(Je viens de finir le chapitre, il n'est pas encore corriger car je voulais à tout prix le sortir donc pardonnez mes fautes de frappe et autres, je le corrige demain
Bonne lecture !)
- Tu voulait m'avoir Admirecomme tu m'as eu -
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Aussi surpris par mon cris que mes adversaires, je l'étouffa, aussitôt sortit, immédiatement avec mes mains.
Heureusement ma capuche protéger toujours mon visage et le dôme coupait les projectiles autant que les bruits apparemment, car seules mes adversaires m'attribuaient des regards intrigués presque provoqués.
Dans ces dômes parfaits de verre on avait autant l'impression d'être coupés du monde autant que d'en être le noyau même, là où tout se concentrait.
Aucun bruit ne régnait. Comme si mon cri avait simplement et littéralement figer le temps
Tout ce qui bougeait, c'était nos cages thoraciques. Celle de lui et moi.
Je le voyais.
Il était là.
Bordel il était là.
Golden existait encore.
J'avais envie de crier de jouer. Et d'huile de colère.
Je voyais Golden me regarder. Et comme son regard me fusillait.
Le trahissant d'une explicite et incommensurable façon, 1000 mots n'auraient pas suffit pour le décrire.
Car il savait.
D'une manière ou d'un autre, il savait.
Le bruit revint tout d'un coup, éclatant dans mes oreilles, je n'en sursauta pas trop concentrer à l'observer et à me poser mille et une question sur lui et ceux qui l'entourait.
Mais bordel. Qu'est ce qu'il se passait.
Car il semblait bien là.
Oui.
Golden était vivant. En chair en os. Sans une étincelle sur le dos. Il avait d'une manière ou d'une autre survécu à ce... à cela.
Que faisait-il ici... à leur bottes qui plus est ?
L'autre homme... je... oui je le reconnaissais, les cheveux d'un noir sombre comme Golden et teint opaline et des yeux félins.
