Une fois assise sur ma chaise, je regarde discrètement mon patron, qui est resté stagner a la même place... Je crois qu'il ne s'y attendait pas du tout a ma réaction ! Ou alors il n'a pas l'habitude qu'une femme refuse son invitation.En même temps, je comprends que l'on ne peut pas lui résister, il est charmant, beau, sexy, des magnifique yeux marron, le regard ténébreux. N'importe quelle fille donnerais tout pour sortir, ne serais ce qu'une soirée avec lui. Je me souviens que déjà au collège toutes les jeunes filles lui courrais après. Mais moi, je ne suis pas ce genre de fille ... Le genre à sortir pour avoir une histoire d'une nuit ...
Je n'ai pas vraiment d'expérience dans ce domaine, je suis comme on peut dire novice, je ne suis jamais réellement sortie avec un garçon ...
Ha, si j'oubliais l'autre à Angleterre qui prenais malin plaisir à me rabaisser plus bas que terre, car je n'étais pas prête à me donner à lui ... Toutes les fois que j'ai pu souffrir en sa présence ... La honte qui pouvait me mettre avec ses réflexions... Les humiliations où voir même des insultes quand on se disputait . Je me souviens comme si c'était hier du dernier jour avec lui ... Il m'a giflé puis il est parti, je l'ai donc larguée... Après, je suis venu à Berlin.
Une voix grave me sort de ma rêverie.
- Mme Plenske, ai-je des rendez-vous cette après-midi ? Me questionne comme si de rien était mon patron
- Oui, vous avez deux rendez-vous le premier 14 h 30 avec M.Blum, et le deuxième 15 h 30 avec M.kowalski.
- D'accord merci
Il retourne à son bureau tandis que moi, je me replonge dans les dossiers tout en pensant au dernier nom que j'ai prononcé " M.kowalski " sa aussi ça me dis quelques choses ...
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Je lève la tête quand je voie inscrit sur l'horloge, 17 h , j'éteint donc mon PC et prend mes affaires puis commence à partir lorsqu'une voix derrière moi m'interpelle, je me retourne machinalement et je me fige en voyant la personne qui sert un poignet de main a David .
J'ouvre en grand les yeux puis décide de partir avant que cette personne me reconnaisse, j'appuie sur le bouton de l'ascenseur, tout en insultant tout bas l'ascenseur ... "Vite, saleté d'ascenseur, ouvre toi vite."
Je ne veut pas le voir , je tremble de panique en le voyant ,je ne veus surtout pas qui pe reconnaisse ... Enfin l'ascenseur et là je monte à l'intérieur et lorsqu'elle se ferme, je me sens soulagé, je sort donc au rez-de-chaussée et passe part la boutique de Julien.
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Pour Toujour
FanfictionDescription Les insultes, les moqueries, les coups ... Voilà mon histoire scolaire ... À l'âge de 9 ans, je commençais à être sujet de harcèlement scolaire ... Je n'avais personne à qui parlé... Ni me confier de ce que je vivais ... Cela a duré 9 an...