Blessée

Chapitre 34

Olivia Garcia

La semaine était passé plutôt vite. J'avais passé mes jours à connaître mon frère. J'avais donc découvert qu'il était gay à ma plus grande surprise. J'étais la petite-sœur la plus comblée.

- Antoine : prête pour ce soir petite-sœur ?

- S'il n'est pas là ?

- Antoine : il sera là. Fait moi confiance.

- Mon odeur à changé ?

- Antoine : pas encore. Ne t'en fait pas. Qu'est-ce qui as ?

- C'est Kara, je la sent mais elle me parle pas.

- Antoine : le manque doit plus se sentir pour elle.

- Si tu le dis.

- Antoine : allez t'en fait pas. Le bal est dans deux heures, tu dois te préparer.

Au même moment, Emilia entra dans ma chambre, habillée d'une robe longue verte mettant en valeur ses yeux noisettes.

- Emilia : vous êtes pas prêt les enfants, faut s'activer.

- Antoine : tu es ravissante Emilia

- Emilia : merci mon petit mais oust, laisse nous entre femme. Aaron t'attend dans la chambre avec ton costume.

- Antoine : j'y vais de ce pas alors.

Il referma la porte, me lançant un petit clin d'œil de soutien.

- Emilia : Allez Olivia, file sous la douche, deux heures c'est peu.

Ce n'est qu'au bout de deux longues heures de brushing et de coup de pinceau que je fut enfin prête.

Je portais une robe en satin a fine bretelle, réhaussé de talon haut, laissant ma marque visible de tous.

Me regardant dans le miroir, je me souvenais.

FLASH BACK : « Il était derrière moi, contemplant la marque fraichement faite, la léchant pour atténuer cette douleurs enivrante.

- Tyler : je t'aime Olivia

- Moi : Je t'aime Tyler »

J'inspira un grand coup, retournant au moment présent.

- Emilia : ça va Olivia ?

- Je me souviens du marquage.

- Emilia : quelle bonne nouvelle.

Alors qu'elle me serrait dans ses bras, on toqua à la porte, coupant court ce petit moment.

- Aaron : prête Mesdames ?

- Emilia : plus que prête.

On descend, s'installe dans des voitures différentes, moi avec mon frère et le couple alpha dans la première voiture.

A ma grande surprise le trajet ce passa rapidement. Les voitures se stoppèrent devant une immense bâtisse.

- Antoine : prête ?

- Prête.

Quand faut y aller, faut y aller !!!