Chapitre 23 Easton

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Tout allait bien entre Charlie et moi.
Vraiment bien, nous passions 90% de notre temps ensemble et j'étais persuadé que ma furie accepterait ma proposition.
J'ai vue ses yeux briller quand elle était au garage et j'ai bien compris que l'idée l'avait séduite.
Nous n'en avons pas reparlés mais Deby m'adit que c'était sur la bonne voie.

Avec moi elle a pas mal changée.

Avant elle se limitait aux démonstrations affectives dans ma chambre ou en privé , depuis hier elle n'hésite pas à m'embrasser, me câliner ou être tendre avec moi .

J'étais sur mon petit nuage.

Alors qu'est-ce qui a changé me demanderiez vous.
Un enculé de fils de pute jaloux lui a balancé pour le plan .

Andy nous entendu discuter Warren et moi, je lui reprochais que dans le plan initial il était censé me mettre un seul coup et pas me defoncer comme il l'a fait.
Nous en avons un peu trop dit sans nous rendre compte qu'on nous écoutait.

Il a couru voir Charlie pour le lui répéter.
Me voilà donc ligoté à mon lit en train de subir les pires tortures sexuelles possible.
Comment j'en suis arrivé là ? Et bien cette teigne m'a chauffé à mort et quand on a rejoint ma chambre elle m'a charmé au point que je cède devant son envie de m'attacher.

Comme on a l'habitude de tester certains trucs je me suis dis pourquoi pas.
Donc je suis à poil, attaché contre les barreau du lit .
Quand à Charlie... Elle se trouve en face de moi, nu, assise sur une chaise jambes écartées en train de s'amuser avec un gode.
Ses gémissements me font péter les plombs.

- Allez Charlie detache moi merde !

- Pourquoi ? On s'amuse bien là non ? Dit-elle.

- Je suis en train de bander comme un dingue, j'ai la queue en feu et je ne peux même pas te toucher râlais-je.

- Hmmm gemis-t-elle.

Je crie de frustration.

- Parfait, t'as gagné crachais-je, je suis sincèrement navré d'avoir du te manipuler mais je ne regrette pas.
Je te veux charlie et je suis prêt à tout pour t'avoir.

- Tu n'avais pas le droit de monter un plan aussi machiavélique même si je me doute que ça vient de ma mère .
Tu n'es pas assez retors pour avoir penser à ça tout seul dit-elle.

- Charlie bougonnais-je, tu veux pas de ma queue en toi ? Cette belle queue qui te fait hurler de plaisir ? Cette queue qui sait parfaitement ce que tu aimes et ne rechigne jamais a te le donner ?

- Oh mais je vais la prendre dit-elle, je vais chevaucher jusqu'à jouir à en hurler et toi tu resteras attaché.
Si tu promets de ne plus jamais recommencer je pourrais peut-être te faire jouir aussi.

Je déglutis bruyamment quand je la vois retirer le gode, se lever et s'avancer vers le lit.

- Tout ce que tu veux mais putain de bordel baise moi ! Criais-je a bout de nerfs.

- Une phrase complète mon chéri dit-elle en s'asseyant à califourchon sur moi.

Elle saisit ma queue et commence à descendre tout le long avant de remonter.

- Je... je te jure que plus jamais j'essayerais de te manipuler bafouillais-je.

Elle tient ma queue bien droite avant de se baisser et la prendre toute entière.
Un gémissement sauvage s'échappe de mes lèvres.

Elle commence à se mouvoir mais j'ai besoin de plus, la elle me torture.

- Relâche moi une main suppliais-je.
S'il te plaît charlie juste une.

- Nan repond-elle en accélérant.

Ses mains se posent sur mon torse, elle prend appuie avant de me chevaucher plus fort, plus vite.

J'halete mais je ne suis pas entièrement satisfait puisque je ne peux pas la toucher.

Elle va de plus en plus vite, le plaisir remplace la frustration .
Je l'encourage à aller plus vite.
Je pourrais la supplier tellement j'ai besoin de jouir.

Ses halètements rejoignent les miens et j'explose avant elle.
Elle me suit de près en s'effondrant contre moi.

Je mets du temps à reprendre une respiration normal, à reculer mon rythme cardiaque.

- Detache moi bébé j'ai besoin de te prendre dans mes bras lui dis-je.

Elle se tortille jusqu'à récupérer les clés des menottes et des qu'elle me détache je la retourne dos sur le lit.
Je me positionne au-dessus d'elle.

- Cette fois c'est à moi de prendre les rênes susurais-je et croit moi, tu vas me le payer.









CharlieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant