Chapitre 4
(Partie 2).
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Une famille, de quatre personnes au total, attablée autour d'un bon et délicieux repas.
Un papa, assis en bout de table, mangeant avec appétit tout en regardant avec un immense sourire sa tendre et chère femme.
Une maman, aidant affectueusement à se nourir son enfant le plus jeune, une petite fille aux joues rondes et à la bouille plus qu'adorable.
Une petite sœur, souriant grandement devant son assiette qui lui paraissait si appétissante, tout en ne pouvant s'empêcher de jeter quelques regards plus qu'attendrissant envers son grand frère qui lui souriait grandement.
Et enfin lui, un grand frère, plus qu'heureux. Il souriait devant sa famille à l'air si parfaite et si irréelle. C'était parfait. Tout était incroyablement parfait. Et rien au monde ne pourrait le rendre plus heureux que de voir sa famille avoir une telle symbiose, une telle unité.
Tout était en ordre, une famille devait ressembler à cette famille.
Il faisait beau dehors, un grand soleil aus teintes orangés emplissait la pièce d'une ambiance apaisante et chaleureuse. Les murs aux tons beiges reflétaient avec merveille les doux rayons solaires qui venaient les caresser agréablement.
Un peu plus loin, par delà la fenêtre, se trouvait un jeune chien entrain de gambader dans l'herbe. Par moment, il faisait de petits bonds essayant d'attraper quelques petites bêtes qui volaient dans l'air autour de lui.
À table, toute la petit famille souriait, les coins de leurs lèvres se retroussant jusqu'à presque se retrouver aux coins de leurs yeux aux reflets éclatants.
C'était la famille idéale, celle qu'on ne peut seulement voir dans nos rêves les plus fous.
Celle que personne ne peut espérer avoir car elle n'existe pas.
Ce n'est qu'un rêve.
Elle n'est pas réelle et ce pauvre garçon est en plein cauchemar.
Oui vous l'aurez sûrement deviné, ce rêve ne peut pas se terminer aussi bien qu'il a commencé.
Brusquement la maison se mit à trembler, faisant basculer les meubles aux teintes foncés dans tous les sens et directions. Les assiettes volaient, se brisant avec férocité sur chaque surface qu'elles rencontraient et blessant toute chose qu'elle pouvaient.
La lumière grésillait et donnait un aspect lugubre au lieu qui paraissait quelques instants plutôt si joyeux.
Les murs se teintèrent de gris, puis de noir, et le soleil avait disparu laissant place à une éternelle obscurité. Il faisait sombre, noir, on ne distinguait plus rien à travers cet épais amas de fumée noire. La pièce n'était plus, et tout avait disparu.
Le garçon se retrouva seul, perdu, abandonné par toute sa famille adoré.
Il était seul, errant sans but dans cette obscurité qui ne lui permettait aucune visibilité.
Une, deux, trois, une dizaine, puis des centaines de larmes dévalaient les joues du jeune garçon.
Il pleurait. Il pleurait toutes les larmes de son corps comme un torrant d'eau infini. Elles tombaient, roulaient, couraient sur sa fine peau d'opaline. C'était une course, plus elles disparaissaient vite plus la tristesse qui accablait ce pauvre enfant allait disparaître. Mais malheureusement pour lui, ce torrent de larme est infini. Alors sa tristesse ne pourra pas disparaître, peu importe la vitesse à laquelle ces gouttes cristallines dévalent la pente. Sa tristesse est infinie, tout comme ce cauchemar qui ne cesse de revenir le hanter chaque nuit.
Mais depuis peu, une suite à lieu à ce cauchemar, lui permettant de remédier à cette fin si chaotique. Depuis peu, une lumière arrive à percer cette obscurité pourtant si intense. Cette petite lumière est semblable à une bougie, puis une torche, puis un feu, puis un brasier ardent, et enfin à un soleil incroyablement immense faisant disparaître toute trace d'obscurité.
Cette lumière est tellement douce, agréable. Elle caresse avec tendresse la peau si fragile du jeune garçon, le réconfortant avec une délicatesse infinie. Cette lumière l'apaise, lui procurant une sensation de bien-être se répercutant dans la moindre parcelle de son corps.
Il est bien. Et pour rien au monde il n'échangerait sa place avec quelqu'un d'autre. Son cocon est tellement agréable qu'il y resterait bien toute sa vie si il le pouvait.
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Chapitre 4
(Partie 2)
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Une Similitude Improbable | Namkook | [BTS]
Fiksi PenggemarEt si deux jeunes gens à l'allure si différente avaient un même et seul point commun ? Impossible me direz-vous ? Et pourtant cette similitude improbable est bien la seule chose qui les lie. Deux jeunes hommes à la fois tellement différent et si res...