- Oui là-bas, c'est là-bas que se trouve la paix.-
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Le soleil tentait de percer la fenêtre dont les légers stores ne réussissait qu'à vainement protéger l'obscurité. Je sentais le chaton se blottir contre mon ventre, sentant sûrement que mon sommeil devenait plus léger.
J'ouvrais doucement mes yeux, zieutzant mon salon de quelques pauvres mètres les dirigeant par reflexe vers la fenêtre. Celle-ci était fermée. Aucune trace de Gold n'était visible. Je remarqua seulement la couverture que je lui avait poser la veille reposait désormais sur mon corps qui se relevait la faisant tomber.
《- Golden...》 chuchotais-je à moi-même me demandant où il était passé.
Depuis la rédaction du contrat, jamais Golden n'avait disparu très longtemps, il passait la majeur partie des heures auprès de moi, sûrement pour me proteger, il disparaissait rapidement une fois que je rentrais chez moi.
Mais je comptais partir.
Et ça, Golden ne le savait pas.
Je secoua la tête en me frottant les yeux pour me réveiller convenablement avant de partir me débarbouiller dans la minuscule salle de bain dont la lumière jaune clignotait sans cesse. Le petit miroir arrondit brisé m'offrait une vision distordus de mon visage que je ne regarda que quelque seconde uniquement pour vérifier que j'étais en vie.
J'ouvris le meuble situer sous levier piochant le seule bagage que je possedait. C'était un large sac sombre et épais qui devait faire la longueur de mon buste. J'attrapa ma trousse de secours avant de sortir de la salle de bain et d'ouvrir la petite commode de bois qui était dans mon salon pour y piocher les quelques vêtements qui rentrait sans peine dans mon sac.
Mon regard se perdit sur l'ensemble de mon studio attrapant les portions de nourriture qui me restait les plongeant également dans le sac, me notifiant que je devait en acheter d'autres avant de partir.
Je ne sais pas combien de temps je m'absenterais, et mes reste du dernier salaire du magasin d'antiquaire allait passer dedans.
Un zip vif résonna dans le bois ce qui fit sauter la tête du chaton qui se dressa sur ses pattes curieux de tout mes mouvements depuis les vingt dernières minutes.
Je le caressa soudainement me rappelant de lui.
《- Que vais-je faire de toi...? T'amener à mes côtés serait trop dangereux... mais te laisser ici reviendrait à te laisser dépérir.》 Soufflais-je en le regardant droit dans les yeux lui demander une réponse.
Un fit un long miaulement en approchant davantage sa tête de ma paume. Il appréciait les caresses mais il ne répondait toujours pas à ma question.
