chapitre 15

17.2K 1.3K 9
                                    




Face à tout ce qu'il lui avait dit, Elina avait du mal à croire, mais ne voyait pas un semblant de mensonge dans ses yeux.



Elle n'arrivait pas à croire. Elle, Elina hilarie Martinez, plaire à Stanislas volk le bourreau des cœurs... Fantasme de toute femme, son Apollon à elle et le fantasme de ses rêves.



Elle était un peu réticente.





Toute façon, il pouvait lui dire ça, profiter d'elle et la jeter après. Encore plus qu'il repartira dans son pays d'origine qui est la Russie et donc assez loin d'elle



- Ne doute pas, je veux que nous soyons plus que ceux à quoi tu penses, mais pour le moment laissons le temps contribuer, car moi-même, je ne sais pas ce que je veux de nous deux.
Mais une chose est sûre, c'est que je te veux toi Elina... dit Stanislas en continuant à la regarder dans les yeux




Elle était bouche bée face à cette déclaration et ne savait que dire ni comment réagir.



Pleurer, parce qu'il ne savait pas ses sentiments pour elle, ou rire et sauter de joie, car il la voulait ? Elle était perdue.

Il vit dans ses yeux qu'elle ne savait où donner de la tête et lui aussi était perdu, mais ce qui était sûr, c'est qu'en deux semaines, il avait ressenti et ressentait ce qu'il n'avait jamais ressenti pour une femme depuis qu'il était Stanislas volk

- Je vais t'embrasser Elina... dit-il, ne lui laissant même pas le temps de refuser ou acquiescer




Il prit d'assaut ses lèvres et cette fois, il l'embrassait pour de vrai.




D'abord surprise, elle restait de marbre, puis se laissa emporter par ces lèvres, qui demandaient qu'à prendre plus de place sur les siennes et donc, elle répondit.




Ce fut l'extase, il grogna sachant qu'il avait la possibilité de l'embrasser maintenant, et mit alors pour un premier vrai baiser, toute la légèreté, la douceur et la sensualité qui lui était donnée.



Il la souleva par les fesses avec une telle légèreté et une telle douceur, que c'était étonnant de voir ce corps rempli de muscle, faire preuve d'autant de douceur.

Il la fit asseoir à califourchon sur lui, en rompant leur lien pour descendre dans son cou afin de reprendre leur respiration.



Sentir des lèvres comme ça dans son cou lui arracha son premier gémissement qu'elle tentait de faire taire, tout en reprenant sa respiration.



Elle n'y croyait pas et ne se reconnaissait pas. Son corps qui s'alourdissait encore plus, sentant cette moiteur entre ses jambes, au cœur même de son intimité. Elle qui échangeait son premier bisou, assise à califourchon sur celui-là même qui était en train de lui faire des bisous dans le cou.



Je suis en couple ?


Elle se surprit à mettre ses mains dans ses cheveux. Ils étaient si doux et soyeux quand elle sentit une petite et légère morsure, et n'eut pas le temps pour faire taire ce gémissement.


Il revint sur ses lèvres après l'avoir fait gémir ; gémissements qui l'avaient fait grogner, et là, il avait envie de la faire sienne sur le champ, toute façon cette plage était à lui et il était content de l'avoir réservé maintenant

- Tu veux me rendre fou Elina... dit-il près de son oreille en ayant les fesses de celle-ci entre ses mains, exerçant par là une pression, qui arracha un deuxième gémissement à celle-ci.



Elle avait des fesses comme il le fallait... pensa-t-il en l'embrassant, cette fois-ci avec plus d'intensité, faisant descendre peu à peu la bretelle de sa robe et elle ne disait rien.


Elle voulait, à ce moment, qu'il la fasse sienne toute la nuit. Elle était trop excitée et souhaitait enfin ouvrir cette barrière. Elle avait trouvé celui-là même qui le fera, mais tout d'un coup, il cessa de l'embrasser en gardant toute fois ses mains sur la bretelle.


Elle ouvrit les yeux d'incrédulité face à cet arrêt soudain, alors que lui la regardait avec son éternel regard perçant


- Rentrons à la maison... dit-il de sa voix encore plus rauque que d'habitude, due à son excitation



Elle le regarda incrédule, face à ce retournement de situation, mais n'exprima rien quand il la souleva



- Je peux marcher... dit-elle en colère qu'il ait pu lui faire ça, et la renvoyer chez elle comme une malpropre

- Je n'en doute pas... répondit-il simplement, cependant en la portant jusqu'à la voiture

Il ne pouvait pas lui faire l'amour sur une plage, en tout cas pas pour leur première fois. Elle méritait beaucoup mieux et ce beaucoup mieux, se trouvait dans sa maison à lui.

Le Milliardaire Russe Et La Caissière Où les histoires vivent. Découvrez maintenant