𝐗𝐕. 𝐇𝐮𝐊𝐢𝐥𝐢𝐚𝐭𝐢𝐚𝐧 𝐞𝐭 𝐈𝐧𝐟𝐢𝐥𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐚𝐧.

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Cette suave odeur de rose embaume les sens l'impératice qui venait de fermer les yeux, elle s'adossait contre la chaise avant de soupirer écoutant les paroles lassante de Salazar. L'homme grassouillet révéla à la jeune femme ses craintes en déblatérant :

— Je vous admire et respecte, ma sublime impératrice mais si je peux me permettre de donner mon avis. Livaï Ackerman n'est pas un homme fiable...

Elle se penchait en avant soutenant son visage entre sa paume, ses longs cheveux d'un jolie bleu ciel étaient attachés en un chignon compliqué. Un sourire froid et hautain s'installait le visage d'ange de (T/P) qui interrogea :

Ô, aurai-je le droit de savoir pour quelle raison tu rabaisses mon garde du corps ?

— Ces conseils sont incohérents et risquent d'attiser la colère du peuple ! Fermer des... bordel et donner un travail au catin est inconcevable.

Il n'y a pas de catins votre majesté.
Il y a seulement des pauvres femmes qui vivent dans la misère et qui n'ont pas eu la chance d'avoir une vie meilleure.
Ma mère ne faisait pas cela par envie comme beaucoup de personnes le pensaient, par moment elle pleurait après s'être fait abusée et violentée tout ça parce que les violeurs croyaient que c'était normal puisque ma mère était une fille de joie.

L'impératice se rappela des mots de son garde du corps, la jeune femme devait avouer qu'elle avait sentit un pincement au coeur en apprenant cela. Elle n'avait rien laisser paraître, elle devait être impartiale auprès des gens mais la cause des femmes étaient selon elle ; un beau combat.
Elle portait la tasse de porcelaine bleu contre ces lèvres douces avalant tranquillement deux gorgées de thé avant de dire d'un ton sévère et cassant :

— C'est inconcevable pour le peuple ? Ou pour vous ? Car vous n'aurez plus d'endroits pour vider vos couilles ?

La vulgarité qu'avait utilisé l'impératice choqua l'homme barbu qui s'étranglait avec son thé, il toussa fortement pendant que la jeune femme caressait d'un geste tendre la fourrure d'un guépard qui venait de passer non loin de leur table installée dans cet endroit bucolique. Elle sortit un dossier au ministre en expliquant avant une assurance peu commune :

— Pixis m'a donné cela, les gens aisés font parti de 15 %, le peuple moyen 55 % et les pauvres sont de 30 % de la population.
Bien évidemment, je ne peux pas forcer à ces femmes a changer de profession. J'ai conscience que vous les hommes pensent davantage avec ce qui vous sert à reproduire qu'avec un cerveau. Ce genre d'établissement est extrêmement mal fréquenté et d'après ce que j'ai appris, 50 % des prostituées et femmes passantes se font violée dans les alentours. Et d'après des rumeurs fondées bon nombre de noble aiment ce rendre à ce genres d'endroit, on m'a également informé que tu aimais te rendre au péché qui se trouve dans la rue de Diren ? C'est ça ? Margareth est au courant ?

Le ministre grinçait les dents d'un geste furieux, il tentait de rester calme en face de cette femme qui éprouvait du plaisir à l'humilier.
Pour lui, la puissance de l'empire fonctionnait uniquement par les nobles et non par les autres. Livaï et Pixis étaient des danger pour le ministre et ses collègues qui venaient des plus nobles familles, car ces deux scélérats ont grandi dans un autre monde qu'eux.
Il comprenait que l'impératice ne lui faisait plus confiance et qu'elle préférait écouter Livaï, il fallait par tout les moyens qu'il trouve un moyen de se débarrasser de lui.
Et si il contactait son ami ? Il pourrait très bien tuer Livaï, il n'éprouvait que de la haine envers cet homme arrogant et froid comme de la glace.
La femme qui avait des roses accrochées à ses cheveux souriait en décrétant avec fermeté :

— Ce n'est pas une suggestion,  les bordels seront détruits et les femmes, celle qui souhaitent bien évidemment, pourront travailler autres que dans la prostitution.
Je mettrais tout en œuvre pour se projet.
Oh d'après ce que j'ai aperçu le peuple moyen donnait plus de taxe que les personnes aisés. Nous en parlerons dans le prochain conseil, Livaï sera présent, ses conseils sont sages.

𝐿'𝐌𝑚𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒 (Livaï x Reader) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant