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Je sort de la chambre de Ciel, heureuse d'avoir retrouver quelques souvenirs même si se nai qu'une infime partie de ma memoir.
La matiner se passe sans encombre. Les repas sont délicieux et je passe de superbe moment avec mes amis, Mey-rin, Finnian, Bradroy et Ciel.
Mais je vais bientôt aller voir mon manoir, je prend mon collier dans ma main, il m'ai chère, je ne sais pas pourquoi mais je compte bien le découvrir.
Ciel et moi somme dans une calèche, je regarde le paysage qui est très beau. Nous passons d'une magnifique forêt à un village plein de vie. Nous arrivons bientôt à destination.
La calèche s'arrête et mon compagnon de voyage sort, une fois à terre il le tend la main pour m'aider a desendre, je la prend et me retrouve devant un grand manoir.
Nous nous avançons jusque arriver devant la porte d'entrer qui est cassé.
- Ciel : Tu est sur de toi ? Il n'ont pas encore enlever les corps je ne pense pas que se soit une bonne idée.
- T/p : Je... Je dois savoir, alors en avant.
J'avance d'un pas peu confiant, Ciel me suit. Devant moi se dresse un grand escalier en bois sur le quelle une femme baigne dans son sang, sais surment une domestique au vue de ces habille. Elle devait surment faire le balai avant de mourir, elle le tien encore.
Je fixe le corp de la jeune femme, elle est si belle. Un mal de crâne surgis comme se matin.
Je vois cette femme et moi, nous passons le balai ensemble et rions, je fait un gateaux pour l'anniversaire de ma mère avec elle et je lui jeté de la chantilly, nous dansons, nous nous disons des secrets. Que de beau moment passer avec elle, Katrina, ma meilleur amie. Malgré l'énorme différence d'âge, nous nous entendons a merveille.
Je retrouve la réalité et sens une goutte rouler sur ma joue. Ciel pose sa main sur mon épaule.
- Ciel : Elle est la première à être partie.
Je approche du corps de Katrina, elle porte une bague en argent, tout les employer du manoir la portait. Pour ne pas les oublier je prend la bague et l'enfile à mon doigt, je touche le corp sans vie de ma meilleur amie et monte les escaliers.
Ciel me suis de près. Nous allons voir la salle de balle, la salle à manger, les chambres des domestiques, la cuisines et finissons par ma chambre. Nous arrivons devant et je vois une femme, assie au sol, elle me ressemble beaucoup. Elle est assise devant la porte, comme si elle voulais protéger quelque chose à l'intérieur. Je suis paralysée par la peur, la tristesse et la colère. Quelqu'un a tuer toute ma famille, mes amis je ne lui pardonnerai jamais.
- Ciel : Sais ta mère, elle a donner sa vie pour toi.
Je vois sur son cou des trace rouge. Pas comme si quelqu'un l'avais étrangler, plutôt comme si elle avait fait une réaction allergique à un collier. Je vois alors mon rêve se lier à la réalité. Ce n'aurais pas un simple rêve, s'était la dernière fois que jai vue la personne qui ma donner la vie. Je sers alors mon collier de toute mes forces pour ne pas craquer, elle ne voudrait pas me voir pleurer, elle voudrait me voir heureuse et sourir. Mais je fond en larme, je m'effondre au sol. Ciel s'assoie au sol et me prend dans ces bras, des bras rassurant et compatissant. Je pleure pendant plusieurs minutes, une fois calmer je la déplace doucement pour pouvoir entrer dans ma chambre.
J'ai retrouver beaucoup de souvenir dans mon enfance, mais pas ce plus proche que mes 10 ans.
J'ouvre la porte et me retrouve face à ma chambre. Elle est très simple et sobre. Je la regarde attentivement, la fenêtre est fermer et ma mère était devant la porte, alors comment je suis sorti ? Je jette un petit coup d'oeil vers la fenêtre et vois qu'il fait bientôt nuit. Je demande alors à Ciel de rentrer, il accepte et nous redescendons. Nous sortons, je me dirige vers la calèche mais j'entend un son qui m'alarme.
- ??? : Ahuhuhu !
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Un Amour Oublier •{X Reader}• •{French}•
Fiksi PenggemarToi, T/p, est trouver par une jeune femme d'environs 16 ans. Elle va t'emmener chez son cousin, le compte Phantomhive. Tu va le rencontrer lui, son majordome et son ennemi. Alors que tout se passe bien tes sentiments vont se mêler à l'histoire. Mais...