#Chapitre_23

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Tous rassemblés dans le monde invisible, nous reflechissions à l'offensive qu'il fallait lancer contre David et mes parents.

Saint Charles : Nous devons avoir une stratégie pour pouvoir les attaquer.

Jimmy : C'est bien ce que je pensais aussi, mais qu'est ce qu'on va alors faire ?

Babahicha : La première chose que vous devez savoir dans le combat spirituel c'est l'unicité d'esprit. Si vous êtes issus du même esprit, vous aurez le dessus.

Jimmy : C'est exact, suprême !

Babahicha : Je ne sais pas si tu m'as bien compris. Ça signifie aussi, que s'ils sont unis, ils seront puissants. Ce qu'il faut faire c'est les séparer.

Saint Charles : Exactement.

Jimmy : Ah ça, il faut aussi bien choisir le terrain. On ne fait pas la guerre à l'ennemi dans son territoire.

Moi : Hum !

Jimmy : Pourquoi Hum ?

Moi : Non rien.

Jimmy : Je sais que ton coeur est porté vers eux mais sois lucide, ils ne veulent pas ton bien, c'est nous ta famille maintenant.

Moi : Ok !

Saint Charles : Où est ce que ça aura donc lieu ?

Babahicha : Mais quelle question. Quel est l'endroit où vous ressentez le plus ma présence sur la terre ?

Moi : Le temple !

Babahicha : Alors, que voulez-vous d'autre ?

Jimmy : C'est bon. On va les attirer là-bas, et on en finira une bonne fois pour toute.

Moi : Et comment on fait pour les séparer ?

Jimmy : Hum on va commencer à les attaquer en route. Il faut se rassurer que ce ne soit pas tout le monde qui arrive au temple, comme ça ce sera plus facile.

Saint Charles : Très bien. Alors tout est en ordre.

Finalement, on était parvenus à un plan. Les attirer dans notre chapelle pour en finir. Il fallait maintenant communiquer le lieu où devait se tenir cette confrontation, ayant tracé un itinéraire complet.

Puisque j'étais le seul à maitriser les déplacements de nos ennemis, j'avais fais recours à l'ubiquité et je me suis rendu chez nous une nuit vers 1h après leur prière.

Je suis rentré dans la chambre de mes parents.

Ils étaient là allongés et je me suis mis à pleurer. Je pleurais en criant, et mes cris ont d'abord réveillés ma mère qui est brusquement sorti de son sommeil

Ma mère (effrayée) : Edgar ? Edgar mon fils, c'est toi ?

Moi : Maman, ils veulent me tuer, maman, aides moi.

Ma mère : Mon fils, tu ne peux pas mourir. Viens on va prier pour toi.

Moi : Je ne peux pas maman, ils me retiennent prisonnier.

Comme elle parlait elle est descendue du lit et se rapprochait de moi. À quelques mètres près c'est mon père qui l'a stoppé.

Mon père : Stop ! Ne le touche pas.

Ma mère : Ne pas toucher mon fils comment ? Je vais dire quoi s'il lui arrive quelque chose ?

Mon père : Attends d'abord. Edgar, c'est toi ?

Moi : Papa, je t'en supplie, viens me sauver, ils veulent me tuer.

Mon père : Tu es où ? Où est ce que tu te trouves ?

#Regards_Meurtriers !    Où les histoires vivent. Découvrez maintenant