🕊 Mon amour 🕊

• Chapitre 83 •

Je la fois serrer la mâchoire et lever son bâton en affichant à lécher sourire. Je ferme les yeux et reçois un énorme coup sur le ventre. Je sens une forme douleurs en bas du ventre, des contractions, c'était invivable.
Je me plis en deux et m'écroule par terre. J'avais du mal à respirer, mes larmes coulaient de plus en plus:

Elle: bienvenue à l'enfers ma chérie, nous allons vous accueillir pour un petit moment, car vous allez mourir toi et ton bébé, dit elle en éclatant de rire juste après.

De quoi elle parle celle là ? Qu'elle bébé. J'avais du mal à respirer, mes mains toujours menottés j'arrivais pas à me relever:

Moi: snif... Quelle bébé ?
Filiz: krkrkrkr... je sais déjà tout, Omer me l'a dit, vous attendais un enfant

Pardon ? Comment sa Omer a dit sa, c'est faut. Je ne suis même pas enceinte, du fait je l'aurai su. Nous avons parler de ce sujet certes, mais c'est tout :

Moi: c'es.... je ne suis pas enceinte, dit-je avec difficulté
Elle: je sais que tu fait sa pour que je laisse ton enfant, mais ce n'est pas bien de séparer un enfant de sa mère tu sais ?
Moi: Filiz... je te dit que je ne su....
elle: ne te force pas ma chérie, tu aura besoins de tes forces pour crier ce soir.
Moi: Filiz... tu ne peut pas faire sa, dit- je les larmes au yeux

Son regard prend une autre allure, et devient soudainement plus dur, elle s'accroupie et répliqua:

Elle: est ce que tu m'à écouter quand je t'es supplier de ne pas te lier avec Omer ? Tu m'a écouter ? As tu penser à moi ? Non... personne l'a faite
Moi: Filiz.... je te supplie d'arrêter, tu souffres et je le sais... aïe... mais c'est pas comme sa que ta haine vas disparaître
Elle: mais si, réfléchie un peu, quand tu sera morte.. Omer tombera dans mes bras ! Je t'avais dit depuis le début de le quitter, mais je vois que t'es têtue comme une chienne c'est normale

J'arrivais plus à répondre, elle commençai à me faire peur. Ou es tu Omer ?
Soudainement, j'ai une forte douleur au niveau et de la tête, je commençai à voir floue:

Elle: tu as la seringue ? S'adressa à son homme
Lui: oui patronne, tu est près !
Elle: pique la, 3 fois par jour à partir de maintenant
Lui: mais... elle ne pourras pas supporter
Elle: c'est tant pis pour elle.

Le regard floue, je distinguais mal leurs conversation. Tout à coup, un homme s'approche par derrière et attrapa mes poignets, et me pique une seringue si fortement, que cela m'avais tuer. Je sentais déjà la douleur si affreuse que quelque larmes avaient échappée.
Une fois finis, il me pousse pour que je m'allonge sur le parquet. Je s'ouvrai déjà, je commençai à avoir chaud et froid en même temps. Une envie, un désir que je ne serai pas décrire ma peur , ma respiration qui s'accélère. J'avais l'impression qu'on m'enfonçais des coups de couteau au ventre, c'étais affreux. Cela devais cesser, la mort et la meilleure moyen, je ne pouvais plus attendre plus longtemps avec cette misère.
Je commence à trembler, la sueur au niveau de mon front. Qu'est ce qu'il ce passe:

Filiz: alors raconte ? Qu'est ce que tu ressent ? Tu s'ouvre hein ? Tu as chaud, mais à la fois froid, tu ressent plein de sensations bizarre hein ? Krkrkkrkr
Moi: arrête.. sur t'en supplie, dit- je en chuchotant
Elle: arrêter ? Tu rigole j'espère, nous avons à peine commencer ma belle. Nous allons aller progressivement, fait nous confiance, dit -elle en me regardant souffrir.

Je pouvais plus souffrir, c'était trop fort pour moi. Omer, mon amour vient me sauver. Je mémorisais pleins de flashback que lis avons passé ensemble, la demande, le jour de notre mariage, notre premier baisser, ses câlins et caresse. J'ai pas su être à sa hauteur, et je regrette. Oui je regrette d'être été aussi dur avec lui. J'ai eu peur, très peur qu'il soit l'un d'eux, qui bat, humilié, frappe, maltraité sa femme. J'ai voulue moi aussi montrer mon caractère comme dit Eda. Je voulais qu'une chose, que cela s'arrête, il m'avais infectée quelque chose de très fort, de la drogue pour me droguer, je sentais que je devenais folle: