nous n'attendions plus que toi, Hermione, s'exclama Harry.
L'adolescente lui répondit d'un léger sourire.
— Alors, raconte-nous ce qu'il s'est passé à Poudlard, dit Ginny.
— Eh bien... commença Hermione. Des éclairs noirs étaient apparus dans le ciel, à plusieurs reprises même. Il y avait aussi une étrange fumée noire. Et puis, une forme de serpent s'est dessinée dans l'obscurité, et a disparu au bout de quelques minutes. Ce n'était certainement pas quelque chose de naturel.
— Merci, Hermione. Il se trouve que chaque personne assis à cette table, a assisté au même phénomène, à une heure exactement de décalage.
— Et à cent kilomètres d'écart, fit remarquer Drago.
— Donc, cela devrait se reproduire dans quatre minutes à... à Londres ?! s'exclama Neville.
— Nous devons absolument y être, la population sera terrorisée ! s'indigna Ginny.
— Alors, nous n'avons pas le choix : il faut transplaner.
Les six adolescents se dressèrent sur leurs pieds et se prirent par la main.
— À trois ! Un... Deux... Trois ! s'écria Harry.
Puis les silhouettes disparurent, faisant voleter la poussière de la cheminée au feu crépitant.
