Chapitre 12 , "La tentative"

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Un nouveau bébé, une nouvelle vie dans la maison, un petit ange, apportait la joie dans le manoir. Les cris de bébé étaient une joie à entendre, surtout pour Candy qui allait bientôt avoir ses bébés ; son ventre devenait de plus en plus gros. Elle restait couchée sur son lit et elle sentait les bébés en train de bouger. Anthony regardait le ventre en train de bouger en souriant



- Mes garçons sont en train de donner des coups de pieds, dit-il en souriant.



- Mes petites filles donnent des coups de pied, dit Candy, souviens-toi, j'étais un vrai garçon manqué !!!



- Oui, tu as tabassé mon froussard de cousin ! Je te trouvais fascinante !



- Eh bien, j'étais un garçon manqué et les garçons ne me faisaient pas peur, c'est tout...



- Il fallait que tu te défendes, comme tu n'avais pas de parents pour te protéger...



- Je vais être là pour mes bébés et je vais les protéger



- Je vais t'aider, mais je veux que tu aies ton infirmière personnelle.



- D'accord, tu peux commencer à chercher quelqu'un, mais je veux la choisir...



Alors ce fut un défilé d'infirmières au manoir, pour les entrevues, mais Candy n'en aimait aucune.



- Elles ont de bonnes références, dit Anthony.



- Elles sont trop sérieuses, ou elles ne sourient pas... la dernière était un peu grincheuse.



- Candy...



- Je suis désolée Anthony, j'ai besoin d'une infirmière qui sourit.



- Tu veux dire que tu as besoin de toi-même...



- Je vais en trouver une Anthony, ne t'en fais pas.



- Candy la date de ton accouchement approche...



- Je sais chéri, mais fais-moi confiance, je vais en trouver une avant la naissance des jumeaux



- D'accord, mais si à la naissance des jumeaux tu n'as pas d'infirmière, je vais en choisir une pour toi...



- D'accord ! Dit Candy en souriant.

*
* *

Quelques semaines plus tard, Eliza qui avait trouvé un homme assez idiot pour l'épouser, vint voir Albert pour lui demander si elle pouvait avoir la réception au manoir de New York.



- Pourquoi ne te maries-tu pas à Chicago ?



- Parce que sa famille est ici, dit Eliza et leur manoir n'est pas aussi grand que le notre... s'il te plait oncle Albert, je suis désespérée, c'est trop tard pour louer une salle et tout arranger.



- Eliza, si nous sommes restés à New York, c'était vraiment pour rester loin de vous tous...



- Je me marie, je ne vais plus déranger Candy, je te le promets, s'il te plait, je suis désespérée... tu es mon seul espoir...



- Je peux te trouver une salle...



- Je veux le manoir, s'il te plait, fais-le pour moi, ensuite sera débarrassé de moi pour de bon !



Cette dernière remarque fit fléchir Albert. Plus d'Eliza, elle allait être le problème d'une autre personne... mais il savait que ce n'était qu'une illusion...

La pluie qui pleure...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant