Un Amour Oublier •{X Reader}• •{French}•

•{Chapitre 18}•

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Arg !

Ma tête me fait un mal de chien ! J'ouvre les yeux, éblouie par la lumière. Je suis dans ma chambre, on doit être début printemps pour que le soleil brille autant. Je regarde vite fais par la fenêtre et vois que je suis à nouveaux dans le manoir Phantomhive. Une voix aigüe viens frapper mes oreilles.

- ??? : T/... ! T/p t... est ...é !

Je... quoi ? Je tourne la tête vers le son et voix Lizzie habiller d'un rose claire.

- Lizzie : T/p, tu est vivante ! Tu m'as fait si peur !

Qu'est-ce que ? ... je ne comprend pas.

- Lizzie : Tu a dormie si longtemps que beaucoup on penser que tu ne te réveillerais jamais, mais j'ai garder espoir, comme tu me l'as appris !

Je lui est appris ?

- T/p : Qu'est-ce qui s'est passer ?

- Lizzie : Ciel m'a dit que lui, Alois et toi vous vous premeniez en ville et une calèche t'a foncer dessus !

- T/p : Une, calèche ?

- Lizzie : Oui ! Et elle sais enfouie après.

Je ne me souviens que très vaguement, mais il n'y a jamais eu de calèche qui ma renversé, sa c'est sûre.

- T/p : Je lui faisant sans doute trop peur !

Il ne vaut mieux pas que Lizzie sache que Ciel lui a menti, il sont déjà en froid, je ne voudrait pas en rajouter une couche.

- Lizzie : Sais pas le moment de rigoler ! En plus tu est très belle.

- T/p : D'accord, d'accord, j'avoue que je suis la pluuuus belle de l'univers.

- Lizzie : N'exagère pas.

- T/p : Sais pas tout mais je doit aller parler à Ciel et Alois.

Je soulève ma couverture rapidement et tenta de me lever, dans un grand boom je me retrouve étaler au sol.

- Lizzie : T/p !

Elle se précipite vers moi.

- Lizzie : Viens pas là.

Elle passe mon bras sur son épaule et me souleva pour me replacer dans le lit, je m'appuie sur mes avant bras pour me mettre a demi-coucher.

- Lizzie : Si tu veux parler à ces deux idiots, je vais les prévenirs.

Lizzie partie et ferma la porte doucement. Au même moment, un oiseaux se posa sur le rebord de ma fenêtre, il était noir, surment un corbeau. La porte s'ouvrit dans un grand bruit. Un homme, aussi noir que le corbeaux arriva en trompe dans ma chambre. Sébatian paraît soulager et, comme si il se téléporte, se trouve à coter du lit, accroupie. Il prit mes mains dans le sienne et y posa sa tête.