Chapitre 7

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- Euuuuh....

- Tic tac tic tac, dépèche toi princesse, tu n'as plus beaucoup de temps.

- D'accord.

Je montai dans sa voiture et lui indiquai le chemin pour rentrer chez moi.

- Princesse, demain je viens te chercher, à 14h00, chez toi pour faire l'exposé.

Au même moment, il se garra devant chez moi.

- A demain princesse.

- A demain.

Je montai avec mes sacs jusqu'à l'appartement. Mais malheureusement, ma mère était là...

- Alors, tu as bien fais les boutiques ?

- Oui.

- Vas déposer tout ce que tu as acheté dans ma chambre.

- Quoi ?

- Va déposer dans ma chambre !

- Mais...

Et là elle me gifla.

- Dépêche toi.

Mais je n'allais pas assez vite à son goût. Elle m'arracha le sac des mains mes sacs et les jeta dans le salon.

- Tu aurais dû aller plus vite !

Et là, elle me frappa et, quand je tombai, elle me donna des coups de pied.

Je me débattai, mais m'évanouit. Quand je me réveillais, j'étais recrovillée contre le mur. Je regardai la pendule, qui indiquait 13h30. Je me levai avec difficulté et partis dans la salle de bain.

Quand j'arrivai devant le mirroir, je poussai un cri d'éffroi J'avais les cheveux en pétard, la lèvre enflée, un bleu sur ma pomette et plusieurs bleus sur mes bras, mes jambes et mon ventre.

Je parts sous la douche puis m'habillaid'un débardeur blanc, d'un sweat et d'un bas de jogging. Il restai pieds nus. Je mis de la crème sur mes bleus.

Tout à coup, quelqu'un frappa à la porte. Je regardais par le judas de la porte et vu Jackson. Merde! Il devait venir me chercher pour faire l'exposé !

D'un seul coup, mon portable vibra. C'est lui qui m'appelait !

- Allo, dis-je.

- Tu es où ?

- Bonjour, commet vas-tu ? je lançais sarcastiquement.

- Tu est où ?

- Je suis malade, je ne peux pas venir.

- Laisse moi entrer.

- Non ! criai-je affolée

- S'il te plais Chloé, laisse moi entrer.

- Euuh...

- Sinon je défonce la porte !

J'entrouvrai la porte mais laissai la chainette accrocher et je te laisse tranquille.
Je le laissai entrer mais me retournai avant qu'il puisse voir mon visage.

- Voilà, tu m'as vue. Maintenant, sors, dis-je en lui montrant la porte.

Histoire de deux personnes qui se détestaientOù les histoires vivent. Découvrez maintenant