Partie 28
Bismileh
# Dans la peau de Samia #
J’en crois pas mes oreilles. Il vient de me dire Je t’aime. Il m’a enfin avouer qu’il m’aimait…
Je devrais me réjouir mais j’arrive pas. Au lieu de ça, j’en pleure. J’en pleure parce que oui, encore une fois il brise tous ce que je construis. Doucement je commençais à remonter la pente, à réussir à lui parler, à ne plus penser qu’a notre histoire. Je mettais trouver quelqu’un d’autre. Et faut qu’il vienne tous niquer.
Il a toujours un train de retard. Il m’aurait dit ça pendant le mariage, je lui aurais sauté au coup, mais je peux pas, j’y arrive pas. C’est trop facile
- Moi : Sors de ma chambre !
- Hakim : Il se fou de t’as gueule Samia
- Moi : Non c’est toi qui te fou de ma gueule. Casse-toi !
- Hakim (me prenant par le bras) : Il t’aime pas putain ! Il fait ça juste pour me faire (le coupant)
- Moi (Le coupant) : Sors d’ici, sors de ma vie putain ! Je veux plus te voir, ni t’entendre !
- Hakim : Samia s’il te plait (me touchant l’épaule)
- Moi (Me reculant) : Ne me touche surtout pas. Vas t’en ! Tu m’as, tu m’as assez brisé comme ça…
Il me regarde une dernière fois et sort en claquant la porte. Je sursaute et m’effondre dans mon lit. Je le déteste, je le deteste. C’est fini, je me laisserais plus faire, ni m’approcher. Quand je suis avec lui, il me détruit, rien de plus…
- Sofia : Samia t’es prête ?
- Moi (Pleurant) : So, Sofia…
Elle ferme la porte derrière elle et cours vers moi. Je la prends dans mes bras et lui raconte ce qui sait passer. A la fin, elle sait retrouver à pleurer avec moi.
- Moi : Pourquoi tu pleurs ?
- Sofia : Parce que je suis mal pour toi wallah. Mal de vous voir souffrir comme ça alors que vous etes fait l’un pour l’autre
- Moi : Non arrête. Hakim est moi c’est mort
- Sofia : Mais il te la dit. Il t’a dit ce que tu as toujours rêvé d’entendre
- Moi : Oui mais… (Baissant la tête) Ca change rien. C’est trop tard maintenant. Je suis avec Sofiane
- Sofia : Sofiane si Sofiane ça ! Dis moi depuis quand t’as pas de ses nouvelles tiens ?
- Moi : (Silence)
- Sofia : Samia dit moi
- Moi : 1 semaine…
- Sofia : Et tu trouves ça normal ? Il va te sortir une excuse bidon zehma il avait plus de phone cette fois ci ? Ou il l’avait laissé à son taffe pendant 2 jours comme la dernière fois ? Samia, te voile pas la face
- Moi : Je, je suis sur qu’il a une bonne raison
- Sofia : La bonne raison c’est qu’il est partie voir ses putes pendant que toi tu l’attend bien sagement.
- Moi : Il est pas comme ça. Tu le connais pas
- Sofia : Et tu crois que toi tu le connais ? Ca fais à peine 3 mois que tu le connais. Le gars y t’as embobiné, ouvre les yeux
- Moi : (Silence) Tu dis n’importe quoi, je le connais (me levant) Bref, on y va ?
- Sofia : Quand tu seras prête à ouvrir les yeux j’espère que ce ne sera pas trop tard mais oubli pas que à ce moment-là je serais quand même la (en partant)
Ok je le connais depuis très peu de temps mais non, ce n’est pas son genre, il n’est pas comme ça. Je sais qu’il tient à moi, que jamais il n’oserait me tromper. Je suis pratiquement sur…
Je me regarde dans un miroir et laisse tomber ma tête. J’enfile une paire de lunette, me fais une couette haute, met mes talons et go dans la voiture.
# Dans la peau de Kader#
- Moi : T’as mis t’es sacs dans ton coffre ?
- Sofia : Oui mais il m’en reste deux à ranger. T’as de la place ?
- Moi : Met les sur la banquette arrière de t’as caisse
- Sofia : Y’aura les affaires de t’as sœur
- Moi : Quoi ? Mais t’es partie avec deux sacs au début ?
- Sofia : Ouai mais la j’en ai 4. J’ai acheté des affaires. T’as sœur elle c’est pire que moi, va falloir en mettre dans t’as banquette arrière à toi aussi
- Moi : Ouaa les meufs !
- Hakim (en arrivant) : On y va ?
- Moi : Elle fou quoi ma reuss ?
- Hakim : Ses affaires. Sofia tu devrais aller l’aider.
- Sofia : Euh ok, j’y vais (En partant)
- Moi : Gros des nouvelles de Souley ?
- Hakim : J’attends que Hamza m’appel pour me dire.
- Moi : C’est qui le raclo ?
- Hakim : Un gars du tieks d’à côté. Un shab à moi. Si tu veux savoir ou se trouve quelqu’un c’est chez lui qu’il faut aller
- Moi : Ok, tiens moi au courant. Je vais lui apprendre à me tirer dessus à ce fils de pute
- Hakim : T’inquiète frère
- Sofia : Elle arrive
- Moi : Pourquoi tu tires la gueule ?
- Sofia : Je tire pas la gueule. Aide moi à mettre mes valises s’il te plait
- Moi (Rangeant les valises) : Sayai
- Sofia : Merci
- Moi (la rattrapant) : T’as pas oublié quelque chose ?
- Sofia : Ah si (me serant la main) Voilà
- Moi : T’es sérieuse là ?
- Sofia (Rigolant) Je rigole hobi. Vient là
Elle m’embrassa et me prend par la taille pour me faire un câlin.
- Moi (la serrant) : La j’aime bien
- Sofia : Moi aussi (Souriant)
- Moi : Bon on va y aller
- Sofia : Oui, en plus Samia est devant la voiture.
- Moi : Saha. Faite attention sur la route. Et suivez nous bien
# Dans la peau de Samia #
Je suis assise sur le capot, lunette sur les yeux pour cacher mes yeux rouge. Hakim posé sur sa voiture à fumer sa clope. Je sors mon téléphone et envoie un message à Sofiane
« Je prends la route. Faut qu’on parle »
Hassoul j’ai roulé tout le trajet, jusqu’à chez moi. Fallait que je roule pour décompresser, sinon j’allais exploser. Avec Sofia c’était froid et ça me rendais encore plus mauvaise parce que cette fille c’est ma deuxième sœur et ce prendre la tête pour une histoire de mec, je ne cautionne pas.
Arrivé en bas de mon quartier. Sofiane aucun signe de vie. J’avais déposé Sofia chez elle. Je sors de la voiture m’étire un bon coup et décide de prendre mes valises plus tard. On monte tous les trois chez moi, ma mère et ma tante (la mère à Hakim) nous ont sautés dessus.
Après ce moment de retrouvaille, je décide de descendre chercher mes valises. Je les avais toute regroupés dans ma voiture, on a galéré mais on a réussie. J’ouvre ma caisse et j’en avais 5, elle était énorme.
Faut que je me calme avec les sapes, mon portefeuille va pas assumer.
Devant le bloc il y avait deux trois gars posé avec Jawad. Je me dirige vers eux enfin vers Jawad et lui dit
- Moi : Jawad ça va ?
- Jawad : Tu veux quoi ?
- Moi : Pourquoi direct je veux quelque chose ?
- Ses potes : (Mort de rire)
- Jawad : Parce que je te connais
- Moi : Tu peux m’aider à porter mes valises s’il te plait elles sont trop lourde
- Jawad : Pouah la flemme Samia
- Moi : Aller je te paye un grec demain
- Jawad : Attender moi les gars j’arrive
- Moi (Marchant vers ma voiture) : Salle crève la dalle
- Jawad (Rigolant) Normal ! (Se stoppant) Tous ça ? T’es sérieuse ?!
- Moi : Mais pas de ma faute (Souriant)
- Jawad : OH LES GARS RAMENEZ VOUS !
Hassoul quand ils ont vu mes valises ils se sont foutu de ma gueule, Jawad me gueulais dessus moi je rigolais en soum-soum wallah. Arrivé chez moi je les fais rentrer tranquille et au même moment mon frère débarque dans le couloir.
Quand il me voit avec Jawad et 3 autre gars, une valise à la main chacun, il explose de rire, limite il se roulait pas parterre
- Kader : Ah non mais vous êtes sérieux les gars ? (Rigolant)
- Jawad : On est des gentlemans nous qu’est ce qui a (Souriant)
- Kader : Gelek gentlemans si vous voulez mais pas avec ma sœur
- Moi : Quel Gentlemans ? J’ai du leur dire que je leur payais un grec pour qu’il m’aide
- Jawad (Rigolant) : Et oui c’est comme ça ici ma petite
- Kader (Rigolant) : Ah saha je comprends mieux. Oh Les gars posé ça ici, on va faire une partie de play.
Ils m’ont donc laissé en plan en plein milieu du couloir. Une fois dans ma chambre, j’appelle ma mère et lui montre tous ce que j’ai achetés. Je lui ai bien sur acheté des vêtements et plein de chose qu’elle aime.
Ma petite maman, je pourrais mourir pour toi. Avec toute les galères par ou on est passé t’as toujours su garder la tête droite pour nous, même si quelque fois je t’ai vue flancher, tu avais juste à nous regarder pour nous remotivé. Je n’oublierais jamais tous ce que tu as fait pour nous, tous les sacrifices que tu as du faire pour nous.
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- Moi : Allo ?
- Sofiane : Je te réveille ?
- Moi : Quel heure il est ?
- Sofiane : 4h00. Tu fais quoi ?
- Moi : T’es sah la ? Je dors
- Sofiane : Reveille toi, faut qu’on parle tu m’as dit
- Moi : Je t’ai dis ça se matin. Tu m’as fait attendre, bah je vais te faire attendre
Je lui raccroche au nez et éteint mon téléphone
# Dans la peau de Sofia #
3 jours son passé. Ce matin je me suis levé de bonheur. J’ai décidé d’aller chez Samia, lui parler. On est resté un peu en froid depuis la dernière fois.
Hassoul j’ai pris le bus, parce que je suis en hess de voiture depuis 2 ans j’économise mais une fille économisé c’est chaud. Mais hamdouleh j’ai presque assez pour m’acheter une caisse.
Je sonne à sa porte et sait sa mère qui m’ouvre. Elle m’embrasse me propose un café, un thé ou des gâteaux, je la remercie en lui disant que je suis juste passé pour voir Samia.
Je rentre dans ca chambre et cette bagara dormait. Ses valises étaient juste ouverte, rien n’était ranger depuis. Je m’allonge à côté d’elle et la réveille.
- Samia : Mais, t’as dormit avec moi ?
- Moi ( En rigolant) Non, je viens d’arriver, t’as mère m’a laissé entrer
- Samia : Ah saha. (Silence) Tu vas bien ?
- Moi : Oui, et toi ?
- Samia : Hamdouleh.
- Nous deux : Je voulais… Non (Explosant de rire)
- Samia : Je suis désolé de mettre emporter contre toi wallah. Je sais que tu veux juste mon bien. Mais je sais ce que je fais, t’en fait pas
- Moi : Non tu sais pas ce que tu fais. Mais je vais te laisser croire que si parce que toi quand tu as quelque chose en tête, difficile de te le faire sortir. Mais hassoul, stap sa te dit qu’on se balade au centre commercial
- Samia : J’ai déjà craqué plein de tune en Espagne
- Moi : Non mais pas forcément obligé d’acheter. On va boire un coca, j’ai envie de sortir
- Samia : Ok, attend moi je vais me doucher
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On se baladait dans le centre commercial, à regarder les vitrines en essayant de contrer la tentation d’acheter. On décide de se poser à un café, c’est une pote à moi qui le tiens, donc j’ai les boissons gratuites. Je ne bois pas d’alcool hein, je bois essentiellement de thé, café sirop, diabolo enfin les trucs sans alcool.
Hassoul, on buvais notre coca quand Samia c’est bloqué. D’un coup elle se lève et pars. Je me retourne et je vois quel se dirige vers un groupe de mec, vers un gars plus particulièrement.
Au début elle lui parlait normalement mais le ton c’est élever, ses gestes se font plus présent. 5 minutes après, je les vois se diriger vers moi, Samia tirait lui gueule lui avait une tête de venere.
Il prend une chaise et s’installe entre à la droite de Samia. J’en ai direct conclu que c’était Sofiane.
- Samia : Sofiane je te présente Sofia. Sofia voici Sofiane
- Sofiane : Enchanté
Zehma enchanté
- Moi (Froidement) Salem
Il est resté avec nous pendant bien 1 heure. Et wallah c’était l’heure de trop. Je ne sais vraiment pas ce que Samia fait avec lui, c’est pas du tout son genre. Je commençais à m’ennuyer, Samia me parlait mais c’est la présence de l’autre qui me genait.
- Samia : Sofiane soir tu fais quoi ?
- Sofiane : Pourquoi ?
- Samia : Faut qu’on parle
- Sofiane : Ok, je t’appellerais, je viendrais te chercher
- Sofia : Ouai, essaie de pas oublier ton telephone cette fois ci !
- Sofiane (A Samia) : C’est quoi le problème à t’as pote là
- Moi : Tu peux me parler directement, je suis juste la. Et pour répondre à t’as question, y’a pas de problème (Me levant) Je vais me prendre un coca. Samia t’en veux un ?
- Samia : Non merci.
Hassoul, je suis resté sur le comptoir en attendant que l’autre se tire. Ok il est beau, il a de beaux yeux, bien foutu mais l’apparence ne fait rien. Peut-être que je me trompe, peut-être pas, Allah u Ahlem, mais pour moi je le supporte pas.
En plus, depuis tous à l’heure un gars me regarde et sa m’énerve, je suis déjà énervé, qu’il m’approche pas. Mais ce con se lève et se dirige vers moi, souriant sur de lui. Je le regarde de haute au bas prend mon coca et me barre. Il est resté mobile et retourne s’assoire.
- Moi (M’asseyant) : Il est partie ?
- Samia : Oui, hcheum comment tu lui parlais
- Moi : Je m’en fou
- Samia : Tu lui parlais comme si c’était ton chien
- Moi : Tu sais très bien ce que j’en pense de lui
- Samia : Tu devrais arrêter de trainer avec lui, tu deviens insociable
- Moi : C’est de famille
- Samia : Je suis très sociable moi
- Moi : Pardon ? A part moi, personne ne peut te supporter
- Samia (Rigolant) : Abuse pas… Bon ok d’accord. Bref
- Moi : Tu vas le voir soir ?
- Samia : Oui
- Moi : Il t’a dit pourquoi t’avait plus de nouvelle ?
- Samia : Zehma il m’a dit qu’il voulait pas me déranger pendant ma semaine de vacance
- Moi : Et tu l’as cru
- Samia : (Silence)
- Moi : Putain je devrais te mettre des claques wallah
- Samia : Qu’est ce que tu veux que je fasse
- Moi : Que tu le quitte et que tu te remets avec Hakim
- Samia : Alors ça, jamais !
- Moi : Hassoul. On bouge ?
- Samia : Oui (sortant son téléphone) Sofiane vient de m’écrire.
- Moi : Il dit quoi ?
# Dans la peau de Samia #
- Moi : Il m’a dit « Tu t’es bien foutu de ma gueule. Ce soir on va bien parler »
- Sofia : T’es sah ? Il est partie y’a 10 minutes, qu’est ce qu’il peut bien te reprocher ?
- Moi (en stress) : Je sais pas wallah…
- Sofia : T’as rien fait non ? T’as rien à te reprocher donc tranquille
- Moi (La regardant)
- Sofia : Samia qu’est ce que t’as fait ?
- Moi : Sofiane ne sait pas que Hakim était avec nous
- Sofia : Et s’il le serait y’a quoi ?
- Moi : Il veut pas. Il m’a même interdit de l’approcher
- Sofia : Quoi ? Mais il est pas normal ce type ! Déjà de une c’est ton cousin et de deux il habite dans ton bâtiment, il veut pas non plus que tu déménages ? (Rigolant)
- Moi : Arrête c’est pas drole salle conne. Je lui ai demandé y’avait quoi il m’a pas répondu. Je verrais bien soir.
- Sofia : Mais de toute façon qui irais lui dire
- Moi : Je sais pas, Hakim irait pas lui parler quand même…
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Arrivé au soir j’ai du sortir un mytho à mon frère pour pouvoir sortir. Sofiane m’attendait dans son garage, il finissait tard d’après lui. Donc je rentre dans son bureau, il fumait sa clope. Sa me fait penser à Hakim quand je vois quelqu’un fumer… Je secoue ma tête et m’approche de lui
- Sofiane : Ca va ?
- Moi : Hamdouleh et toi ?
- Sofiane : Hamdouleh.
On parlait tranquillement, comme s’il ne m’avait rien envoyer. Je n’osais pas aborder le sujet, j’attends qu’il le fasse lui-même. Depuis que je suis arrivé, il ne m’a même pas pris dans ses bras, rien du tout. Il était assis sur son bureau, moi devant lui.
- Sofiane : AH enfaite, t’as bien bronzé, ça te vas bien
- Moi : Merci (Souriant)
- Sofiane : Tu t’es pas fais trop chier là-bas ?
- Moi : Non, ça a été
- Sofiane : Oui je comprends. Enfaite tu m’avais pas dit que Hakim était partie avec vous
Je suis devenu toute blanche. Il me regarde méchamment et attendais une réponse. Voyant que je ne disais rien, il m’empoigne par le coude, descend du bureau et commence à me crier dessus
- Sofiane : Tu crois que je ne le serais pas hein ? Tu m’as pris pour un bouffon ? Tu crois y’a écrit bouffon sur mon front enfaite c’est ça !?
- Moi : (Silence)
- Sofiane : REPOND MOI !
- Moi (En pleurant) : Wallah je savais pas qu’il allait venir
- Sofiane : Tu me ment en plus ! T’as fais quoi avec lui ? Il t’a sauté c’est ça ? T’es partie juste pour être tranquille avec lui ?!
- Moi : Stargfullah ! Tu m’as pris pour qui salle connard ! Lâche moi !
Il me lâche et me gifla. Il venait de me gifler par le devant de ça main et ce n’était pas une gifle de tapette. Tellement qu’elle était forte je suis tombé par terre. Je commençais à suffoquer, à avoir peur.
Il me regardait méchamment, comme si j’avais tué quelqu’un de sa famille. Il S’abaisse à ma taille et me prend par les cheveux
- Sofiane : Il t’a sauté ?
- Moi (En pleurant) : Non le Coran que non ! Ca va pas ! Sofiane je te jure que c’était pas prévu qu’il vienne, mon frère me la dit qu’au dernière moment wallah crois, crois moi !
- Sofiane : J’ai envie de te tuer !
- Moi : Qui te la dis ?
- Sofiane (me serrant les cheveux) : Ah parce que madame comptais garder ça secret ? Oublie pas que moi je sais tous. Donc essaie plus de me cacher quelque chose, je serais tous ce que tu fais!
- Sofiane : (S’accroupissant fasse à moi) Samia écoute moi. Hak Allah, encore une fois, une fois j’apprends que tu lui as parlé, que tu vas le voir, je te ferais pire que ça et tu me verras plus. Fhamti ?
- Moi (Toujours en pleure)
- Sofiane (Me secouant les cheveux) : T’AS COMPRIS !?
- Moi (Criant) : OUI ! J’ai, j’ai compris mais la, lâche moi …
- Sofiane (Me lâchant) : Tu me dégoute wallah
Je me suis relevé et je suis partie. J’ai grimpé dans ma voiture et j’ai filé. Je me suis arrêté dans mon parking pour pleurer, comme une faible. Jamais il n’a été aussi violent et méchant avec moi, je le reconnais pas. Je me suis laissé faire comme une merde, une soumise.
J’ai fermé ma gueule alors que jamais je n’aurais du…
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# Dans la peau de Hakim #
2 semaines son passé. Et aucune nouvelle de Samia. Je descendais exprès chez elle prétextant voir Kader mais quand je la voyais elle me fuyait.
Elle me fuyait quand je venais chez elle, quand je la croisais dehors, même dans le bâtiment. J’ai l’impression qu’elle avait peur. Je la trouvais bizarre.
Un jour sa mère nous a invités à manger. Bien évidemment elle s’était posé à l’autre bout de la table. Son frère se trouvait à sa droite, Sofia à sa gauche.
En parlant d’elle, elle sait vite fais adopté dans sma famille, la mère de Samia l’aimait déjà. Je suis sûr qu’elle a grillé Kader et Sofia, ce bouffon ne la lâchait pas du regard.
Hassoul, son frère sait redresser pour attraper je ne sais quoi et elle sait cacher le visage. Comme un réflexe, comme si on la frappait. Personne ne la cramé sauf Sofia et moi. On se regarde dans les yeux puis je regarde Samia, je cherchais dans ses yeux si ce que je pensais était vrai mais elle ne les releva pas durant toute la soirée.
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# Deux jours plus tard #
« 22h30. Posé en bas du bloc avec les frères.»
- Moi : Salem Aylecoum frère bien ?
- Hamza : Alecoum Salem, hamdouleh et toi ?
- Moi : Hamdouleh. Des nouvelles ?
- Hamza : Ouai. Il est au quartier de ****. Il sait que tu le cherche. Il attend que tu te ramènes pour te tomber à plusieurs, fais gaffe à toi frère
- Moi : Ce fils de pute. Merci khouya wallah. (Raccrochant)
- Moi : Oh les gars. Je sais où est Souley. Ils comptaient m’attendre à plusieurs, ce lâche.
- Kader : Ce zemel c’est pas se défendre. (A un gars) Bilel, prévient les autres. Demain y’aura une petite visite dans leur quartier (Souriant)
Je ne pensais pas que ce règlement serai partit aussi loin.
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Chronique de samia love de mon cousin
Ficción Generalchronique de samia love de mon cousin