chapitre 14

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GAELLE

J'ai attrapé une grippe sévère et me voilà clouer au lit pour une semaine. C'est Raki qui s'occupe de tout du business comme de la maison. Avec mes microbes là j'évite de toucher ma fille. C'est Raki qui la dépose et qui passe la récupérer chez la nounou et qui s'occupe d'elle une fois à la maison. Toute façon depuis qu'elle sait ramper celle-là elle n'arrête pas de suivre Raki partout dans la maison, impossible de la retenir. Je me demande ce que ça va être quand elle saura marcher. Donc j'étais dans mon lit à regarder la télé quand mes deux chéries sont entrées. Il y avait Raki (ma fille) qui cogitait à ma vue pendant que Raki essayait de la retenir

Raki : Je crois qu'elle veut faire un bisou à maman là

Moi : Maman aussi mais je ne veux pas la rendre malade

Raki : Ce n’est pas un bisou qui va la rendre malade

Moi : Tu es sure. Je prends le risque si c’est toi qui t’en occupe si elle tombe malade

Raki : Je passe. Tu vas mieux

Moi : Si je vais mieux là. La toux a arrêté et j’ai moins froid. Et toi ça a été ta journée ? Tu as l’air bizarre

Raki : A peu près hein. Il m’est arrivé un truc incroyable

Moi : Raconte.

Raki : Laisse-moi le temps de m’occuper de la chérie et je viens te dire la surprise du jour

Moi : D’accord. A toute à l’heure

Elle est ressortie avant que la chérie ne lui glisse des mains. J’ai reçu un appel en ce moment même. J’ai souri de toutes mes dents en voyant celui qui m’appelait.

Moi : Salut mon prince harceleur

… : Rhoo je n’aime pas quand tu m’appelles comme ça

Moi : Mais c’est ce que tu es.

… : Tu ne peux pas juste m’appeler mon amour

Moi : Mais je laisse le monopôle de ce surnom à Raki. C’est elle ton amour non

… : C’est vrai. Toi tu es ma tigresse

Moi : Donc toi tu ne vois que mon côté sauvage

… : Mais non tu aussi ma douce rondeur

Moi : Humm. Dis aussi que je suis grosse tant que tu y es

… : Mais tu n’es pas grosse. Tu es en chair et ça te rend sexy et c’est comme ça que je t’aime. Tu veux te disputer avec moi c’est ça

Moi : Même si je voulais j’oublie avec ce que tu viens de me dire

… : Alors tu vas mieux

Moi : Oui beaucoup mieux mais comme j’éternue toujours là j’évite d’approcher les pauvres gens même si ma fille me manque

… : Mais où as-tu attrapé cette saleté ?

Moi : Moi-même est-ce que je sais ? J’espère m’en débarrasser assez vite

… : Moi aussi. Tu me manques

Moi : Tu me manques aussi mon cœur mais viens me voir

… : Parce que moi je ne fais pas parti des pauvres gens qu’on peut contaminer

Moi : Mais ce n’est pas pareil. Toi tu es mon médicament. Tu as déjà vu un médicament tombé malade au contact de la maladie

… : Mdr tu es sure que ta grippe-là ne conduit pas à la folie

RAKIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant