Pensées Éparpillées

Généalogie fictive( Tous aux abris!!!)

Je conseille fortement de lire en mode défilement. Il y a des personnages déjà existants, de différents univers, et d'autres que j'ai totalement inventé pour faire le lien entre eux.

Apollon— Artemis
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Elpis—Poseidon
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Luciane Anton
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Ancêtre
De Han Solo

Anton—Elizabeth
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HélianeHelga-Salazar Rowena-Godric
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Fallon Antonin, Héléna

Godric-Sophie Salazar-Aliénor
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Ancêtre de       Ancêtre de
Dumbledore Voldemort

Héléna—Antonin.
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Johanne
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Ancêtre de Ancêtre de
McGonagall. Moi.

Alors avec l'histoire c'est plus fun, donc je vais vous la raconter.

Lors de l'invasion de la Grèce par les Romains, les dieux grecs (Que je prends comme de simples personnages d'histoires) ont failli disparaître définitivement.

Ils se sont donc légèrement laissés aller à leurs folies diverses.

Et il s'est trouvé qu'Apollon et Artémis sont tombés amoureux. Ensemble ils ont eu une fille, Elpis.

Bien plus tard, Poséidon trouva que c'était une bonne idée de violer Elpis.
(Non, il a essayé d'être gentil mais elle était très butée donc il lui a donné des potions bizarres).

  Suite à ça, Elpis a accouché de jumeaux, Luciane et Anton. Luciane s'entendait très mal avec son jumeau, à croire que ça arrive. Elle est donc partie le plus loin possible, a trouvé une faille spatio-temporelle, l'a franchie et est arrivée dans l'univers de Star Wars.

Anton, quant à lui, a grandi et s'est marié avec une sorcière.
Ensemble, ils ont eu cinq enfants, d'abord deux jumeaux, Godric et Salazar puis des jumelles, Helga et Rowena. Ces quatre-là étaient de très bons sorciers, qui maîtrisaient parfaitement leurs dons, comme leur mère le leur avait appris.

  Et le dernier enfant, me direz-vous ?

  La petite Héliane était un peu spéciale. Elle ne manifesta jamais aucun talent pour la sorcellerie. Cela aurait suffi à la mettre à l'écart de ses aînés, mais il a fallu en plus qu'elle ait un talent qui les inquiétait.

  Où qu'elle soit, quoi qu'elle fasse, si elle avait besoin de quelque chose, elle pouvait le faire apparaître d'un claquement de doigts. À une condition toutefois : savoir où cela était rangé.

  Les plus grands se mirent à craindre que, lors d'une dispute, elle ne se mette à invoquer des armes contre eux. Et ils commencèrent à l'exclure de leurs jeux, discussions et disputes.

  La pauvre Héliane se réfugia auprès de la seule personne de son entourage qu'elle sentait compréhensive : sa grand-mère Elpis.

  Cette dernière était très préoccupée par l'ostracisme dont sa petite-fille était victime. Car elle avait eu, à sa naissance, une vision d'avenir possible qui faisait froid dans le dos. Et elle avait beau la répéter, et la redire, personne n'écoutait.