̶I̶ ̶c̶̶a̶̶n̶ ̶f̶̶e̶̶l̶̶l̶ ̶u̶ ̶b̶̶u̶̶t̶ ̶i̶ ̶c̶̶a̶̶n̶̶'̶̶t̶ ̶t̶̶o̶̶u̶̶c̶̶h̶ ̶¹⁹

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- Je peut continuer à respirer
Mais tu ne pourras
éternellement fuir -




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Le temps défilait entre mes doigts.
Je ne le sentais pas languir contre ma nuque et grappiller les fourmis de mes jambes.

J'avais une terrifiante lenteur et un flou affriolant constant à ressentir tout ce qu'il m'entourait.

C'était le sang de Golden qui m'affaiblissait.


Comme il me l'avait dit cette nuit oubliée, je n'étais pas fait pour le recevoir... j'ai peut-être pu survivre et me sortir d'affaire mais je n'arrivais même pas à rester conscient.




Il me torturait autant qu'il me faisait survivre.



Mes yeux dégageait l'air frisquet.


Il n'y avait qu'une gamelle d'eau dans cette pièce mais elle était à l'exacte opposé de là où mon corps étendue était, poser à même le sol, au pied de la fenêtre.






Je pensais à ramper jusqu'à elle.




Je m'imaginais même la scène mais il m'était strictement impossible de commandité l'ordre aux membres de mon corps.


J'allais finir par dépérir.


Mes songes et les ordres de ma volonté hurlait entre eux.
Ils se confondaient pour se mêler en un amas de douleurs et de supplications tant mon corps assécher et éreinté par les labeurs dont il avait été épris ne pouvait se reposer.
Ma tête tournait, mon corps perdait en énergie, il brûlait pour me faire perdre connaissance.
Me faire m'abandonner à un sommeil qui aurait conserver mes forces.

Mais, au moment même où mes yeux se refermaient pour se laisser emporter, la fenêtre se fit éclater en moreaux.

Mon corps ne frissonna pas même de surprise ou de frisson dû au froid.
Je n'en avais pas même la force.
Mes yeux étaient à peine ouverts et se contenter de contempler passivement la scène devant elle.







《- Kim ! Bon sang te voilà enfin !》s'écria t-il aussi paniquer que mouvementé.



Je n'eu cependant aucune peine à le reconnaître.



Il sauta d'un bond sec à l'intérieur de la bâtisse et refermant derrière lui le reste de la fenêtre pour couper le son de ses faits et gestes mais également pour arrêter le froid environnant de posséder la pièce déjà frigorifié.

Mais alors qu'il était si vif et exciter, ses pas vinrent brusquement se figer avant de glisser sur le parquet pour s'arrêter. Son regard se fit plus fin, plus attentif et ciblé, il fit preuve d'une prudence millimètré afin de s'abaisser à mes côtés. Ses gestes se couvrirent de velours et son aura devint bombé et feutré s'abaissant au sol pour m'entourer.





Hᴜᴍᴀɴ /Vᴋᴏᴏᴋ\ \Eɴ Cᴏᴜʀs/Où les histoires vivent. Découvrez maintenant