Chapitre 15

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La soirée avait rapidement passé, puisqu'Hermione n'avait fait que lire un livre moldu que ses parents lui avait envoyé, assise dans le canapé du salon. 

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Le blond, qui été desendu à la Grande Salle pour prendre le dîner, avait remarqué l'absence de sa colocataire. S'inquiétant légèrement, du fait que son amie ne soit pas présente, il finit en vitesse son repas avant de partir vers ses appartements.  

Quand il apperçu la jeune femme endormie sur le canapé du salon, toutes ses inquiétudes, pour le peu qu'il en avait, s'étaient envolées. Il était rassuré. 

Il la laissa donc, et parti écrire à sa correspondante, puisqu'il y avait un moment maintenant qu'il ne l'avait pas fait. Une fois dans sa chambre, ne sacahnt quoi dire à celle-qu'il-ne-connaissait-pas, il décida de lui raconter sa journée. 

"-Ce n'est pas une lettre très interressante, mais au moins, c'est une lettre. Cela devrait lui faire plaisir... pensa-t-il."

Il appela son hibou, qui parti immédiatement une fois la lettre donnée. 

Il souffla, épuisé par la journée qu'il avait eu. L'après-midi passé avec la lionne lui revint en mémoire. Et il sourit. Elle est son amie. Il n'y a plus de guerre entre eux, juste des petites batailles sans importance. 

Il entendit soudain un bruit. Il s'agissait peut-être de la Gryffondor ? Drago descendit, mais vit la jeune femme toujours dans le même état, c'est à dire, endormie.

Le bruit reprit. C'était un petit picottement, comme si on frappait à la fenêtre. Alors il monta, et réussi à situer l'étrange bruit. 

C'était dans la chambre de la lionne. 

Il hésita un temps avant d'entrer. Mais une pensée vint le pousser à ouvrir la porte :

"Je suis désolé Hermione, mais ce bruit est vraiment agassant. "

Il posa sa main sur la poignée, et ouvrit la porte. 

Le rouge éclatant de la chambre de sa colocataire vint attaquer ses yeux. 

"-Tout ce rouge me donne mal à la tête dit-il."

Puis, il vit une chose impensable. Il vit la source du dérangement, la source du bruit étranger. 

Dans l'impréhension, il s'avanca pour ouvrir à l'animal qui frappait de son bec, à la fenêtre. Il s'agissait cependant de SON hibou. 

C'est alors qu'il attrapa la lettre que l'oiseau fit tomber, et resta bouche-bée. Et il fit le rapprochement. 

Serait-ce Hermione la fille qu'il ne connaissait pas ? Celle qui s'est enfuie devant tout le monde à ce bal ? Aurait-il été trop aveugle pour remarquer que sa colocataire était cette femme ? 

"-Il doit il y avoir erreur, pensa-t-il à haute voix. 

-Oui, il y a erreur, Malefoy, dit alors une voix derrière lui. Que fais-tu dans ma chambre au juste ?"

Pris en flagrant déli, il se tourna pour faire face à la personne derrière lui. La lionne vit la lettre et le hibou et perdit complétement le contrôle.

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"-Tu fais quoi dans ma chambre ?! s'énerva-t-elle. 

-J-je..."

Sa seule échappatoire était la colère. Il venait de tout découvrir. Ou alors, il avait des soupçons, de gros soupçons. 

"-Non, mais sérieusement ?! 

-P-pardon, mais y'avait du bruit et ça m'empêchait de...

-De quoi ? Travailler ? On a aucun devoir pour la semaine ! le coupe-t-elle. 

-Pourquoi tu cries au juste ?! s'énerva-t-il à son tour. C'est moi qui devrait crier ! Mon hibou vient de te livrer MA lettre. Le lettre qui était destinée à une autre personne ! Je veux des explications."

Il savait. Il avait tout découvert... La lionne ne répondit pas, cachée derrière son masque de colère. 

"-Soit tu me dis que mon hibou est stupide, soit tu me dis la vérité, dit-il plus calmement.

-J-je... Je voulais t'en parler. 

-De quoi ?"

Il l'écoutait attentivement. Hermione n'avait que deux solutions : la vérité ou le mensonge. 

"-Ton hibou vient souvent me donner tes lettres...

-J'en conclu que tu en es la destinataire, donc ?

-N-non. 

-Non ? 

-Non."

Elle venait de mentir. 

"-Je dois les lui redonner à chaque fois. Il se trompe sistématiquement, et ça commence à m'énerver. dit-elle. 

-Oh, s'étonna le jeune homme. Très bien, désolé du dérangement."

Il partit. Le lionne le savait, il ne l'avait pas cru. Qu'allait-elle faire maintenant ? Cela s'était vu, qu'elle avait menti. 

Elle était mal. Très mal. 

Celle qu'il ne connaissait pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant