L'homme marchait dans les couloirs plongés dans la semi pénombre de cette nuit sans lune, des pas se faisaient entendre tandis que l'homme se cachait des caméras et des arrivants. Derrière ce pilier, ses yeux marrons guettaient les alentours pendant qu'il voyait du coin de l'œil Erwin Smith au côté d'un conseiller.— Il faut que je vois sa majesté impériale, imperator Smith.
— Elle est énormément occupée en ce moment, je lui ferais passer le message.
Je dois voir le général des légions étrangères maintenant.L'homme au cheveux blanc inspirait profondément, patientant que le chef de toute armées puissent partir. Quand l'homme n'entendait plus les bruits de pas, il sortait de sa cachette en se tapissant dans l'ombre, il observait autour de lui en allant dans ce couloir se terminant par un cul de sac.
Se rappelant des ordres de son commanditaire avant qu'il ne vienne ici, il empruntait ce fameux passage qui était inconnu des personnes habitants dans l'enceinte du palais. Il éclairait le passage avec sa torche, serrant nerveusement l'objet de lumière dans sa main. Passer par la voie normale était impossible, il serait mort en faisant le premier pas, une bonne dizaine de garde surveillait avec attention l'entrée de la suite de l'impératice. Quand il était arrivé, il poussait doucement la porte dissimulée dans la bibliothèque étant dans un grand bureau dans un style épuré. Il regardait le vieux plan en levant sa tête pour voir que l'une des chambres était juste à côté, reliée par une porte. Il prenait une profonde inspiration, afin d'entrebailler la porte pour voir. La nuit était sa plus grande amie, la grande chambre blanche était uniquement illuminée par une lampe de chevet donnait une ambiance tamisée. Dans le grand lit au drap argenté et blanc, reposait l'impératice qui semblait profondément endormie.
L'homme d'une quarantaine d'années à l'allure robuste avait regardé d'un air intrigué le masque qui était posé sur la bouche de la jeune femme souffrante et visiblement en détresse respiratoire.
— Alors elle se meurt vraiment.
Il prenait le coussin reposant sur la méridienne crème, s'avançant vers la jeune femme endormie pour faire son œuvre. Il s'était arrêté au côté, contemplant le charme hypnotisant qui s'émanait de la jeune femme que tu étais, ton buste se soulevait doucement tandis que le masque te fournissait l'air nécessaire pour vivre. La main du tueur à gage se posait sur tes mèches étendues sur l'oreiller, il eut soudainement une soudaine envie de connaître ce corps enlevé de tout tissu.
— C'est regrettable de devoir tuer une si belle femme.
Il avait chassé cette pensée aussi vite qu'elle était arrivée, non, il y avait bien autre chose de plus précieux que les plaisirs de la chair, celle du gain. La somme pour la mort de l'impératice de Sandor était bien trop tentante, aucun tueur à gage ne pouvait refuser cette somme colossale. Il se penchait enlevant avec le plus de discrétion ton masque, pour commencer à ôter ta vie avec ce coussin. Un court instant il fut surpris même anxieux quand il avait eu aucune réaction de ta part, pourtant n'importe qui aurait dû réagir à cela. Il posait ses doigts sur ta gorge pour constater que tu étais toujours en vie, du moins pour l'instant. Septique, l'homme voyait un liquide noir glisser de ton nez, tes sourcils se fronçaient tandis qu'il reculait en entendant ta respiration devenir sifflante et tes paupières entrain de bouger.
La machine reposant au côté du lit, émettait des bips forts signifiant un danger pour ta vie. L'homme grimaçait et reculait en entendant des pas s'approcher de la porte, il serrait les dents en devant immédiatement s'en aller, avec une rapidité et une discrétion dont il avait acquis avec l'expérience. L'homme s'était éclipsé tandis que Jean et Connie arrivaient à tes côtes, alertés par les bips infernaux de la machine.
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𝐿'𝐼𝑚𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒 (Livaï x Reader)
Fanfiction𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑣𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑎 𝑣𝑒́𝑐𝑢 ? Deux ans sont passés depuis la grande guerre qui a ravagé le continent d'Eldia, laissant des survivants meurtris et traumatisé par ce massacre. Livaï Ackerma...