Possession. [Larry Stylinson Fanfinction] / ABANDONNÉE/

Suicide.

Who's this man that's holdin' your hand and talkin' about your eyes ?
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L'enfoiré.

Il me fixait avec cet habituel rictus victorieux en voyant la colère et la douleur sur mon visage à la phrase qu'il avait prononcé.  Il était toujours fier de me faire mal, une seconde il est gentil et attentionné et l'autre, il me détruit sans en avoir quelque chose à faire.

Alors, si son jeu est de me faire souffrir, je vais rentrer dans le jeu, à nous deux Styles, je vais jouer aussi.

"Et oui je t'aime, quel gâchis en voyant la personne que tu es que d'avoir des sentiments pour toi, un salut tel que toi ne mérite l'amour de qui que ce soit sur cette terre." Fis-je d'une voix glaciale et méprisante.

Il se recula un peu et ouvrit de grands yeux choqués comme si je venais de lui donner une claque assez douloureuse. J'espère bien que mes mots ont étés douloureux, il le mérite, il mérite de souffrir autant que toute les personnes qu'il a dut faire souffrir avant moi et d'ailleurs, il faudrait que je lui pose la question.

"Combien de personnes ont subis ce que tu me fais subir en ce moment ?" Il ouvrit la bouche pour parler mais je l'arrêtais et ajoutais quelque chose. "Ne t'avise pas de me mentir Monsieur 'Je suis pété de Thunes', tu as intérêt à me dire la vérité." Finis-je, menaçant.

Cette fois-ci, ce n'est pas le mur qui receptionna mon dos mais bien le matelas moelleux de son lit, merde. S'il recommence à me séduire, je ne me vois pas tenir très longtemps, surtout avec le fait qu'il n'ai actuellement pas de tee-shirt.

"Crois-tu vraiment que tu n'es pas le premier à m'avoir fait cela, crois-tu vraiment que j'ai pus faire cela à qui que ce soit avant toi ?" Cria t'il

Je clignais des yeux rapidement pour chasser les larmes qui menaçaient encore de couler.

"Oui, je le crois, après tout, tu es assez fou pour faire une chose pareille." Un rire ironique franchit mes lèvres. "C'est malade quand même, l'homme le plus riche de la terre entière est une taperez et d'autant plus, il est malade mental parce qu'il est un kidnappeur et un harceleur compulsif et pourtant. Pourtant tout le monde est à ses pieds parce qu'il est plein aux as et qu'il paraît parfait malgré sa froideur, c'est degoutant, en tout cas moi ça me dégoûte au plus haut point." Sifflais-je.

Tout au long de mon monologue qui ne consistait qu'à me foutre de lui, ses yeux devenaient de plus en plus sombre, la rage devait irradier en lui il n'y avait aucun doute et la peur commençait à se frayer un chemin en moi.

"Ah oui je te dégoûte ?" Souria t'il. Et comme pour vouloir me contredire, il posa sa main sur mon entre-jambe et le pressa durement ce qui me fit gemir. "Pourtant, ce n'est mas ce que ton corps m'a dit hier et ce qu'il me dit maintenant." Ria t'il.

"Hier soir je n'y ai pris aucun plaisir espèce de salot, tout ce que tu as fait c'est me violer et e voler tout ce qu'il me restait de ma dignité !" Hurlais-je.

"Alors, pourquoi, vu tout ce que je t'ai fais, tu m'aimes hein ?" Dit-il, fier du pic qu'il venait de m'envoyer.

"C'est ça ta riposte ? Tu es carrément pitoyable ! Jouer avec les sentiments des gens c'est pour les faiblards rien d'autres !"

Ses yeux devinrent encore plus noirs et sans que je n'ai le temps de comprendre quoi que ce soit, je reçus une forte claque sur le visage avant qu'il me retourne sur le ventre et m'enfonce la tête dans les oreillers jusqu'à ce que je ne puisse plus respirer, je me sentais partir et au moment où je fermais les yeux, il remonta ma tête.