Nuit

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Baby look what you've done to me !
Baby look what you've done now !
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Malheureusement, je crois bien non je suis sûr, J'aime Harry Styles.
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Et c'est horrible, c'est la pire chose de la terre, si je l'aime, je crois ne jamais pouvoir m'en allé d'ici, de cette maison que je suis censé détester de tout mon être.

Il me fait ressentir ce sentiment et de cette façon, il me tient, il m'attache et ne me laisse aucun échapattoire possible, que je n'aurais de toute façon, pas emprunter parce qu'il m'a fixé à lui et a marqué son nom au fer rouge sur mon coeur qui lui, n'avait pas demander à souffrir et à pourtant aimer tant.

"-Et tu crois vraiment que je vais les laisser te reprendre et t'emmener loin d'ici ?" Souria t'il en coin.

Il me faisait peur. Je l'aime.

Il me detruisait. Je l'aime.

Il me rabaissait. Je l'aime.

Il me frappait. Je l'aime.

Il ne m'aimera jamais comme je l'aime. Je l'aime encore et toujours.

Sans pouvoir rien y faire, je l'aime, c'est le sentiment qui m'habite et je ne peux le combattre à moins de me déchirer le coeur ce que, Harry va finir par faire un jour ou l'autre j'en suis plus que certain.

Mais ce n'est pas grave, parce que la partie est perdue d'avance, je le sais et je ne me battrais pas. À quoi cela servirait ? Ce serait une bataille sans but, l'issu déjà écrite quelque part dans l'univers mais elle est écrite et je ne peux y faire, malheureusement.

Et je crois que je suis fou. Comment peut-on, par le plus horrible miracle aimer celui qui nous retient prisonnier ? Je trouve cela fou. Completement et je le suis. Point.

Il avait encore fait un pas, faisant nos corps se toucher, nos peaux s'effleurer, nous souffles se rapprocher et mon coeur s'embaler. J'avais peur, c'est indéniable, qui n'aurait pas peur après tout s'il ressentait ce que moi je ressentait ? Je pense que personne ne pourrait porter des sentiments comme ceux-ci envers Harry.

Mais je n'ai pas peur que pour cela. J'ai peur de perdre. De perdre contre moi même, mon coeur, mon cerveau et malheureusement, mon bas ventre et ses besoins. Je crainds de perdre le contrôle et de lui quatre dessus comme un fou furieux ou une bête en manque de viande, non. Ce serait horrible, ça l'est rien que d'y penser. J'esquissais une moue degoûtée, non, je ne peux définitivement pas penser à de telles choses.

Il me regardait désormais dans les yeux, chose qu'il faisait souvent depuis le début, me transperser de ses orbes vertes comme s'il voulait toujours savoir ce qu'il se passe dans ma tête et c'est ce qui me fit baisser les yeux car, imaginez qu'il puisse lire dans mes pensées, avec les comparaisons que je viens de faire, cela n'est pas concevable. Non, honnêtement pas concevable.

J'étudiais alors son torse, il est magnifiquement sculpté et même si il porte encore son tee-shirt, je peux imaginer ses abdos et muscles saillants à travers ce tissu. Il est magnifique.

C'est fou. Il déclenche souvent cette pensée chez moi, je l'admire, il es riche, magnifique et... et je ne sais pas en fait...Je me rends compte que je ne le connais que de sa réputation d'Homme le plus riche de l'univers et pourtant, ma mère m'a toujours dit que Crésus n'aurait jamais put être égaler en terme de richesse. Et il est malade aussi. Mentalement. C'est sur. Sinon, pourquoi m'aurait-il enfermé ici alors que je ne le connais même pas ? Il faut être fou allié pour ça, alors il l'est.

Possession. [Larry Stylinson Fanfinction] / ABANDONNÉE/Où les histoires vivent. Découvrez maintenant