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Pdv ochacco :

DRIIIIIIIING DRIIIIIIIING

Le son d'un réveil me fit sursauter de peur , j'ouvris les yeux effrayer et aperçu Bakugo éteindre son réveil avant de se lever et s'étirer ;

- Maïs ça va pas ou quoi ! Ta vu l'heure qu'il est !

- La ferme grosse joue ! Ronchonna t'il à moitier endormi en direction de la salle de bain .Ce qui était sur , c'est que bakugo-kun n'était pas du matin !

Maintenant que j'était réveiller , je décidais finalement de chercher un nouveau boulot , mon ordinateur allumer et un carnet ouvert , je notai minutieusement chacun des postes possible .

Les minutes passaientt , et ma page commençais a se remplir , l'idéal était que je trouve un travail à temps plein le week-end, un le soir , et enfin un que je pouvais faire très tôt avant les cours . L'affaire s'avérait compliqué , mais je devais à tout prix gagner de l'argent .

Après plusieurs appels j'avais enfin réussi . J'avais mes trois petits travails.

Au même moment bakugo sortit de la douche . Complètement torse nu ....

- B-B-Bakugoo-kuuun ! Habille toi ! Serais-tu devenu nudiste !

- NON MAIS SA VA PAS C'EST QUI QUE TU TRAITE DE NUDISTE PETITE PESTE ! S'indigne t'il!

Brusquement une voix retentit à travers le mur ;

- LA FERME OU JE VOUS ÉGORGE !

C'était Aizawa-sensei... décidément lui non plus n'était pas du matin...

Son intervention nous a fait taire tout les deux , et nous sommes sortit de la chambre en même temps .

Une fois dehors , il faisait encore nuit . Il faut dire que bakugo-kun se levait vraiment vraiment tôt ! Un léger frisson me parcouru il faisait froid , et il n'y avait personne , une sensation de malaise me prit aux tripes .

Bakugo commença son footing pendant que je le regardait s'éloigner.

Mais soudain je sentit mon corps s'alléger sans que je ne puissent rien contrôler , une soudaine montée en puissance se fit ressentir au profond de mon abdomen et une chaleur insoutenable émanait de ma peau .

Je ne comprenais pas , plus les secondes passèrent et plus une mystérieuse énergie prenait le dessus .

Ma gorge asséchée m'empêchait d'appeler à l'aide , de l'appeler lui .

Une vif douleur me prit a l'estomac, ma respiration commençais à se faire saccadée et j'avais un goût de sang dans la bouche .... c'était donc comme ça que ma vie allait se terminer ....

Je le regardais s'éloigner pendant que j'essayais de sortir n'importe quelle son de ma bouche ....

- Bakugo...chuchotai-je .

.

.

A ce moment là , peut être m'avait il entendu , ou c'était juste le fruit du hasard , mais il s'est retourné .

Son regard perçant à tout de suite compris que ce n' était pas juste l'utilisation de mon alter .

Il savait que j'avais besoin de lui .

Mais lorsqu'il s'élança dans les airs , et que sa main toucha mon avant-bras , un champ de force nous éjecta tout les deux au sol .

L'impact fut douloureuse , les côtes sans doutes brisée et ma vision qui était brouillée , ça ne pouvais pas être pire.

- OYE OCHACO !

La fumée m'empêchais de voir se qu'il se passait , ou était-il.

Lorsque j'aperçus son visage , un soupir de soulagement sortit de ma bouche .

- Ques-ce qui s'est passé ? Une attaque de super-vilain ?

J'en doutais fortement mais je ne voulais qu'une chose, c'était que cette événement soit vite oublié .

- Oui sans doute .

- Tu peux te relevé ?

Il compris très vite que non en voyant du sang sur mon teeshirt, lui aussi était blessé , mais comparée à moi il s'était relever en voyant que j'avais besoin d'aide ...

Je suis si pathétique....

- Bouge pas jvais appeler les secours .

Je prit son bras et me releva dans un énièmes effort douloureux ;

- Non , allons au lycée . On leur expliquera .

- Tu ne peux pas marcher .

- Jvais me débrouiller.

Et pas par pas je me mis à avancer en direction du lycée . Si il avait appeler les secours , ou serait passé ma dignité, j'en ai assez d'être l'éternel fragile .
Ils sont tous plus fort que moi , si je continue d'être à la ramasse , je ne pourrais plus les regardés en face !

Le soleil commençais à se lever , j'entendais les pas de Bakugo derrière moi , lui ne se plaignait pas .

Je continuais d'avancer en exerçant une pression au niveau de la plaie formée au niveau de mon ventre , des gouttes de sang tombais à chaque mètre franchis .

- Aller , arrête de faire la warrior .

D'un coup de bras il m'avait porté et ils se mit à presque courir en direction du lycée .

.

.

Lorsque nous étions enfin arriver , le lycée venait d'ouvrir des portes.

- OYE ! YA QUELQU'UN ! RÉPONDEZ ELLE EST PUTAIN DE BLESSER !

Il disait sa alors qu'il était lui-même blesser ... mes yeux ont commencées à voir de plus en plus flou ...

- OYE ! Ochaco !

Puis ils se sont fermé.

BOUM !( kacchaco) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant