Dionysos (Trilogie Hadès #1.5) [VF]

Epilogue

Nous y voilà. Le dernier chapitre de l'histoire. C'est toujours très bizarre de terminer une histoire, savoir que c'est fini. 

MAIS IL LE FAUT.

Comme toujours, le dernier chapitre est dédié à vous tous, incroyables êtres humains qui sont restés à mes côtés, mais aussi aux côtés de Spencer et Kenzie durant cette aventure. Cette histoire n'aurait pas survécu sans votre aide, alors honnêtement les mots ne sont pas représentatifs de ma gratitude. 

Sans aucune autre attente, voilà le dernier chapitre de Dionysos. J'espère que vous l'aimerez. 

Epilogue

*2 ans plus tard*

—Maman ! Dépêche-toi !

Je grogne, luttant sous le poids de la boîte que je porte.

—Tu as des attentes trop irréelles sur ma rapidité à porter cette boîte Jas.

Elle m'ignore en tirant sur mon haut.

—Allez, allez, allez ! Ouvre la porte ! Je veux voir ma nouvelle chambre !

Je mets la boîte en équilibre sur ma hanche et attrape la clé de la poche de mon jean en rigolant et lui tend la clé.

—Tu veux bien nous en faire l'honneur ?

—Vraiment ? Ses yeux s'écarquillent et elle fixe la clé que je lui tends comme si c'était le saint graal. 

—Vraiment, lui souris-je et elle m'acclame en courant vers la porte de devant.

Elle entre la clé dans le verrou et ouvre la porte avec dramatisme, couinant en courant à l'intérieur. Je rigole et la suis, retirant mes bottes noires une fois à l'intérieure.

—Maman, ma chambre est immense ! Jasmine dérape dans un coin avec un grand sourire. Il y a des papillons sur les murs ! Et il y a une chaise sous la fenêtre !

Avant que j'ai le temps de répondre, elle entre dans la cuisine puis part explorer les autres pièces de la maison. Je cille des yeux et l'appelle.

—Doucement Jas, tu vas faire des trous dans le tapis en dix secondes !

J'entends un rire derrière moi. 

—Est-ce que tu peux lui en vouloir ? Vous vivez dans des chambres d'hôtels miteux et des caravanes depuis presque un an et demie.

Je pose le carton sur le comptoir de la cuisine et les regarde d'un air moqueur. 

—C'était pas si mal !

—Kenzie. Dans un hôtel il y avait des souris pendant deux semaines, me dit Jo en posant son carton à côté du mien. C'était terrible.

—Qu'est-ce que t'as contre Bongo et Projo ? protesté-je. Ils ont été très importants dans notre vie !

—Ils ont faits des trous dans tes vêtements ! plisse-t-elle son nez avec dégoût. Qu'est-ce qui s'est passé quand t'étais à l'étranger qui te fait croire que des trous dans tes vêtements n'est pas si mal ? 

—Tu me croirais pas si je te le disais, dis-je avec une expression sérieuse sur le visage. Et bien sûr je devrais te tuer.

—Vas-tu me dire pourquoi Spencer et toi avez disparu pendant un mois, marmonne Jo.

—Merci de nous aider à déménager Jo, lui souris-je en changeant de sujet.

—T'es nulle à changer de conversation Kenzie, dit-elle avec un air renfrogné mais elle glousse quand je la pousse, elle enroule son bras autour de mon épaule. Mais malgré ça je t'aime.