D'ailleurs...

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J'étais déçu effectivement.Passons sur cet échec de relations,un de plus,un de moins,au final le compte reste le même.
Kakashi ne m'intéresse plus, à quoi bon.
Je restais là, pendant bien deux heures, à ne rien faire.
J'avais fini la pomme,et regardé le blanc immaculée du plafond ne me suffisait plus à me distraire.

Je me levis avec lenteur. Posa mes pieds nus sur le carrelage froid .Je frissonnais au contact de cette nouvelle sensation.
La fenêtre était en face de moi désormais,la vue de Konoha me rendais nostalgique à ce qu'a pu être mon enfance.

Cette vie me manque.

J'aimerais revoir ma famille, j'ai juste peur qu'elle m'ait renié du clan, ça ne m'étonnerait pas.

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Je poussais de toute mes forces pour me relever.Mission accompli si je puis dire.
J'étais debout,fin prête à découvrir le magnifique monde qui m'attend derrière la porte de ma chambre.

J'avançais à petits pas pour éviter toute forme de douleur possible.

J'ouvris la porte,mon couloir était presque vide.
En effet deux silhouettes étaient là, parlant tout deux.

Je m'avance,je m'avance,encore,et encore.
Jusqu'à pouvoir distinguer ces deux personnes que je reconnaîtrais entre mille.

Sakura et Kakashi.
Ils s'arrêtèrent subitement de parler à ma vue.
Ils me fixaient,je détestais ça, réellement.
Quand soudainement une idée bouillonnante vint à mon esprit.

À la hauteur de Kakashi,je le gifla de toute mes forces.

Il me m'arrêta pas.
Il posa juste sa main sur sa joue rougie.

Et disparu sous un pouf de fumée.

-Non mais ça va pas Fûa?

Sakura visiblement choqué et outré par mon comportement,me saisit mon bras avec force et maladresse.

J'avais mal sous l'effet de broyage de poignet,et à ma plaie qui semblait s'être déchiré sous mon geste.

Je serrais les dents et quelques larmes pérlairent sur ma chair.

Cheveux rose sembla se rendre compte de ma douleur et passa immédiatement mon bras autour de son cou et me conduisit directement vers ma chambre.

Elle ouvrit la porte avec fracas,et me jeta avec une délicatesse ma foie déconcertante vue son niveau de colère.

-Non mais qu'est ce qui t'es passée par la tête au juste?Agresser l'Hokage?Non mais tu te crois où ?Tu n'as pas honte ?[...]

Et ainsi commença un fastidieux monologue dont elle avait le secret.

Je me taisais et attendit qu'elle claque la porte pour sangloter.

Le jour suivant je me réveillais avec stupeur au côté de Sakura qui me fixait avec noirceur.
Et à ces côtes.
Il
Y
Avait
Kakashi.

-Ayez une conversation civilisé pour cette fois."Dit-elle en claquant la porte,en une fois.

Kakashi s'accroupit près de moi.
Je le regardais avec mépris.

-Bon, excuse moi,je comprends que le comportement de l'autre soir a pu te blesser,certe et je m'en veux.Beaucoup même.Mais j'ai peur.Vraiment peur.
Je ne veux pas de ce genre de relation où l'on s'engage, c'est quelque chose que je n'osais pas te dire.Je suis quelqu'un qui à besoin de liberté et je -"

Je le coupa.

-Kakashi,tu m'as énormément blessé et rendu triste,tu m'excuseras de ne pas vouloir te pardonner.De plus,je ne veux pas de relation comme ça,et je ne veux pas que nous deux ne soit que pour du sexe, même si je pense, qu'il y a bien plus que ça.Mon métier oblige à avoir de la liberté dans ma vie personnelle.
Tu m'as déçu de ne pas m'en avoir parler,je me sens comme une conne.Je suis sûr que si je ne t'avais pas touché,tu ne te serais pas excuser,et je t'aurai retrouver dans les bras d'une autre sans que tu ne m'explique quoi que ce soit.
Laisse moi du temps pour réfléchir. Dis-je fermement.

Kakashi souffla dans je ne sais quel sentiments et disparu en un pouf de fumée, encore une fois.
Cela me fit rire, c'était même pas lui,le vrai.

*****
Quelques jours plus tard, j'étais en période de blanc au travail,aucune mission ne mettait attribué, j'étais au chômage en quelques sortes.
Plusieurs personnes ce se rendu chez moi me rendre "visite".
Naruto,Sakura,Temari (qui était de passage)des anciens collègues bref,rien de bien intéressant.
Donc je m'occupais de mon jardin d'intérieur.
Mon salon était rempli de plante en tout genre,de grandes comme de petites.
On ne pouvait même plus passer à certains endroits,comme si un arbre avait poussé.
Je me sentais bien au milieu de cette verdure.

J'étais tranquillement sur mon canapé quand un courant d'air parvenu sur ma peau

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J'étais tranquillement sur mon canapé quand un courant d'air parvenu sur ma peau.
Celà n'était pas désagréable,mais le problème est que je n'ai jamais ouvert de fenêtre.
Quand au moment où je me levais pour fermer celle-ci que je vis apparaître une grande silhouette que je connaissais.
À contre jour de pourrait reconnaître ses formes par cœur.

-Que fait-tu ici,Kakashi.

-Je voulais de la compagnie.

-Je ne suis pas un objets ni un bouche trou.

-Je voulais être avec toi, c'est tout.


Kakashi X FûaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant