Quarante-trois.

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©️@Preety__prod.

« Ils me rendent le mal pour le bien, et de la haine pour mon amour »

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« Ils me rendent le mal pour le bien, et de la haine pour mon amour ».































J'ai vidé toute mes tripes dans la cuvettes des toilettes.

Mais le pire, c'est quand je pensais que c'était finit et qu'une soudaine envie de vomir me revenait.

Cameron tenait mes cheveux en hauteur pour qu'ils ne soient pas salis pendant que je vomissais mes morts.

Cameron - Tu vomis toute tes fraises.

— ...je sais.

Je passe mon poignet sur mes lèvres puis tire la chasse d'eau.

Je me suis ensuite lavé les mains.

— Euh... désolé.

Cameron - De quoi ?

— Je devrai pas être en train de t'encombrer comme ça. Excuse-moi.

Cameron - Ferme-la.

J'ai souris.

Cameron - Boit de l'eau, t'es déshydratée.

— Anh, anh. C'est dégoûtant après. T'as pas une brosse à dent steplai ?

Il me tend une brosse à dent avec laquelle je me suis lavé la bouche entière.

Cameron - Je suis fatiguée là. Il est quatre heures putain.

— Désolé. Va dormir.

Cameron - Mh. Revient après.

— Non. Quand je suis réveillée, je suis réveillée. Je vais t'embêter alors va. Aller casse-toi.

Il sort de sa salle de bain et je place la brosse à dent là où se trouvait toute les autres.

Quatre heures du matin, et je lâche toute mes tripes.

Tout ce que j'ai mangé, je l'ai recraché. Et là, j'ai encore faim.

Je soupire puis attache mes cheveux en un chignon en hauteur.

____

— *chuchote* Eh. Tu m'as pris des habits ?

«Bébé ya motema». Où les histoires vivent. Découvrez maintenant