chapitre 18

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Après avoir montré les chambres, la salle de sport et les autres magnifiques pièces de la maison, ils partirent dans le jardin.



C'était magnifique pour quelqu'un qui n'y venait pas souvent. C'était entretenu, très épuré avec de magnifiques fleurs de belle couleur.


C'était si apaisant. Les bruits d'oiseaux, l'air doux qui faisait voler les beaux cheveux noirs d'Elina, c'était vraiment beau par ici. C'était le meilleur endroit de toute la maison pour être en paix et dans un calme total, pensait Elina.

- Parle-moi un peu de toi Elina

- Que veux-tu savoir ? Demanda-t-elle lorsqu'il la fit asseoir sur un banc dans le jardin. Cela ressemblait plus à un labyrinthe



- Qu'est-ce que tu as fait après le décès de tes parents ? Demanda-t-il de but en blanc



Il avait envie de la connaître encore plus qu'il ne la connaissait déjà

Face à cette question, elle était assez étonnée parce qu'il n'était jamais, allé au-delà de son enfance quand elle lui racontait des trucs sur elle et lorsqu'ils discutaient, mais, elle avait envie d'en parler avec lui. Au moins il s'intéressait à elle et avait envie de la connaître plus... se dit-elle

La voyant aussi perdu dans ses pensées, il se demanda s'il n'avait pas mal fait de poser cette question vu la tristesse qu'il pouvait desceller sur son visage. Il ne voulait pourtant pas la voir triste

- Hé, ne dit rien, mais ne sois pas triste s'il te plaît... lui dit-il doucement en la prenant dans ses bras lui offrant sa chaleur et elle n'hésita pas à engouffrer la tête dans son torse, cherchant un réconfort et il la serra encore plus

Ils restèrent ainsi pendant un bon moment jusqu'à ce qu'elle lève la tête pour le regarder dans les yeux. Elle avait envie de l'embrasser, mais elle n'avait jamais fait le premier pas et n'était pas prête à le faire, en tout cas pas maintenant, surtout que

- Je repars la semaine prochaine... dit-il difficilement en appréhendant la réaction de sa belle inconnue

En effet, il avait eu une urgence et Anton avait été obligé d'y aller à sa place d'où son absence. Il lui avait dit de terminer ses deux semaines de vacances restantes tranquillement en se reposant, mais il y avait un petit problème à la banque, un nouvel associé qu'il suspectait de vouloir blanchir de l'argent à travers sa banque, et qu'il voulait donc attraper pour la prison directe.

Il n'aimait pas les traitres, surtout pas quand ceux-ci voyaient sa société en une banque de criminel. Même si c'était l'une des plus grandes, il l'avait créé en travaillant proprement et ce n'était en conséquence pas, un malfrat, qui allait venir tout faire chambouler pour des caprices d'argent.



En entendant cette phrase, elle se releva directement de son cocon douillet que lui faisait les bras musclés de Stan


Toute façon à quoi t'attendais-tu ? Il t'a utilisé et maintenant, repart faire sa vie dans son pays d'origine. Une de plus sur la liste d'amante du milliardaire le plus médiatisé d'Europe et du monde Stanislas volk.
Bravo Elina... intervint immédiatement sa raison


- Je veux rentrer tout de suite... dit-elle froidement sans le regarder


- Et moi, je souhaite que tu partes avec moi en Russie... Dit-il en voyant qu'elle avait déjà mal interprété ses intentions


- Quoi ? Demanda-t-elle, surprise, mais aussi heureuse de savoir qu'il voulait une suite à leur histoire

- Tu m'as compris, je souhaite que tu viennes avec moi en Russie. Je ne veux pas partir loin de toi pourtant le boulot m'y oblige et je ne compte pas partir sans toi moy Angel... lui dit-il en l'attirant vers lui pour qu'elle puisse se rasseoir sur ses jambes à nouveau tout en lui caressant les fesses.

Il aimait bien faire cela et surtout qu'elle en avait de tellement douce au touché. Cela devenait une habitude ; il voulait sans cesse la toucher, à croire qu'il était drogué par celle-là et tout ce qui était sur elle et en elle.

Il désirait la caresser, lui parler, la rendre tout simplement heureuse et il se promit de le faire

- Mais c'est ici que se trouve ma vie ! Mon travail ! Ma meilleure amie et tous ceux qui étaient là pour moi durant toute ma vie ! Répondit-elle d'une voix lointaine.
Je ne sais pas comment va réagir Arabelle

Il comprit qu'elle avait une vie ici et qu'elle ne pouvait pas quitter du jour au lendemain et c'est pour cela qu'elle avait une semaine pour le faire.

Il allait partir avec elle, qu'elle le veuille ou non, se dit-il

C'était égoïste, mais il n'y pouvait rien, c'était comme ça et pas autrement, conclut-il

- Je sais et c'est pour cela que tu as une semaine pour le dire à ta meilleure amie et tu sais, si elle veut, elle peut venir avec nous en Russie, cela ne me gênera pas le moins du monde du moment que je t'ai toi, c'est l'essentiel... répondit-il en lui volant un baiser ce qui fit rire Elina

- Je vais voir... répondit-elle simplement.

Elle avait envie de lui donner une chance, de leur donner cette chance-là pour voir où leur mènera cette relation.

Le Milliardaire Russe Et La Caissière Où les histoires vivent. Découvrez maintenant