La bataille de Poudlard est désormais terminée, laissant derrière elle des ravages dévastateurs. Hermione en est encore déchirée et peine à tourner la page de la catastrophe. Mais lorsqu'un prétendu nommé Salmander tente d'achever le travail inaccom...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
_____________________
— Je ne vous crois pas ! C'est impossible ! s'écria Hermione, bouleversée.
— Je te l'avais bien dit : tu ne me croirais pas. Tu as une manie de n'accepter que les choses qui t'arrange, mais la vérité n'est pas toujours conciliante, Hermione.
— Vous mentez ! C'est impossible..., balbutia-t-elle.
— Et pourtant si. Mais je te l'ai déjà dit, Hermione : je ne suis pas méchant, je suis juste. Et parfois, il faut se contraindre à des actes très, très difficiles pour rétablir la justice.
— Que voulez-vous dire par là ?
La jeune sorcière essayait de gagner du temps, et cherchait même un moyen d'aller récupérer sa baguette ; sans elle, Hermione était entièrement vulnérable.
— Si je te dis que je souhaiterais équilibrer la balance de la justice en prenant la place du Ministre de la Magie, j'imagine que ton premier réflexe serait de me tuer, n'est-ce pas ?
— Non, pas de vous tuer. Car si vous dites la vérité, nous sommes de la même famille, et je n'ai déjà plus de parents. Je sais que vous avez une part de bonté au fond de vous-même. Je la trouverai. Trop de gens sont déjà morts lors de la bataille de Poudlard, je ne veux pas en faire augmenter le nombre. Non, je ne vous tuerai pas. J'essaierai de vous faire changer d'avis avec des arguments valables, rétorqua Hermione.
— Oh, mais ne t'en fais pas pour ça. J'ai eu des mois entiers pour trouver réponse à tous les arguments possibles, ricana le sorcier. Eh bien... je vois. Si tu n'as pas le courage de m'affronter, je vais donc devoir t'éliminer maintenant.
