Chapitre 7

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Point de vue de Xila : 

La fête d'hier s'est terminée dans la bonne humeur. J'ai encore du mal à digérer que mes parents aient décidé de m'oublier avec notre soeur, mais je n'arrive pas à leurs en vouloir. L'Église leurs bourre la crâne et ils ne s'en rendent même pas compte. 

Aujourd'hui je n'ai rien de prévu, mais je suis sûre que je vais bientôt recevoir un coup de téléphone de la part du mère. Il est huit heures du matin, nous sommes en train de manger avant que Chris ne parte pour le travail et les garçons pour une visite des champs. Le téléphone sonne. Qu'est-ce que je disais ? 

- Allo ? 

- Bonjour Xila ! Comment vas-tu ce matin ? En forme ? 

- Bonjour monsieur le maire. Je vais parfaitement bien. Que me vaut l'occasion de votre appel ? 

- Un monstre a détruit l'enclos des moutons cette nuit et une partie du pâturage est partit en vadrouille dans la forêt. Penses-tu pouvoir faire partit de l'expédition en charge de les ramener ? 

- Ai-je vraiment le choix ? Quel type de monstre à détruit la barrière ? 

- Une sentinelle d'après les caméras de surveillance du domaine. 

- J'arrive dans une demi-heure. 

Je raccroche et retourne dans la cuisine. 

- Joris, par le plus grand des hasard est-ce que tu aurais ordonné a ta sentinelle de venir à ton emplacement au cas où tu perdrait le contacte avec elle pendant une durée de plusieurs jours ?

- Je lui ai demandé oui. Pourquoi ? 

- Elle essaye de te rejoindre et a détruit un de nos enclos sur la montagne. Je vais m'occuper de l'incident et j'essaierais de te la ramener par la même occasion. 

- Le bétail s'est échappé ? Demande Chris. 

- Oui, je n'ai pas eut de précision, mais comme nos ressources sont précieuses, le moindre mouton est important, tu comprends pourquoi le maire m'a appelé. 

- Il t'appelle toujours dès que ça concerne les monstres ou la forêt et avant que tu ne sois majeure c'est moi qu'il appelait pour avoir ma permission. Si ce n'était pas quelqu'un d'aussi réfléchit je me demanderais s'il n'abuse pas un peu. Souffle-t-il. 

- Je vais préparer mes affaires et j'y vais."

Je monte dans ma chambre et prend le nécessaire pour l'excursion. J'ouvre le tiroir de mon bureau et prend mon sifflet que j'attache autour de mon cou. Le souvenir d'un vielle ami toujours là pour moi.  

Une fois à l'extérieur, nous gravissons la montagne jusqu'aux maison de fonction des bergers. Ce sont les seuls qui vivent à l'extérieur de la montagne et ils sont protégés des monstres par des impulsions qui les éloignent. De temps en temps les petits monstres arrivent à passer et produises de petits incidents. C'est là que j'intervient pour régler le problème. 

Le berger nous présente l'enclos qui a été endommagé. D'abord trouver la sentinelle. Je ne tarde pas à trouver un petit bosquet avec un terrier dessous. J'enfonce mon bras dedans et en tire la sentinelle pendant qu'elle dort avant de l'enfermer dans une cage que je ramènerais à Joris plus tard. 

Apparemment il manque cinq moutons. C'est mieux que ce à quoi je m'attendais, la moitié du troupeau aurait pu manquer , mais le berger à rapidement remarqué qu'il y avait un problème et a mis toutes les bêtes dans l'étable. 

Je prend mon sifflet et souffle dedans. Un son de do aigu sort et une silhouette volante flamboyante arrive quelques minutes plus tard. Mon compagnon de galère pendant six long mois de voyages, mon ami, Zayan. 

La rampanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant