Chapitre 2

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Elle ouvrit les yeux à l'apparition sonore de Ron, hurlant dans les oreilles de la jolie brune, cela fit intervenir Harry, ce à quoi, le rouquin ne réagit pas.  

"-Et bien Ron, merci pour ce réveil en douceur. Je crois que tu viens littéralement de déformer les tympans d'Hermione !

-Oui. Si jamais je deviens sourde, je sais qui remercier, dit-alors la sorcière."

Hermione reconnait la gare dans laquelle elle est arrivée. Cela a toujours été la même, et elle ne l'oublierait jamais. Cette année allait être différente des autres, non seulement par sa décision de se rebeller, mais aussi par le fait qu'elle a été nommé préfète en chef de sa maison, Griffondor. Une année de travail s'offrait à elle, il était venu le temps de guider les nouveaux élèves et de bosser de plus en plus, sachant que cette année serait primordiale dans les examens de fin d'enseignement de la magie. 

Ne perdant pas une minute de plus, elle prit ses affaires et descendit du train, laissant ses amis seuls. 

Une fois arrivée sur le quai, elle couru dans les bras d'Hagrid, le demi-géant et gardien de Poudlard. Il faut se l'avouer que depuis qu'Harry, Ron et Hermione sont arrivés, le barbu à quand même de légères préférences pour les trois. 

"-Content de te voir Hermione. Mais c'est que tu as grandi pendant les vacances ou c'est moi qui est rapetissé ? lui demanda-t-il en riant. 

-Je ne sais pas, j'hésite ! lui répondit-elle, riant à son tour.

-J'ai appris que tu as été nommée préfète de Griffondor ! Je suis si heureux pour toi Hermione et je suis certain que tu t'en sortiras très bien ! 

-Merci Hagrid ! Je ne sais pas si je ferai une parfaite préfète, mais je ferai de mon mieux !

-Préfète ? C'est sympa de nous l'avoir annoncé Mione ! dirent alors deux voix se tenant derrière la jeune fille. 

-Oh, Harry, Ron, je suis désolée, je voulais vous le dire mais... 

-Tu n'en as pas eu le temps ? prétend alors le jeune binoclard. 

-Ne t'en fait pas, ce n'est pas si grave, dit le rouquin. On y va, tu viens ? 

-Oui, oui j'arrive. "

Une main vint alors se poser sur son épaule. 

Celle qu'il ne connaissait pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant