𝐿'𝐼𝑚𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒 (Livaï x Reader)

𝐕𝐈𝐈𝐈. 𝐁𝐚𝐢𝐧 𝐞𝐭 𝐃𝐢𝐬𝐩𝐚𝐫𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧.

— Votre majesté votre bain est prêt.

La jeune femme hoche doucement de la tête en marchant d'un pas gracile vers sa gigantesque salle de bain  auquels un ou deux piliers donne un charme antique, l'impératice marche sur le carrelage ciment bleu. Elle regarde d'un air exténué son immense baignoire à débordement juste devant sa baie vitrée donnant sur le jardin impérial.

— La température du lait est-elle bonne ?

— Oui votre majesté. Les domestiques ont vérifié et nous de même. Nous avons ajouté des pétales de rose comme vous nous l'avez demandé.

— Parfait. Laissez-moi seule. Ordonne (T/P).

Comme à son habitude, elle n'avait nullement besoin d'avoir ces camériste pour prendre son bain contrairement à d'autres. Elle aimait pas et été gênée de devoir se déshabiller devant une personne, homme comme femme. Une fois que les jeunes femmes partirent, la souveraine au cheveux (C/C) soupira et appelle mentalement l'amarios qui rampe le long de son bras pour se poser sur sa main. L'impératice pose la puce argentée sur la vasque d'un beau bois massif. Elle fit glisser le kimono en satin dans un vieux rose le long de son corps nu elle descend les marches de sa baignoire qui aurait pû accueillir facilement huit personnes. Elle soupira de soulagement et entre dans le lait d'ânesse auquels plusieurs pétales de rose ressortaient. Elle masse sa nuque et retire l'élastique qui soutenait ses cheveux dans un bas chignon auquel d'innombrables mèches ondulés y étaient. Elle inspira et enfouit sa tête sous le liquide onctueux réputé pour ses milles et une vertus pour la peau et les cheveux, l'impératice faisait ce rituel une fois par jour.
C'était l'un de ses secrets de beauté.

Elle se redressa soudainement et immerge sa tête en mettant ses cheveux en arrière, la jeune femme reste durant de longues minutes en se relaxant avant de sortir. Il faisait chaud aujourd'hui, la jeune femme partit enlever délicatement le lait qui était dans ses cheveux (C/C). Elle se tourne vers un toquement en direction de la porte, elle claque sa langue contre son palais et saisit  en s'écriant :

— Oui ?

Elle noue son kimono en soie pour dissimuler sa nudité et observe son imperator accompagné d'une femme brune portant des lunettes ovales entrai de rentrer, elle mit ses longs cheveux mouillés en arrière.

— Erwin je pensais t'avoir dit de venir d'ici une heure. Reproche la souveraineté calmement.

—  Exactement (T/P) mais d'ici une heure nous serions en conseil, d'après les premiers ministres et Miranda l'emploi du temps sera chargé.

Elle s'approcha de sa vasque pour récupérer l'amarios, la puce rampe le long de son bras et s'encrent sur sa nuque dissimulée par ces cheveux. Elle demande à l'identité de lui donner une tenue légère et simple pour supporter la chaleur de l'extérieur. (La climatisation dans le palais est à 22 ° toute l'année)

Sauf que l'amarios est un poil trop capricieuse et aime enjoliver sa propriétaire. Son kimono change en ne montrant pas la moindre once de peau, pour une magnifique robe qui rappelle à Erwin une divinité grecque.
D'une robe blanche basique au décolleté plongeant montrait une peau délicate et une silhouette sublime, elle avait une ceinture dorée affinant sa taille. Elle portait qu'un unique bracelet doré sur ses bras dénudées et une épaulettes du même matériaux en imitation plumes.

L'amarios avait coiffé ses cheveux une tresse compliquée et une couronne de laurier, ses sandales étaient incrusté de pierre précieuse. Elle était époustouflante.
Erwin ne pouvait qu'avouer que la jeune femme était d'une beauté renversante, à chaque fois qu'il la voyait, l'imperator ne pouvait s'empêcher de contempler un court instant la jeune souveraine.