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《- Tiens attrape ça le bleu》
J'avais reculer en fixant le tablier de velours voler en l'air, l'attrapant à pleine main pour l'observe, longeant le tissu de mes mains curieuses. La musique éclatait dans mes oreilles, alors que les verres continuaient à se cogner entre eux joyeusement dans des entrevues étouffés par le mouvements et le son en continu.
《- Je suppose que Chungha m'as assignée à te former comme tu te retrouve ici avec moi.》Avait-il dit d'une voix un peu lassé derrière le bar.
Son corps longiline avait dépasser le bar rabattant la palette le séparant de moi, l'a laissant battre rageusement dans le vide. Les lumières claires me manquaient pour désigner spécifiquement son visu alors j'avais rapidemnt raser les yeux jusqu'au sol.
《- Tu peut laisser tes manières de côté avec moi, enfin... au travail nous sommes à égalité alors tu peux me regarder.》avait-il aussi simplement demander sans condescendance ou insistance.
《- Oui, monsieur.》
J'avais lever les yeux vers son visage fin, ses cheveux blond platine séparer en deux jusqu'à ses yeux noisettes aiguisés, j'avais immédiatement vu sa main sèche tendu vers moi attendant un quelconque geste de ma part en réponse. J'avais un peu ouvert ma bouche prêt à parer son geste mais il avait secouer sa main devant lui en guise d'impatience.
《- Ce sont les règles du Paradise, les employés sont à égalités tant qu'ils ont un poste dans la boîte. Alors, accepte.》 fit-il rapprochant encore sa main de mon torse
J'avais serrer mes lèvres peu assurés en tendant lentement la main mais, il avait approcher vivement la sienne pour me la secouer histoire que cela soit fait. J'avais sursauter, et m'étais automatiquement reculer avant d'hativement me courbé en guise d'excuse sous son manque de réaction.
《- On a plus de temps à perdre, met moi ça et va chercher les commandes des clients, on est plein àcraquer ce soir.》s'était-il retourner pour passer à nouveau derrière le bar en voyant davantage de clients s'y agglutiner.
《- Oui monsieur, je vous remercie.》
Je m'étais courbé une dernière fois, serrant avec deux mains le tablier pour me dépêcher de l'attacher dans mon dos. Il m'arrivait juste au dessus de la ceinture, je le trouvais étrangement court. Je m'étais approcher des différentes tables autour de la scène, prenant une à une les commandes des clients déjà ivre par l'odeur de la fête.
Heureusement pour moi, peu était conscient pour perdre de leurs temps à poser leurs yeux sur moi ou à détecter mon effluve vu le nombre tonitruant de mets qui se délectaient ici et là sans compter toutes les personnes aux classes différentes qui bousculait leurs narines. La plupart, laissaient leurs sens de côté pour profiter de leurs soirée, c'était dans ce genre d'endroits que les classes étaient les moins prisent en compte.
