Toi, T/p, est trouver par une jeune femme d'environs 16 ans. Elle va t'emmener chez son cousin, le compte Phantomhive. Tu va le rencontrer lui, son majordome et son ennemi. Alors que tout se passe bien tes sentiments vont se mêler à l'histoire. Mais...
Un jeune homme, qui semble avoir mon âge, au cheveux bleu-gris, son œil gauche est cacher par un cache œil, son droit est d'un magnifique bleu profond est assie sur un lit identique au mien en train de boire du thé.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
- Mey-rin : Excuser moi monsieur, mais je viens pour T/p.
- ??? : T/p ! Que se passe-t-il ? Elle va mal ?
Le garçon se lève et s'approche de Mey-rin, on dirai quil ne ma pas remarquer. Mey-rin me pousse en avant pour que je sois devant lui.
- ??? : T/p ! Tu est réveiller, Dieu merci !
Il me fait un câlin. Il est un peu plus grand que moi, je sens son souffle chaud dans mon cous.
- T/p : Exuser moi monsieur, pouvez vous me lâchez s'il vous plaît ?
Il s'écarte d'un bon et me regarde surpris.
- ??? : T/p, p-pourquoi tu m'appelle monsieur ?!
- T/p : Vous connaissez mon prénom ?
- ??? : Mais bien sur ! Je suis Ciel Phantomhive, on se connais depuis que nous somme petit !
- T/p : A bon ?
- Mey-rin : Sais pour ça que je me suis permis d'entrer sans m'annoncer. Elle nous a oublier !
- Ciel : Comment ?! Sébastien, a-t-il un moyen de lui faire retrouver la mémoire ?
Un homme, grand au cheveux noir, des yeux orange presque rouge et porte un costume de majordome. Est debout près de la table de nuit.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
- Sébastian : Toute mes excuse maître, mais nous ne pouvons rien y faire. Il y a que lady T/p qui a la clé de sa mémoire.
- Ciel : Il n'y a aucun moyen de l'aider, même un peu ?
- Sébatian : Il y a bien un moyen, mais sa pourrait être dangereux pour lady T/p, sais a utiliser en dernier recours maître.
- Ciel : Je comprend. T/p, dois-je te vouvoyer ?
- T/p : D'apres se que vous mavez dit, nous nous connaissons depuis longtemps, alors je suppose que nous pouvons nous tutoyer.
- Ciel : Tres bien, allons manger.
Ciel et moi marchons vers la sale a manger. Il a pris sa canne avec.
- T/p : Pourrait-tu me dire comment nous nous somme connu ?
- Ciel : Nos parents étaient des amis proche, ils se voyaient souvent. Alors quand nous somme née, et qu'ils se voyaient, ils nous laissaient ensemble et nous jouions pendant des après-midi entière.
- T/p : Pourquoi tu dit "étaient amis" ? Nos parents ne le sont plus ?
- Ciel : Se n'est pas ça...
- T/p : Si se n'ai pas trop indiscret, que sais til passer ?
- Ciel : Je n'aime pas en parler mais... pour toi...
- T/p : Tu n'es pas obliger.
- Ciel : Mes parents sont morts dans l'incendie du manoir...
- T/p : Je suis vraiment navrée...
Ciel s'arrête, je fais alors de même.
- T/p : Que se passe-t-il ?
Il s'approche de moi et pose sa main sur ma joue.
- Ciel : Aprez cette événement, tu as été la pour moi et-
Il regarde mes lèvres quelques secondes, je vois dans ces yeux de l'envie.
BOOM !!!
Je sursaute. Ciel soupir et recommence à marcher vers la sale a manger. J'ai l'étrange sensation qu'il y avait quelque chose de forte entre Ciel et moi avant que je perde la mémoire. Avant que je perde de vue mon ôte, moi aussi je recommence ma marche. Nous arrivons a destination et voyons, comme la dernière fois, de la vaisselles casser au sol.
- Ciel : Sais pas possible, Mey-rin il faut vraiment que je te rachète de nouvelle lunette.
Les lunettes de Mey-rin sont effectivement casser.
- Mey-rin : Je suis vraiment désoler... Je m'était la table quand jai vue l'annonce du journal...
- Ciel : Passe le moi.
La domestique donne le journal à Ciel. Il le prend et lit le titre en première page.
