Dans un royaume divisé en districts, l'empereur organise un tirage au sort pour trouver un conjoint ou une conjointe à son fils afin de diriger le pays dans les plus brefs délais. 10 garçons et 10 filles de 17 à 20 ans seront sélectionnés dans tout...
((donc izuku à 18 ans depuis pas longtemps et sa relation avec dabi a presque 1 an))
pdv izu
dimanche
Lorsque je me réveille, Dabi n'est plus là. Il a dû partir à l'aurore par la fenêtre, sans doute pour éviter de se faire remarquer par ma mère...
Elle ne sait pas que je sors avec quelqu'un, et encore moins avec un garçon, mais je pense qu'elle a un doute. Les mères ont un instinct pour ça. Je devrais lui en parler, je sais qu'elle le prendrait parfaitement bien, elle ne souhaite que mon bonheur après tout.
En plus, il faudrait éviter de voir un 6 dans un quartier de 7, les relations avec un autre district étant aussi interdites que tout le reste.
Tout en m'habillant, je repense à hier. Un petit sourire se dessine sur mes lèvres. Je voudrais lui faire plaisir, je vois bien qu'il commence à s'impatienter, mais je n'arrive pas à oublier les circonstances de notre première rencontre. Je bloque dessus et ça m'inquiète. J'ai appris à le connaitre, puis à l'aimer de tout mon cœur, mais je n'arrive pas à imaginer faire ça avec lui. Ni avec qui que ce soit d'ailleurs. Dès que j'y pense, ne serait-ce qu'un instant, une douleur me tord le ventre. Je n'arrive pas à savoir ce que c'est... De la peur ? Mais de quoi ?
Je secoue la tête pour chasser mes mauvaises pensées, et regarde le résultat de mon choix vestimentaire du jour dans le miroir. J'ai choisi de mettre un pantalon beige avec un large t-shirt noir et des chaussettes montantes assorties, ainsi qu'une fine chaine argentée avec une croix chrétienne pour pendentif, que je laisse ressortir de mon haut, sans oublier des bagues pour embellir le style de ma tenue. Je décide de mettre mes chaussures blanches et vertes, assorties à mes cheveux, ainsi que la touche finale : un bob noir imprimé "PƎACE". Je me regarde de nouveau dans le miroir, et, satisfait du résultat, prends une photo pour l'envoyer à mon petit-ami. Il me répondit à la minute, avec une photo de lui et un de ces compliments qui ont le don de me faire fondre.
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((+la chaîne et bagues))
Je descends pour prendre mon petit déjeuné, quand je retrouve ma mère complètement surexcitée dans le salon, une lettre à la main.
((pour ceux qui ne savent pas, sa maman s'appelle Inko))
Inko - Mon chéri ! Une lettre pour toi ! Ouvre vite !
Une lettre pour moi ? Je regarde le nom du destinataire...(non pas que je ne fasse pas confiance à ma mère, mais je reconnaitrais peut être l'écriture du destinataire) ...c'est effectivement à mon nom, mais, manque de chance, c'est une écriture informatique. C'est étrange, personne ne m'écrit jamais, et pour avoir les moyens d'écrire à l'ordinateur et d'imprimer, ça ne peut pas être un 7.