chapitre 12

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Sans se soucier des passants il avait capturé mes lèvres pour un long baiser.

 Après cela nous sommes rentrés chacun dans sa chambre, heureusement pour moi, il n y avait personne, donc je divisais l'argent en 3 parties : 10million pour mes parents, j'ai gardé les autres 10million pour ma campagne et mes amies et j'avais remis les 5 million a Fallou, il n'avais pas voulu accepter l'argent mais je l'ai convaincu en lui demandant d'investir l'argent dans le champ de ses parents et qu'après on pourra se partager les bénéfices.

C'était un samedi six mois Après ma rencontre avec le président, de ce côté je ne pouvais pas espérer mieux, les post sur Facebook montraient que les gens lui accordaient  le bénéfice du doute et j'allais entrer en jeu. Il y'avait déjà des commentaires sur lui et moi mais rien de méchants.
 Fallou m'avait demandé de me préparer pour un week-end inoubliable,  il m'avait pas dit le lieu mais m'avait juste dit que nous allions sortir de Dakar histoire de décompresser et qu'il avait quelque chose à m'annoncer.
Il m'avait amené dans les îles du saloum mes yeux brillaient de milles feu, l'endroit était juste paradisiaque et l'hôtel était a couper le souffle, il avait prit deux chambres pour nous et cela me toucha vraiment, il aurait pu prendre une chambre personne ne nous connaît ici mais par respect pour moi et mes principes il avait prit deux chambres et je l'en aimait davantage. Nous sommes arrivés vers midi et avions préféré faire une visite guidée, nous avions fait une balade en pirogue je n'avait jamais imaginé qu'il existait des endroits pareil au Sénégal, la verdure, l'odeur et le chant des oiseaux,  c'était juste beau. Après cela nous étions partis  faire une balade avec les lions, nous devions tenir un bâton de ce fait nous ne craignions rien mais khawna saw sama toubey mane instant bobou  kouma lale ma sédd guouy say lokho (j'ai failli mourir de peur).
Vers 16h nous étions retournés à l'hôtel ou nous avions prit notre déjeuner dans ma chambre et après celà chacun était parti faire une sieste nous devions nous retrouver à 20h pour un dîner romantique. Vers 18h30 j'avais pris un bain relaxant et après m'être maquillée sobrement, j'enfilai ma robe d'un vert émeraude qui épousait ma taille comme une seconde peau. L'image que me rendait le miroir était a couper le souffle, non ki dou mane way (ce n'est pas moi). 19h58 je finis avec une note de parfum et l'attendais, être a l'heure était un code d'honneur pour moi. 20h on frappa à ma porte je savais que c'était lui, en ouvrant ma porte j'avais failli m'etouffer avec ma salive chiiiiii khalé bi comme dieu Grec avec le regard qui vous perce l'âme, il était vêtu d'une chemise bleu de nuit, pantalon beige, la ceinture et les chaussures marron ki kom tangual le temps était suspendu.

Fallou: khol ma ndank domou diambour la oui je sais que je suis beau  avec son éternel sourire d'ange.

Moi : ça va les chevilles ?

Fallou : si tu as fini de baver meune nagnou dém d.

Moi : bilay si tu continues ma tokk.

Fallou : chiiiiii la tigresse est de retour wa balma partons et tu es belle ce soir.

Moi : je sais c'est une évidence.

Il arque un sourcil avec un sourire espiègle sans répondre khamna da tayiwone si mane.
Pour le dîner il avait loué un yatch pas très grand mais très joli et trop bien décoré avec au milieu une table pour un dîner en chandelle, je croyais rêver pendant un moment je croyais qu'il allait me demander en mariage mais vu que nous en avions déjà parlé et avions décidé d'attendre minimum 2ans le temps de concrétiser certains de nos projets, donc je savais que c'était pas cela et j'avais hâte de le découvrir. Après le dîner nous continuons de discuter tout en nous chamaillant, il sortit de sa poche une boîte et dedans il y avait une chaîne en or et le pendentif était en forme de 8 couché signifiant "à l'infini".

Moi : Fallou c'est trop je...

Fallou : chutttt ne dis rien stp a chaque fois que tu regardera la chaîne souviens toi que je t'aime à l'infini.

Moi : merci mon coeur wa vas y accouches tu avais quelque chose à m'annoncer.

Regrets, aléas de la vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant