• Chapitre 92 •

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Quelque minutes après, nous arrivons devant son nouveau lieu de travail où elle n'étais même pas au courant.
Elle descend sans rien dire, elle ne comprenais rien de ce qu'on avait à faire ici, en plein centre ville de Nancy:

Elle: tu te moques de moi c'est sa ?
Moi: même pas
Elle: on fait quoi ici alors ?

Je lui tend le doigt vers un vieux bâtiments qui était en plein construction:

Moi: c'est la bas...
Elle: c'est quoi la bas ?
Moi: bah vas regarder

Elle avance doucement vers l'entrée, ou une plaque en argent été accrochée juste à côté de la sonnette.
Elle s'approcha de plus en plus, et aperçois enfin son nom et prénom gravée.
Je pouvais apercevoir son sourire. Elle se tourna vers moi, l'intérieur de ses yeux brillais.
Elle s'approcha précipitamment et s'arrêta à quelque mètres:

Elle: c'est le meilleure cadeau que je n'est jamais eux
Moi: tu me remercie comme sa ?
Elle: merci mon amour
Moi: attends... tu m'embrasse pas ou tu me prend pas dans tes bras ?
Elle: je te rappelle qu'on est dehors Omer ... regarde le tas de gens qui passe
Moi: et alors, je vois pas le problème
Elle: tu vois jamais le problème, imagine quelqu'un nous vois ?
Moi: ok ok... tu veut rester discrète et me remercie autrement à la maison ? C'est bon j'ai captée
Elle: pffff...
Moi: mais ce n'est pas finis. Tu ne veut pas voir l'intérieur ?
Elle: l'intérieur ? Vraiment ?
Moi: bien sûr

Je lui prend la main et avançons vers l'intérieur du bâtiment.
J'ouvre la porte du cabinet et Elif entre la première, stupéfaite de son nouveau lieu de travail.
Elle s'avance et visite l'intégralité du bâtiment. Je m'approche d'elle dans qu'elle ne se rende compte, je pose mon menton sur son épaule et entouré mes mains autour de sa taille:

Elle: c'est magnifique !
Moi: je me suis inspirée de ton ancien cabinet
Elle: mais je préfère celui là !

Je la voyais toute excitée, elle était folle de joie. Je part m'adosser contre la table:

Elle: mais y'a a truc que je n'arrive pas à comprendre...
moi: vas-y, je t'écoute
Elle: comment tu as eu le temps de préparer tout sa en si peut de temps, alors que nous sommes aller en vacances ?
Moi: j'avais tout organiser avant notre départ, et je suis resté en contacte avec l'architecte intérieur
Elle: j'arrive toujours pas à y croire tu sais
Moi: sa te plais
Elle: tu rigoles, je sur kiffe !!!

Elle se précipite vers moi et me prend, cette fois ci dans mes bras. Son parfum me chatouillais les narines, elle me complais à chaude contacte le vide dans mon cœur.

Quelque temps après, elle se détache de moi gênée, puis se met contre mon torse. Elle enroule ses bras autour de sa poitrine et me laisse la place pour poser à mon tours les miens sur sa taille:

Moi: tu pourras aménager d'ici 2 semaine
Elle: tamam ( d'accord ) ... mais avant sa, je doit quitter l'entreprise
Moi: tu était à l'entreprise pour une courte durée
Elle: je le sais bien Omer... mais j'ai peur que ton père vas mal le prendre
Moi: mais pas du tout, nos projets regardent juste toi et moi.
Elle: dogru haklisin ( c'est vraie tu as raison )

Quelque minutes plus tard, je rétorque:

Moi: tu sais quoi ? En fait on annule tout...
elle: ne ! Sacmalama Omer ! ( quoi ! Ne délire pas Omer )
Moi: t'as vraiment crus que j'allais me retrouvé seul là bas ?
Elle: bah quoi ? On se retrouvera le soir
Moi: non... c'est très peu
Elle: désirez-vous passer plus de temps avec votre épouse monsieur ? Demande t'elle ironiquement
Moi: oui... je la veut chaque seconde de ma vie, continuai-je à répondre
Elle: je vois que vous êtes follement attachée à cette femme ?
Moi: bien sûr, c'est ce que l'on appelle la force de l'amour, poursuivais- je le jeu
Elle: krkrkrkr

🕊 Mon amour 🕊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant