L'hacellement..
Rien de plus revitalisant qu'une bonne grâce mâtinée du dimanche. Je m'étais en effet recouchée après ma prière de l'aube..
Maintenant qu'il était 10h du matin d'après mon réveil, J'ouvris mes yeux et vis ma sœur assise à la table de travail entrain de faire un appel téléphonique.
-oui maman, elle vient de se réveiller même dit-elle en me jetant un coup d'œil narquois, je te l'a passe.
Elle me tendis le téléphone. Je me levai et allai me rincer la bouche avant de répondre à son salam.
-wa aleykum Salam mère souriais-je
-tu vas bien Hafiza ?
-très bien maman je ne me plains pas rétorquai-je aussitôt
-ok et ta tante, elle va bien j'espère ? Tu me la salut..
-oui elle va bien, in sha Allah je lui dirai que tu la salut.. Je vais d'ailleurs aller la voir plus tard.. Papa va bien aussi ?
-oui ne t'inquiète pas, il est parti voir sa mère aujourd'hui comme il ne travaille pas..
-ah d'accord..
Ça avait jeté un blanc puisque la famille de mon père n'était pas un bon sujet de conversation avec ma mère.
-ça fait longtemps que tu ne m'as pas appelé se plaingnit ma mère.
-j'avais l'intention de t'appeller marmonai-je toute honteuse.
-si tu le dis ria t-elle.
-oui oui bien sûr maman, et puis avec les débuts de cours là, ça complique ma disponibilité boh.. justifiai-je maladroitement.
-oui, voilà pourquoi je voulais te garder auprès de moi. Mais bon du courage mon enfant et soit sage..
-merci maman soufflai-je.
On continuait de se parler comme si on se voyait en face, elle en profita pour me demander les nouvelles de Habib. Elle raccrocha quelques minutes plus tard.
-alors on sort toujours aujourd'hui ? me demanda ma sœur avec un grand sourire.
-oui souriai-je à mon tour, mais je n'ai pas encore appelé les zalika pour voir si ils sont disponibles.
-ok fait ça alors, moi je vais me changer dit-elle avant de sauter de ça chaise pour se diriger vers l'armoire.
(...)
-bienvenue à Rawda mes demoiselles, veuillez vous assoir là-bas tonna un serveur lorsqu'on posa nos pieds dans ce restaurant qui vient juste de s'ouvrir près du stade seyni kountché de Niamey.
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Je te l'avais dit....
RomanceSes pas lents et la vitesse à laquelle roulait la voiture la conduirent là, immobilisée de peur et se cachant le visage de son voile pour échapper à ces phares agressifs.. Un homme sortit à la hâte de la voiture pour s'enquérir de l'état de sa victi...