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Bismileh



# Dans la peau de Sofia #


Durant tous le mariage Kader ne ma pas laisser une minute, il restait avec moi, il voulait pas me lâcher et franchement j'étais plus que contente. 

Il restait avec moi mais avait quand même une certaine tenu, il m'embrassait pas et ne me prenait pas dans ses bras. Il y avait quand même nos parents. Hassoul, on avait passé la soirée à parler ou à danser. Il me racontait des blagues aussi nul que les autres et pourtant sa me faisait rire. Il avait délaissé ses potes pour rester avec moi j'étais pir qu'heureuse, mon sourire me lâchait plus tandis que d'autre jalousais. 

Je voyais bien l'autre peste de Nawel nous lancer des sales regards, qu'elle nous maudissait à chaque sourire, chaque geste qu'il me faisait, je voyais sa haine amplifié pour moi, d’être celle que Kader aime. 



*******


Il se faisait tard, Samia était déjà partie. Ma mère me fait signe qu’elle voulait rentrer mais Kader lui voulait que je revienne le chercher pour qu’on puisse partir tous les deux. J’ai donc déposé ma mère et je suis retourné à la salle.


En y posant les pieds hors de ma voiture j’ai cru rever. Il y avait Kader dans un coin avec qui ? Nawel. Il était dos à moi et elle face à moi. 
Quand elle m’as vue, elle m’a fait un large sourire et sait rapprocher de lui. J’ai senti la rage mon monter, je suis seulement partie 15 minutes, juste 15 minutes qu’elle lui a déjà sauté dessus. J’avance en furie vers eux. 

J’avance prêt à la prendre par les cheveux quand elle a fait un geste qui ma stopper. Elle sait sauvagement sauté sur lui et la embrassé mais Kader la immédiatement repoussé et lui a lancer un « Casse toi de la salle pute ». 

Il a dû sentir ma présence puisqu’il sait retourner et m’a regardé apeuré, il ne voulait pas que je pense que c’est lui qui lui ai sauté dessus mais j’ai vu la scène et je sais que c’est elle. 
Je m’approche de lui, il commençait à bafouiller qu’il n’y était pour rien, qu’il n’était la seulement parce qu’elle avait quelque chose de grave à lui dire mais qu’elle s’était foutu de sa gueule. Elle, son sourire ne la quittait plus, elle jouissait d’avoir réussis son coup sauf qu’elle ne la pas totalement réussie. 

Je mets face à elle, les mains sur les hanches, le sourire jusqu’aux oreilles. Elle me regarde du genre il t’arrive quoi. Je la prends méchamment par les cheveux et la colle contre le mur. 
Plus j’approchais mon visage du sien, plus son sourire disparaissait.

- Moi : Approche toi encore une fois de lui, une seule fois et tu vas le regretter 

- Nawel : Tu, tu me fais mal aux cheveux

- Moi (resserrant mon poing dans ses cheveux) : T’as compris ?

- Nawel : Oui j’ai compris mais lache moi !

Je la regarde une dernière fois dans les yeux avant de lui cogner l’arrière du crâne contre le mur et de la lacher. Je suis vraiment pas une fille impulsive, qui frappe dès que ça ne va pas, mais dès qu’on me pousse à bout la les coups risque de voler.

Hassoul, après l’avoir lâcher j’ai pas calculé Kader, je suis direct remonté dans ma voiture. Je le sentais me suivre et il est monté côté passager. 
Aucun de nous deux ne parlais, j’étais perdu dans mes pensée, à réfléchir jusqu’ou elle serait capable d’aller

- Kader : So ?

- Moi : Cest aussi l’une des raisons pour laquelle je veux me marié

- Kader : Ecoute c’est elle qui met sauter dessus, t’as bien vue

- Moi : Et zehma tu te doutais pas de quelque chose ? Depuis qu’elle est là elle ne voit que toi et tu t’ai pas dit une seconde que c’était pour ça ?

- Kader : Oh c’est bon, la prochaine fois je ferais plus gaffe tranquille wesh

- Moi : Tranquille ? (m’énervant) Si moi un pelo m’embrasse je pense pas que tu resterais tranquille

- Kader : Non si un pelo t’embrasse il finit en sang dans mon coffre (montrant son poing) et celui la sur ton beau visage

- Moi : Voilà, donc me dit pas tranquille. Je comprends meme pas pourquoi je lui ai pas arraché ses dents (croisant les bras)

- Kader (mettant son bras autour de mon coup) Parce que t’es ma femme et ma femme c’est pas une sauvage

- Moi (posant ma tête sur son épaule) : C’est trop une vicieuse cette fille… Fais attention à toi

- Kader : T’inquiète pas, je suis un bonhomme moi

- Moi (pouffant de rire) : Ouai… Bref

- Kader : Tu saias j’ai envie de quoi ?

- Moi le regardant dans les yeux) : Non… Quoi ?

- Kader : De t’embrasser

La façon qu’il me la dit m’as fait frissonné. On ne se lâche pas du regard, j’arrive pas à décoller mes yeux de son visage, de ses lèvres, de sa long barbe. 

Je lui caresse la joue, sa peau chaude me redonne des frissons. Doucement, il s’approche de moi, je m’approche de lui puis dépose mes lèvres sur les siennes.


# Dans la peau de Samia #


J’ouvre les yeux et regarde autour de moi. J’étais dans mon lit, chez moi, dans les bras de mon mari qui me regardait tout en me caressant mon épaule. 

- Hakim : Sbah el Kheir poupée (me souriant)

- Moi : Sbah el noor (souriant) Bien dormi ?

- Hakim : Pas beaucoup mais oui (mordant sa lèvre)

- Moi (le frappant) : Hassoul, qu’elle heure il est ?

- Hakim (Rigolant) Il est presque 15 heures

- Moi (me redressant) : On a beaucoup dormi quand même… Tu veux déjeuner ?

- Hakim : Oui s’il te plait. Je vais aller me doucher (se levant)

Il est partie à la douche et moi à la cuisine. Comment ça me faisait bizarre de me réveiller ailleurs que chez moi, de ne plus trouver ma mère dans sa cuisine et mon frère dans sa chambre. 

La maison était extrement calme. Je me pose sur une chaise et prépare de quoi manger en attendant que le café coule. Hakim avait fait les course pour que tout soit prêt dès notre arrivé.

Je servais le café dans les tasses quand je sens des mains se poser sur mes hanches et des lèvres se coller à mon coup. Je frissonne tous en reposant le café, me retourne et lui dépose un long baisé sur les lèvres

- Moi : Assis toi, tous est prêt

- Hakim (s’asseyant) : Putain comment j’ai faim (se frottant les mains)

- Moi : Pour changer (lui donnant son café) tiens du café et j’ai préparé des tartines

- Hakim : Merci, maintenant assied toi à coté de moi

- Moi (m’asseyant) : C’est bon ?

- Hakim : Oui nikel, j’attends de voir ce soir comment tu cuisine pour savoir si tu vaux coup d’etre ma femme

- Moi (le frappant) : Pff t’es con wallah ! Je suis une très bonne cuisinière tu verra

- Hakim : Ouai on verra soir (Rigolant) Bon, tu veux faire quoi aujourd’hui ?

- Moi (regardant autour de moi) Je vais déjà faire le ménage et ensuite on verra

- Hakim (se levant) : Saha, bon bah moi je vais sortir, je reviens

- Moi : Quoi ? T’es sérieux ?

- Hakim : Bah quoi ? Je vais rester à te regarder faire ton ménage nan

- Moi (me levant) : Ok sort alors

- Hakim : Samia ne fait pas comme ça

- Moi (en partant dans ma chambre) : Je fais rien. Aller sors tes shab t’attende


Je suis rentré dans ma chambre tous en claquant la porte. Je me sentais vexer, salle. Je me suis sentie berné et vous savez pourquoi ? 

Parce que hier soir je venais de me marier à lui, je voulais profiter de lui et parce que hier soir je venais de m’offrir à lui, je lui ai donné mon bijou, ma fierté, j’avais besoin de lui, juste de sa présence. 

J’étais encore dans mon cocon d’amoureuse, j’avais besoin de me rassuré que pour lui ce que je lui ai offert n’était pas n’importe quoi, que comme pour moi c’était quelque chose d’important. 

Mais il est partie comme si hier soir il ne s’était rien passé d’exceptionnel, je me sens si vulnérable maintenant, j’ai craqué, je me suis mise à versé quelque larme. 

10 minutes plus tard j’ai repris mes esprits et je me suis mise à faire le ménage. Je l’ai nettoyé de fond en comble, j’avais besoin de me vider l’esprit et quoi de mieux que le ménage.


Il était environ 18 heures quand il a daigné rentrer. Je ne lui ai même pas prêté intention. Il l’a remarqué et a soufflé avant de s’enfermer dans la chambre. J’aimais pas cette situation, on sait marier hier et voilà qu’on commence déjà à se prendre la tête. 

Une fois le ménage finit, je prends mes habits, toujours sans calculer Hakim qui lui est allongé sur le lit et file dans la douche.


************



19h20, je commence à faire le diner. Hakim était posé dans le salon à jouer à la play. Une fois le repas préparé, j’installe la table au salon et pose les plats. Quand il a vu les plats pos, il sait installer et a attendu que je le sert

- Hakim (en mangeant) : Enfaite tu vaux le coup

- Moi (sèchement) : De ?

- Hakim : D’être ma femme (souriant)

- Moi : Ok

- Hakim : Tu vas faire la gueule encore longtemps ?

- Moi : Je fais pas la gueule

- Hakim : C’est ça ouai


Le reste du repas c’est encore passé en silence. J’ai débarrassé, fait la vaisselle et je suis partie me poser dans mon lit puisqu’il jouait encore à sa play. Je zappais les chaine, rien de bien intéressant quand la porte sait ouverte, c’était Hakim.

- Hakim (s’allongeant) : Samia ?

- Moi : Quoi ?

- Hakim : Tu fais vraiment la gueule parce que je suis sortie tout à l’heure ? Tu faisais ton ménage, j’allais pas te regarder

- Moi (croisant les bras) : Non je te demandais pas ça

- Hakim : Alors pourquoi tu fais la gueule ?

- Moi (jouant avec mes cheveux) Pour rien, c’est oublié t’inquiète

- Hakim (se rapprochant) : Samia, parle moi

- Moi (les yeux brillant) : Non, tu vas me prendre pour une gamine Hakim laisse tombé (secouant la tete)

- Hakim : Je suis ton mari et toi t’es ma femme. Si quelque chose ne va pas je dois le savoir. Dis moi 

- Moi : Tu, tu peux pas comprendre ce que sait. Pour toi c’est normal mais moi non, j’ai, c’est tous nouveau pour moi, c’est, c’était ma première fois (baissant la tête)

- Hakim : Tu parles de hier soir ?

- Moi (hochant la tête) Tu t’es lever, t’as déjeuné et t’es partie… Comme si rien d’important ne s’était passé hier soir… Peut-etre pour toi c’est la routine de faire ça mais je me suis senti salle quand t’es partie (cachant mon visage entre mes mains)

- Hakim (me prenant dans ses bras) : Je, je savais pas que tu ressentais ça… Mais le coran c’était pas mon intention, je voulais pas te faire ressentir ça… Hier soir ça a été la plus belle nuit de ma vie, tu m’as offert ce que chaque homme souhaite que ça femme lui offre… Samia regarde-moi (le regardant) Je m’enfou pas de hier soir, au contraire

- Moi : Je, je suis désolé…

- Hakim : T’as pas à t’excuser, c’est moi qui est réagis comme un connard et semhili hbiba

- Moi (l’embrassant) : T’es excusé (souriant)



« Dans la peau de Sofia #


1 semaine de passé et avec Kader on avait décidé d’aller rentre visite au nouveau marier. D’abord pour les félicités et ensuite pour leur offrir notre cadeau de mariage. 
J’avais rejoint Kader chez lui. Sa mère n’était pas là ce jour là. La porte était entre ouverte pour que je puisse rentrer. Je marche dans sa chambre mais il n’était pas la, je vais au salon et il était la tete entre les mains sur le canapé. 

Je me pose à coté de lui et lui caresse machinalement le dos. Il se redresse et commence à faire les cents pas

- Moi : Qu’est ce que tu as ?

- Kader : Je réflechis

- Moi : Reflechis vite, on va etre en retards chez ta sœur

- Kader (se frottant la tete) : Je suis sur qu’il l’a fait

- Moi : Qui ?

- Kader : Hakim, il l’a fait

- Moi : Il a fait quoi ?

- Kader (me regardant avec dégout) : Av, avec ma sœur… Il l’a, il lui a pris sa (serrant les poings)

- Moi (explosant de rire) : T’es sah là ?

- Kader : Qu’est ce que t’as à te foutre de ma gueule (mettant sa veste) Je vais le niquer tu vas voir

- Moi (lui attrapant le poignet) : Kader arrête toi deux minutes (lui prenant les deux mains) T’es d’accords avec moi qu’ils sont marier

- Kader : Ouai

- Moi : Ils sont marier et ils faut qu’ils construisent leur vie, leur famille. T’as sœur à grandit maintenant. Elle est dans le hlel, personne n’ira la salir, t’as plus à t’en faire

- Kader (soufflant) : T’en as pas marre d’avoir tout le temps raison ?

- Moi (Souriant) : Non j’aime bien

- Kader (m’embrassant) : Tu sais c’est toute ma vie ma petite sœur c’est chaud…

- Moi : Je te comprends t’inquiète. Aller vient on y vas

Chronique de samia love de mon cousinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant