Bonjour chers lecteurs, heureux de vous revoir. O K L M. Hehehe, prêt pour un nouveau livre ? MOI OUI.
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3 ans passées
Pdv Aurélie Sangi.
- MAMAN ! Criais-je le plus fort possible pour évacuer ma joie.
Elle entra brusquement dans ma chambre. Me voyant assise sur le lit avec une lettre et elle me regarda interloquée.
- JE SUIS PRISE DANS L'UNIVERSITÉ ! Sautais-je dans tous les sens dans ma chambre.
Elle me prit dans ses bras et m'embrassa le front.
- C'est fantastique. Me chuchota-t-elle.
- Papa, si seulement il avait été là. Chuchotais-je à mon tour attristée que mon papa ne soit pas là pour fêter cette bonne nouvelle.
Notre étreinte prit fin. Je courus vers mon natel qui était posé sur mon chevet, je le pris et tapotais le plus vite possible.
De : Moi
DYLAN ! J'AI ÉTÉ PRISE DANS L'UNIVERSITÉ DE SAN FRANCISCO! (Faisons genre qu'il en existe une hein)
De : O'Brien le bg
C'est cool.
Quel connard. Oui, durant ces trois années nous étions encore plus proche et à vrai dire, les journalistes se sont demandés si nous étions en couple, juste à y repensé me fait rire.
On aimait surtout se taquiner, nous nous étions quand même disputés mais au bout de quelques heures, c'était fini.
De : Moi
Connard.
De : O'Brien le bg
Je t'aime.
De : Moi
Pas moi, c'est dommage. :D "sourire de vainqueur"
De : O'Brien le bg
:o "visage choquer"
J'étais morte de rire, il était tellement con.
De : Moi
Tu vas te calmer direct, respecte moi. "tête sérieuse"
Il ne répondit plus rien, alors je continuais de relire sans cesse la lettre. J'étais trop fière de moi, c'était presque un rêve, en plus de ça, c'était le jour avant mon anniversaire, c'était comme un cadeau mais un peu en avance.
Je descendis, en pyjama, prendre mon petit déjeuner. Je me servis un café, demain j'aurais enfin 18 ans, ça passe si vite.
Je lisais le magazine People, quand je vis une photo de moi avec Dylan.
" Dylan a t-il trouvé une copine? Elle a l'air d'être très jeune mais ils sont souvent ensemble. Se passent-ils vraiment quelque chose? Qui est vraiment cette fille?"
Bah alors oui, c'est mon copain, j'ai 17 ans et il a juste 26 ans hein! Non mais sérieux, tu te demandes des fois si les journalistes sont allés à l'école, parce qu'ils trouvent souvent des trucs qui sont ... insensés.
Bref.
Je devais aller chercher encore un travail à mi-temps pour pouvoir, bientôt, habiter dans mon propre appartement, alors je mis ma veste en jean et mis mes chaussures à talons noirs.
Je me dirigea dehors quand je fus surprise du nombre de journaliste qui s'y trouvait, enfin de compte, j'irais trouver un travail demain.
Je me dépêcha de retourner dans ma maison, ma mère fut autant surprise que moi des journalistes devant notre maison.
- Ils vont jamais te lâcher. Souffla t-elle en se posant sur le fauteuil.
- Désoler maman. Lui dis-je en passant une main derrière ma nuque. J'aimais pas faire endurer ce genre de chose à maman. Ça faisait quelques semaines que les journalistes me suivaient un peu... partout? Oui, voilà, partout. Ça en devenait vraiment fatiguant et les questions étaient toujours les mêmes.
"Êtes-vous en couple avec Dylan O'Brien?"
"Avez-vous coucher ensemble?"
Les questions sont plus stupides les unes que les autres. Pfiou.
Au bout d'une bonne heure, il n'y avait plus aucun signe de journalistes, alors je décida de sortir.
Sur la route, en direction du centre commercial, je croisa quelques fans qui voulaient faire des photos ou sinon je devais leur signer une feuille. Pourtant, je n'ai rien d'exceptionnel, je traine juste avec Dylan O'Brien... Mais les fans étaient hyper choux quand même.
Je marchais tout en observant les différents magasins où je pourrais y travailler quelques temps, mais je ne trouvais rien.
- Vous cherchez un boulot à mi-temps? Me demanda une fille, de mon âge environ.
- Euhm, oui.
- J'ai ce qu'il vous faut. Me dit-elle toute souriante.
Elle m'emmena dans un magasin d'habits. Elle me fit passer un test sans mon avis mais ce n'était pas très grave. Elle revint vers moi au bout d'une demie heure et j'avais fini.
- Super, vous pouvez repasser demain. Toujours avec son grand sourire.
- Au revoir et merci. Lui dis-je en souriant et en me dirigeant vers la sortie.
J'ouvrais la porte de chez moi quand quelqu'un m'appela.
- AURÉLIE !
